“Population du Cameroun : du Comptage des Effectifs à l’Analyse des Phénomènes Démographiques”, Un Ouvrage du Dr Ngwe Emmanuel

“Population du Cameroun : du Comptage des Effectifs à l’Analyse des Phénomènes Démographiques”, Un Ouvrage du Dr Ngwe Emmanuel

Il a été officiellement présenté le 19 décembre 2024 au cours d’une cérémonie de dédicace qui s’est tenue au campus de l’IFORD, Yaoundé. L’ouvrage intitulé : « Population du Cameroun : du comptage des effectifs à l’analyse des phénomènes démographiques » est officiellement sur le marché. Ce travail de longue haleine du Dr Ngwe Emmanuel vient enrichir des nombreux travaux de recherches démographiques qui ont jusqu’ici étaient fait par d’autres experts. Au-delà de son enrichissement en terme de recherches, il vient à point nommé, au vu du fait que l’Etat du Cameroun est sur le point de lancer son 4eme recensement général de la population, qui est à ce jour estimée à plus de 27 Millions d’habitants en 2022 selon la Banque Mondiale. D’après l’auteur, l’ouvrage retrace des progrès significatifs qui ont été accomplis dans la connaissance de la démographie du Cameroun, grâce aux efforts conjugués des différents acteurs politiques et scientifiques, avec l’appui des partenaires techniques et financiers internationaux. Il souligne que le pays a accumulé au fil des années, depuis l’époque coloniale mais surtout au cours des années 1970 à 2010, une masse considérable de données sur sa population issue principalement de trois recensements généraux de la population et de l’habitat, de cinq enquêtes démographiques et de santé et de deux enquêtes par grappes à indicateurs multiples. Il a par ailleurs fait l’objet d’une abondante littérature démographique rédigée par des démographes et d’autres spécialistes des questions de population, les niveaux et les tendances de la fécondité, de la mortalité, de la nuptialité et de la migration sont suffisamment renseignés. Dr Ngwe Emmanuel dit : « J’essaie de montrer comment la démographie du Cameroun a évolué depuis l’époque colonial jusqu’à nos jours. Quelles sont les données accumulées ? Quelles analyses en ont été faites pour connaitre davantage les différents phénomènes démographiques que sont la fécondité, la mortalité, la migration et la nuptialité ? Et en fin de compte, ce qu’il faut retenir, c’est que le Cameroun se caractérise par une grande diversité démographique. Ce qui veut dire qu’il ya plusieurs caractéristiques démographiques qui définissent le profil démographique du Cameroun notamment une taille de la population que je peux qualifier de relativement modeste par apport à la superficie du Cameroun qui est de 475,442Km2… » Il ajoute que : « La fécondité est en baisse mais reste à un niveau élevé, la mortalité est en baisse mais reste à un niveau préoccupant, et il s’agit de la mortalité des enfants de moins de 5 ans ou de la mortalité maternelle ; la répartition spatiale de la population présente beaucoup de disparités entre les régions, les départements et les arrondissements et puis il ya le phénomène de la croissance urbaine qui n’est pas a négliger, elle est forte et il ya aussi que l’urbanisation au Cameroun se caractérise par un polycentrisme. Il n’ya pas que Yaoundé comme on voit dans d’autres pays où il n’ya que la capitale et le reste il n’ya rien. Au Cameroun il y’a non seulement Yaoundé, il y’a Douala, et vous avez des capitales régionales qui ont même dépassé le seuil d’un million d’habitants. Et donc, tout cela constitue des défis qui doivent être pris en compte par les acteurs politiques à la fois étatiques et non-étatiques, et puis les partenaires au développement, pour faire en sorte que le profil démographique du pays ne soit pas une contrainte ou un obstacle pour le développement mais plutôt un atout pour faciliter le développement. Et pour y arriver, il faudrait que les acteurs surtout les décideurs politiques prennent davantage en compte les variables démographiques dans le processus de planification… » Ce chef d’œuvre scientifique du Dr Ngwe propose une synthèse analytique des travaux disponibles, tant sur la collecte que sur l’analyse des données, avec le risque évident que cette synthèse soit incomplète et peut-être même subjective parce que basée sur un choix raisonné de la documentation exploité. Le Dr Ngwe Emmanuel indique également qu’au regard des indicateurs démographiques disponibles, le Cameroun n’a pas encore le dividende démographique. Le bilan présenté dans cet ouvrage suggère globalement la poursuite des efforts entrepris pour renforcer l’investigation démographique en vue de l’approfondissement de la connaissance de la population du Cameroun et d’une utilisation avisée des données accumulées par les utilisateurs potentiels. Au cours de la cérémonie de dédicace qui a mobilisé plusieurs personnalités à l’instar du Directeur Exécutif par intérim de l’IFORD, Pr. Didier Nganawara, l’instance dirigeante du BUCREP, les partenaires au développement tels que UNFPA ainsi que des imminents enseignants, politologues, sociologues, démographes et étudiants de l’IFORD, il était question de palper les réalités auxquelles font face les populations grandissantes du Cameroun et celles gouvernement camerounais qui traine le pas pour effectuer son 4eme recensement général. L’ouvrage est divisé en deux grandes parties. La première partie qui est composée de 5 chapitres, parle de la diversité des sources et des données ; et la deuxième partie qui a également 5 chapitres, est orientée sur la connaissance de l’état de la population et mesure des phénomènes démographiques. La mise en vente de l’ouvrage se fait au prix promotionnel de 15.000 Francs CFA dans certaines libraires du pays, notamment dans la cité capitale, Yaoundé.   Timesnews2.info

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 Ralph Mupita, PDG du Groupe MTN, annonce lors de sa visite au Cameroun, une augmentation de l’investissement réseau de 62,4 milliards XAF en 2025 et de 187,2 milliards XAF sur Trois ans

Ralph Mupita, PDG du Groupe MTN, annonce lors de sa visite au Cameroun, une augmentation de l’investissement réseau de 62,4 milliards XAF en 2025 et de 187,2 milliards XAF sur Trois ans

Une délégation du Groupe MTN, conduite par son Président-Directeur Général (PDG) Ralph Mupita, a conclu le mercredi 11 décembre 2024 une visite de travail au Cameroun. Cette visite a été marquée par des réunions avec les autorités gouvernementales et les principaux acteurs du secteur des télécommunications. La délégation officielle du Groupe MTN comprenait : Ebenezer Asante, Senior Vice President Markets du Groupe MTN, Serigne Dioum, CEO MTN Group Fintech, Selorm Adadevoh, Chief Commercial Officer du Groupe MTN, et Mohammed Varachia, Chief of Staff du Groupe MTN. La visite a débuté à Yaoundé, où le PDG du Groupe MTN a eu des concertations avec plusieurs parties prenantes importantes, notamment le Premier Ministre, Joseph Dion Ngute, le Ministre d’État, le Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, le Ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, et le Directeur Général de l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART), Philémon Zo’o Zame. Au cours des échanges avec les autorités gouvernementales, le PDG du Groupe MTN a annoncé une augmentation significative de son investissement réseau au Cameroun, avec 62,4 milliards XAF prévus pour 2025 et un total impressionnant de 187,2 milliards XAF sur les trois prochaines années. En outre, M. Mupita s’est également engagé à investir dans des technologies de pointe au Cameroun, notamment l’intelligence artificielle et les centres de données, pour renforcer l’innovation technologique et les infrastructures numériques de MTN au Cameroun.  À l’issue de ces rencontres, M. Mupita a exprimé sa gratitude aux hauts fonctionnaires pour leur soutien indéfectible aux opérations de MTN au Cameroun. « Nous exprimons notre profonde gratitude au Gouvernement Camerounais pour son soutien constant et les avancées significatives dans le secteur des télécommunications. Ces investissements stratégiques permettront à MTN de consolider sa position de leader sur le marché camerounais tout en offrant des solutions numériques inclusives à l’ensemble de la population camerounaise », a déclaré Ralph Mupita, PDG du Groupe MTN. Après Yaoundé, la délégation du Groupe MTN s’est rendue à Douala pour une séance de travail avec le comité de direction de MTN Cameroon, mené par sa Directrice Générale Mitwa Ng’ambi. Outre cette séance de travail, M. Mupita a rencontré le personnel de MTN Cameroon pour un dialogue franc et convivial. “Nous sommes profondément honorés d’avoir accueilli le Président-Directeur Général du Groupe MTN et sa délégation au Cameroun. Cette visite constitue une opportunité pour renforcer nos relations avec le Gouvernement Camerounais et réaffirmer notre engagement à offrir des services de qualité. MTN Cameroon continuera à œuvrer sans relâche pour promouvoir l’inclusion numérique et financière, contribuant ainsi au développement durable et à la prospérité de tous les Camerounais.”, a déclaré Mitwa Ng’ambi, DG de MTN Cameroon. La visite du PDG du Groupe MTN au Cameroun s’inscrit dans le cadre de l’engagement de MTN en faveur d’un dialogue ouvert et régulier avec les autorités locales. Avec l’annonce de ces investissements majeurs, MTN Cameroon réaffirme son rôle de leader dans le développement numérique et économique du Cameroun, en s’engageant à offrir des solutions innovantes et inclusives pour tous les Camerounais.      Communication de MTN Cameroon

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 Promotion des Droits de l’Homme : Les Parties Prenantes Elaborent la Feuille de Route de Mise en Œuvre des Recommandations du 4e Cycle de l’EPU

Promotion des Droits de l’Homme : Les Parties Prenantes Elaborent la Feuille de Route de Mise en Œuvre des Recommandations du 4e Cycle de l’EPU

C’était au cours d’un atelier de concertation entre le Centre des Nations Unies pour les Droits de l’Homme et la Démocratie en Afrique Centrale(CNUDHD-AC), la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun et les Organisations de la Société Civile qui s’est tenu à Yaoundé du 17 au 18 décembre 2024.    Cette rencontre de deux jours (17 au 18 décembre 2024) qui a réuni des experts, le staff du Centre des Nations Unies pour les Droits de l’Homme et la Démocratie en Afrique Centrale(CNUDHD-AC), la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun et les Organisations de la Société Civile, avait pour objectif principal : « l’adoption d’une Feuille de route décrivant la meilleure stratégie de suivi de la mise en œuvre des recommandations issues du 4e cycle de l’Examen Périodique Universel (EPU). » Enjeux de la rencontre  Cet atelier significatif a permis aux différents participants présents d’examiner les 220 recommandations adoptées par l’Etat du Cameroun, sur les 291 formulées à l’issue de son passage au 4e cycle de l’Examen périodique universel (EPU) lors de la 55e session du Conseil des Droits de l’Homme qui s’est tenue à Genève du 26 février au 5 avril 2024. Ces recommandations qui viennent ainsi enrichir le cadre juridique en matière de promotion et de protection des Droits de l’Homme au Cameroun sont classées en huit (08) groupes à savoir : la ratifications, renforcement du système législatif et institutionnel ; l’accès à la justice et la lutte contre l’impunité ; libertés publiques, paix et sécurité ; protection sociale et gouvernance ; droit à la santé et environnement ; droit à l’éducation et droit au développement ; droit de la femme, genre et non-discrimination et droit de l’enfant. Il faut souligner que ces recommandations classées en catégories ou groupes ont non seulement des numéros de référence mais aussi indiquent les différents acteurs impliqués dans le processus. Tenez par exemple, dans le 8e groupe réservé au Droit de l’Enfant, la recommandation dont le numéro de référence est 172 et qui stipule : « Prendre des mesures supplémentaires pour gérer les cas de grossesses d’élèves en milieu scolaire » doit être suivi par le Ministère des Affaires Sociales(MINAS), le Ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille (MINPROFF), le Ministère de l’Education de Base(MINEDUB), le Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique (MINJEC), le Ministère des Enseignements Secondaires (MINSESEC) et le Ministère de l’Enseignement Supérieur (MINESUP.). Les travaux de cet atelier qui a démarré le mardi 17 décembre 2024 à l’hôtel United de Yaoundé, été officiellement ouvert par le président de la commission des Droits de l’Homme du Cameroun, James Mouangue Kobila. Dans son propos liminaire, il a indiqué qu’avec ces nouvelles recommandations acceptées, le Cameroun connait des avancées en matière de protection et promotion des droits de ses populations notamment les couches vulnérables, ceci après son 3e passage à l’EPU. Il dit : « …le Cameroun s’est engagé à enrichir son cadre juridique et ses pratiques en matière de promotion et de protection des Droits de l’homme, y compris en  parachevant les processus de ratification du Protocole facultatif de la Convention contre la torture et de la Convention relative aux disparitions forcées, ainsi qu’en arrimant son droit interne aux stipulations des instruments internationaux qu’il a ratifiés, tels que ceux concernant les Droits de l’enfant, la protection d’autres groupes vulnérables tels que les femmes, les personnes vivant avec un handicap, les minorités et les populations autochtones ainsi qu’en œuvrant davantage pour la pleine réalisation du droit à la paix et en œuvrant  encore plus pour éradiquer l’insécurité dans les Régions confrontées aux attaques des terroristes de Boko Haram dans l’Extrême-Nord ou au terrorisme des sécessionnistes dans les Régions du Nord-Ouest et le Sud-Ouest… » Conscient du rôle clé que jouent les organisations de la société civile dans l’élaboration de plusieurs documents stratégiques et qui attrait au bien-être des populations, le président de la CDHC a salué une fois de plus leur participation active dans l’EPU. James Mouangue Kobila a souligné : « Il y a néanmoins lieu de reconnaître que les OSC ont été très actives dans le processus de l’EPU, en particulier par le biais de consultations nationales…C’est pourquoi la CDHC est toujours heureuse et bien disposée à travailler avec toutes les OSC car nous savons à quel point ces dernières sont utiles en tant qu’acteurs incontournables du Mouvement des Droits de l’homme… » Indicateur de résultats et défis Durant l’atelier, il était également question pour les participants d’être outillés sur les indicateurs des résultats en matière des droits de l’Homme. La session était animée par Christian Lumbala Tshibangu, Conseiller Régional de l’EPU par ailleurs spécialiste des droits de l’homme au Centre des Nations Unies pour les Droits de l’Homme et la Démocratie en Afrique Centrale. Selon le Conseiller Régional de l’EPU il est important d’évaluer de manier mesurable les progrès qui ont été réalisés pour avoir un impact. Et pour les participants des OSC présents à cet atelier de brainstorming, il est essentiel qu’ils connaissent ce qu’est un indicateur. « A travers ce module, nous avons été en mesure de montrer aux participants ce que c’est un indicateur qualitatif, un indicateur quantitatif. C’est quoi un indicateur structurel ? C’est quoi un indicateur de processus ? C’est quoi un indicateur de résultat ? De telle sorte qu’avec les 220 recommandations qui ont été formulées et que le Cameroun a accepté de mettre en œuvre, elles vont être assorties des activités bien précises mais surtout chaque activité va être reliée à des indicateurs une mesure concrète qui va permettre qu’au bout d’une certaine période il y’a des indicateurs de résultats vu que le cycle d’un EPU est de 4 ans et demie. Le rapport du Cameroun a été adopté en 2024, et donc en 2029 le Cameroun va se présenter au 5e cycle, et le rapport du Cameroun va être a mesure de dire que des 220 recommandations, voilà là où nous sommes arrivés en terme de réalisations. Ceci ne peut que se faire avec les indicateurs et donc la valeur ajoutée, ce qui sera la contribution de la CDHC et les OSC c’est d’être en mesure

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 Projet PALM-TREEs : Guider, Capitale de la Réflexion sur la Production d’Oignons

Projet PALM-TREEs : Guider, Capitale de la Réflexion sur la Production d’Oignons

Un atelier de lancement des activités du projet dénommé : « PALM-TREEs » s’est tenu du 12 au 13 décembre 2024 dans la ville de Guider, région du Nord Cameroun. Le Projet intitulé « Un Regard Panafricain et Transdisciplinaire sur les Personnes vivant en marge : Faire face aux risques d’événements extrêmes » en Sigle en Anglais « PALM-TREEs » connait des avancées en Afrique Centrale et au Cameroun en particulier au vu des multiples activités qui sont organisées. Dans l’optique d’implanter ce projet dans les différentes régions du Cameroun, il a été organisé du 12 au 13 décembre 2024, dans la ville de Guider, située dans le département du Mayo-Louti dans la région du Nord Cameroun, un atelier de lancement des activités dudit projet.   La ville de Guider, située dans le département du Mayo-Louti, région du Nord Cameroun fait désormais partie de ces zones qui ont vu germer les fruits du projet PALM-TREEs grâce cet atelier qui a fait asseoir plusieurs parties prenantes, qui ont par la suite nourrit plusieurs belles idées pour mettre en vitrine le projet. C’était donc une rencontre d’échanges qui a permis de mobiliser une quarantaine d’acteurs clés du secteur agricole (producteurs, commerçants, transporteurs), des représentants gouvernementaux et des membres de la société civile pour discuter des enjeux liés à la production d’oignon et des impacts du changement climatique. Lors de la cérémonie d’ouverture, Gilles Christian Sadi, le Préfet du département du Mayo-Louti, représenté par son deuxième adjoint, a tenu à porter un message d’encouragement aux organisateurs de cette rencontre. Il dit : « Je voudrais remercier le Réseau Femmes Africaines pour le Développement Durable (REFADD) et l’Université de Yaoundé 1 pour leur engagement et leur dévouement à la recherche, au développement durable et à la résilience des populations. Votre travail, ainsi que celui de toutes les parties prenantes présentes ici, est essentiel pour faire avancer notre cause commune. » Selon le représentant de Monsieur le Préfet du Mayo-Louti, il a été indiqué que ce projet qui est d’une importance cruciale, vise à trouver des solutions durables face aux impacts des événements climatiques extrêmes sur les populations marginalisées.  Il a également insisté sur le fait que cet atelier marque un moment fort d’échanges et de réflexions sur les défis posés par les aléas climatiques, tels que les inondations et la sécheresse. Le préfet a exprimé sa conviction que l’implication de tous les acteurs est essentielle pour développer des stratégies efficaces face à ces défis. Il a encouragé les participants à partager leurs idées et expériences afin de renforcer la résilience climatique dans la région. “Nous devons travailler ensemble pour intégrer les préoccupations liées au genre dans la réduction des risques de catastrophes” a-t-il déclaré, soulignant l’importance d’une approche inclusive. Au cours de la cérémonie de lancement, la Coordinatrice régionale du Réseau Femmes africaines pour le Développement Durable (REFADD) a également pris la parole. Madame Yigbedek Monique a souligné d’entrée de jeu l’importance de cet atelier de lancement de projet et de brainstorming. Elle a indiqué que l’objectif principal de l’atelier est de favoriser l’appropriation du projet par les parties prenantes. Et a par la suite présenté le projet PALM-TREEs comme un projet novateur qui adopte une approche collaborative, guidée par les besoins des communautés locales. Madame Yigbedek dit : « En général, ce genre de projet a presque toujours tendance à fonctionner comme un pipeline directionnel qui commence par la recherche sur les informations climatiques et se termine par les « utilisateurs »  qui sont généralement les communautés; Contrairement à ce fonctionnement, le projet palm Trees  s’est fixé pour objectif d’adopter une approche différente et fera des recherches sur le climat, dirigées par les besoins et les expériences des parties prenantes et des communautés. Il vise à créer des informations climatiques qui répondent aux impacts des risques locaux et qui sont pertinentes pour les groupes moins privilégiés. » L’un des points majeurs relevé également dans le discours de Monique Yigbedek, Coordonnatrice du REFADD est celui des changements climatiques qui ne saurait être mis dans les oubliettes au vu des dégâts et impacts négatifs que celui-ci cause a de nombreux producteurs. « En effet, les changements climatiques enregistrés tels que le retour tardif et parfois brutal des pluies, les températures élevées ; des sécheresses inhabituelles qui elles aussi entravent la production agricole en occasionnant la prolifération des insectes et ravageurs etc…. attire l’attention du monde entier, particulièrement, sur la vulnérabilité de genre à l’égard des femmes mais aussi de tous les groupes marginalisés, je dirais les faibles. C’est pour cette raison fondamentale que le projet Palm Trees voudrait développer de solides réseaux d’échange de connaissances sur le sujet et trouver des solutions et pratiques de résilience adaptées, qui ont un impact sur les populations africaines en général et sur les personnes marginalisées en particulier. » dixit Madame Yigbedek. Lors de son intervention, le Professeur Wilfried Pokam, a quant à lui, mis l’accent sur le rôle crucial de l’oignon dans l’économie locale, en précisant que le Nord et l’Extrême-Nord représentent 85 % de la production nationale. Professeur Pokam a également partagé des données sur les variétés d’oignons et les méthodes de culture, tout en abordant les défis liés aux événements climatiques. Son exposé a été suivi d’une discussion enrichissante avec les partenaires sectoriels, qui ont partagé leurs expériences et leurs préoccupations concernant la durabilité de la production d’oignon, notamment les défis de la production d’oignon dans la région, l’accès aux financements et l’utilisation de pratiques agricoles durables. Des chercheurs et des producteurs ont échangé des idées sur les moyens d’améliorer la production tout en préservant l’environnement. Une attention particulière a été accordée à l’inclusion des personnes marginalisées dans le processus de recherche et de développement.  Le projet PALM-TREEs se distingue par son approche participative, qui vise à Co-construire des solutions adaptées aux besoins des communautés vulnérables. Cet atelier représente une étape déterminante pour le projet PALM-TREEs, qui vise non seulement à renforcer la production d’oignon, mais aussi à soutenir les communautés vulnérables face aux défis climatiques. Les participants sont sortis de l’atelier avec un sentiment

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 Huawei ICT Competition 2024 : Les Etudiants Camerounais Prêts à Relever de Nouveaux Défis

Huawei ICT Competition 2024 : Les Etudiants Camerounais Prêts à Relever de Nouveaux Défis

La 9eme édition de ce prestigieux concours international est officiellement sur les rails au Cameroun. Pour cette 9eme édition de la « Huawei ICT competition » qui a été lancée dans les différentes grandes inscrites dans la Huawei ICT Academy, il est question pour les étudiants de ces neuf (09) universités et grandes écoles camerounaises, de rivaliser de talents, d’ingéniosité et se positionner au sommet comme dans les éditions précédentes. Après avoir fait escale dans plusieurs grandes institutions académiques, à savoir : l’Ecole Nationale Supérieure Polytechnique de Yaoundé (ENSPY), l’Université de Ngaoundéré, l’Ecole Nationale Supérieure Polytechnique de Douala (ENSPD) de l’Université de Douala, l’Institut Universitaire de la Côte et l’Institut Universitaire de Technologies de Douala, les campagnes de sensibilisation et d’inscription se sont poursuivies à l’IAI Cameroun et IFTIC-SUP, attirant près de 500 étudiants désireux de participer à cette aventure technologique unique.   Enjeux et défis de la 9eme édition Cette édition 2024 qui est la 9eme du genre est placée sous le thème : “Connection Glory Future” Tel qu’indiqué par les organisateurs de ce concours, les étudiants camerounais bénéficieront d’un encadrement encore plus approfondi. Après la phase d’inscription, les participants passeront un examen préliminaire en ligne pour déterminer les finalistes de l’étape nationale, prévue en janvier 2025. Les vainqueurs vont former des équipes qui représenteront le Cameroun à l’échelle régionale, avec en ligne de mire une place pour la finale mondiale qui va se dérouler à Shenzhen, Chine en mai 2025. Au-delà de la compétition habituelle, les étudiants qui prennent part à ce concours pourront également participer à l’Innovation Competition, qui est un volet axé sur la création de solutions innovantes utilisant des technologies de pointe telles que l’intelligence artificielle et le cloud computing. Au cours des sessions d’échanges, le staff de l’équipementier chinois, Huawei a présenté les contours de cette competition internationale. Il était question pour la team Huawei de mettre en vitrine les nombreuses opportunités qu’offre la Huawei ICT Academy en terme de stages professionnels et bourses d’écoles. Dans son propos liminaire au cours du lancement, Mme Edmonde DJIOKENG TEBOH, Directrice des Relations Publiques de Huawei Zone CEMAC, a salué l’engagement des nouveaux participants à ce concours et a exprimé sa confiance en l’avenir des jeunes talents camerounais. Elle dit : « Les étudiants camerounais, nous ne cesserons de le dire, ont beaucoup de talents. Les résultats obtenus suite à la Huawei ICT Competition 2023-2024 le confirment à nouveau et démontrent de ce fait l’efficacité des programmes d’études pratiqués au Cameroun. En effet, il ne faudra pas oublier que Huawei apporte juste un complément aux formations déjà instaurées par le gouvernement camerounais à ces étudiants ». Lors de l’édition précédente, les équipes camerounaises ont brillé en obtenant le 1er prix en Network track et le 3ᵉ prix en Cloud track à la finale internationale, surpassant 44 pays.   A propos de la Huawei ICT Academy Lancé en 2015, ce concours qui s’inscrit dans le cadre du programme dénommé : « Huawei ICT Academy », vise à transférer des compétences clés dans les domaines des technologies de l’information et de la communication (TIC) aux jeunes talents. L’objectif est simple : évaluer leurs connaissances, leur créativité et leur capacité à résoudre des défis complexes. Organisé en trois étapes (nationale, régionale et internationale), cet événement est une véritable vitrine de l’excellence camerounaise. La « Huawei ICT Competition » est bien plus qu’un simple concours ; c’est un tremplin pour l’excellence et un levier pour les carrières technologiques de demain. À travers cet événement, Huawei et ses partenaires démontrent leur engagement à façonner l’avenir des jeunes talents, tout en mettant en lumière les compétences exceptionnelles du Cameroun. Voici le lien d’enregistration pour la compétition : https://e.huawei.com/en/talent/#/ict-academy/ict-competition/regional-competition?zoneCode=026902&zoneId=98269642&compId=85131998&divisionName=Northern%20Africa&type=C001&isCollectGender=N&enrollmentDeadline=undefined&compTotalApplicantCount=4071 Lien pour intégrer le groupe de discussion sur la compétition : https://chat.whatsapp.com/EKgXvSBrjjc1xZIKPlRGuh  

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 At NACC’s First Scientific Days: Researchers, Health Experts Set Up New Strategies to Tackle HIV/AIDS

At NACC’s First Scientific Days: Researchers, Health Experts Set Up New Strategies to Tackle HIV/AIDS

This was during a two-day workshop held from December 3 to 4, 2024 in Yaounde, Cameroon. The two-day workshop, organized by the National AIDS Control Committee(NACC) in collaboration with the Ministry of Public Health, took place from December 3rd to 4th, 2024, in Yaounde, under the theme “Implementing Priority Interventions towards AIDS Elimination in Cameroon.” The event described as the first of its kind in the history of the National AIDS Control Committee, came in as one of the key activities of the Cameroonian month against AIDS, a few days after the commemoration of World AIDS Day observed every 1st of December. As underscored by the Minister of Public Health who presided over the opening ceremony of this scientific “rendez-vous”, this workshop that brought together government officials, researchers, health experts, leaders of community-based organizations, and peer educators, just to name these few, was aimed at informing and mobilizing the scientific community, decision-makers, implementers, community organizations, and the population about scientific advancements and their strategic application to strengthen the national response. In his key address, Minister Manaouda Malachie who doubles as the president of the National AIDS Control Committee, made the genesis of the emergence of HIV in the early 1980s creating a global crisis that was later controlled with the advent of antiretroviral drugs in 1996. “Today, thanks to scientific advancements, people living with HIV can control the virus, improve their quality of life, and prevent its transmission. Despite these advances, HIV remains a major public health challenge. In this context, achieving the elimination of AIDS as a public health emergency by 2030 has become a humanitarian and societal imperative…” According to Dr. Manaouda Malachie, several challenges are still at our doorsteps, and need for dynamic and collective measures to uplift them. He pointed out key challenges such as inequalities in care, discrimination, and stigmatization. The Minister said: “In recent years, research on HIV has led to significant advancements in several essential areas: In prevention: the improvement of protection tools, including the PMTCT option B+, pre-and post-exposure prophylaxis in Cameroon, as well as condoms; In treatment: the development of innovative therapies, including long-acting molecules that reduce stigma and improve adherence; In research: the exploration of new strategies to prevent vertical transmission of HIV and to block the variability of the virus, which is the source of resistance. In light of the persistent challenges, it is crucial to: Strengthen access to services for key and vulnerable populations; Reduce inequalities in care by combating discrimination; and Integrate the concepts of comorbidities, aging, and mental health. Translate all these scientific advancements into concrete actions on the ground.” He went further to challenge the different participants at the workshop to develop new approaches that will foster the fight against HIV/AIDS in Cameroon. “Transforming HIV from a deadly and urgent disease into a manageable chronic condition is a major victory. On the path to elimination, I encourage you to push your reflections on ambitious approaches such as new long-acting prevention and treatment tools, and strategies to achieve the 10-10-10 goals aimed at reducing stigma, discrimination, and gender-based violence to less than 10%. These goals are ambitious but achievable to preserve our gains and accelerate our progress.” He said. To conclude his statement, he said: “This first edition of the Scientific Days of the CNLS is a unique opportunity to consolidate our multilateral and multidisciplinary cooperation towards sustainability. I urge you to engage in constructive exchanges and make relevant recommendations. I wish you fruitful discussions and remain confident that the conclusions of these days will contribute to strengthening our collective response to HIV towards elimination.” Pr. Zoung-Kanyi Bisseck Anne-Cecile was granted the floor on behalf of the research committee that actively participated in this two-day session. The female pioneer researcher said, “Our mission is to support the dissemination of research work, provide support to the National AIDS Control Committee for decision-making on the results of the research in the field, and apply epidemiological and scientific evaluations…” In her further explanations, Pr. Zoung-Kanyi Bisseck Anne-Cecile outlined that, the consultative body will be of crucial support to NACC by coordinating scientific research and findings and in helping to translate evidence into palpable policies. Speaking during the session, Dr. Fokam Joseph, Permanent Secretary of NACC made a few emphases on the pediatric surge which is aimed at identifying thousands of children living with HIV in Cameroon and linking them to life-saving treatment. The Permanent Secretary of NACC believes the national pediatric surge operation is an innovative approach to tackle HIV/AIDS at its roots. The fight against HIV/AIDS in Cameroon remains a health priority as stakeholders commit to achieving the 95-95-95 targets of UNAIDS by 2030. The UNAIDS 95-95-95 targets aim to ensure that by 2030, 95% of all people living with HIV know their HIV status, 95% of all people diagnosed with HIV receive sustained antiretroviral therapy, and 95% of all people receiving therapy have viral suppression. Elise Kenimbeni

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 37ème Journée Mondiale de Lutte contre le SIDA : Pour Une Protection des Droits des Personnes Vulnérables

37ème Journée Mondiale de Lutte contre le SIDA : Pour Une Protection des Droits des Personnes Vulnérables

Dimanche 1er Décembre 2024 a été commémoré comme 37ème Journée mondiale de lutte contre le Sida. Au Cameroun comme il est de tradition, le 1er Décembre qui est la journée mondiale de lutte contre le Sida, est commémoré autour de plusieurs activités qui se tiennent à travers le triangle national. A Yaoundé, capitale du Cameroun, c’est la salle des banquets de la croix rouge qui a servi de cadre aux activités marquant cette journée mondiale. Membres du gouvernement, organismes internationaux, partenaires techniques et financiers, les organisations de la société civile, pairs éducateurs et bien d’autres acteurs engagés dans la lutte contre le VIH/Sida se sont réunis le 1er Décembre 2024 afin d’unir leurs voix et dire « Non » à cette pandémie qui a jusqu’ici ravagé des vies. Au cours des différentes allocutions, il a été souligné que l’éradication de cette pandémie à l’horizon 2030 sera véritablement effective si également la lutte est intensifiée en direction de la stigmatisation et de la discrimination que subissent les populations clés et les personnes vulnérables. Promotion des Droits Humains Pour cette année 2024, la 9ème édition du mois camerounais de lutte contre le VIH/Sida ainsi que la journée mondiale de lutte contre le Sida (JMS) ont été placés sous le thème :« Suivons le Chemin des Droits ». Cette thématique qui interpelle plusieurs acteurs a permis de mettre en exergue les questions de stigmatisation et de discrimination qui sont perceptibles dans les communautés. Le Directeur pays de l’ONUSIDA, Monsieur Taoufik Bakkali a souligné l’importance de ce thème qui permet de sensibiliser davantage les populations notamment les personnels de santé ou le niveau de stigmatisation et de discrimination sont encore visible. « Le thème de la journée mondiale de lutte contre le sida 2024 souligne le rôle essentiel des droits de l’Homme dans l’accélération des progrès vers l’éradication du Sida. Le rapport annuel lancé le 26 Décembre et intitulé : « prendre le chemin des droits pour mettre fin au Sida » démontre qu’il faut aborder les droits dans sa généralité et sa globalité mise en contexte dans l’élimination du VIH/Sida. » Dixit Taoufik Bakkali. Il ajoute que : « En tant que responsables des Droits de l’Homme, les gouvernements nationaux devraient appliquer les engagements qu’ils ont pris de respecter les droits et libertés fondamentaux dans le contexte du VIH, cela permettra d’éviter les souffrances humaines, de promouvoir un développement sain et économiser des ressources financières substantielles à long terme… » Dans son propos liminaire, Dr Manaouda Malachie, Ministre de la Santé Publique a d’entrée de jeu salué les progrès réalisés ces dernières années, en indiquant que la prévalence du VIH au Cameroun est passée de 5,4% en 2004 à 2,7% en 2018 grâce aux multiples efforts des autorités, des acteurs communautés et les partenaires techniques et financiers. Le Ministre de la Santé Publique a martelé que la protection des droits de tous, en particulier des personnes vivant avec le VIH est essentielle pour atteindre les objectifs 95-95-95 et de l’éradication à l’horizon 2030. Il a souligné les efforts du Gouvernement pour garantir l’accès universel aux traitements antirétroviraux et la gratuité des soins pour les femmes enceintes séropositives. La Couverture Santé Universelle (CSU) qui offre aux populations camerounaises des soins à des coûts réduits a été mise en vitrine une fois de plus par le Ministre qui a profité de cette occasion pour appeler les hommes, femmes, jeunes et jeunes garçons à aller se faire enrôler. Prise en charge du VIH/Sida Au cours d’une interview avec les médias, Dr. Fokam Joseph, Secrétaire Permanent du Comité National de lutte contre le Sida(CNLS), a indiqué une fois de plus que l’un des défis actuels du gouvernement camerounais est celui de lutter contre des nouvelles infections notamment chez les femmes enceintes et les enfants en communautés qui peuvent être infectés. D’où la mise sur pieds de l’initiative « pediatric surge ». Il dit : « Nous devons harmoniser nos interventions et faire face aux défis, notamment la couverture des charges virales. Grace à la couverture Santee Universelle, l’accès aux tests et aux traitements est désormais gratuit, ce qui nous permet d’accélérer notre réponse. Nous sommes déterminés à mettre en œuvre notre feuille de route pour la durabilité afin de continuer à progresser vers l’élimination du VIH d’ici 20230… » D’après les statistiques de 2023 du Comité National de lutte contre le Sida(CNLS), la prise en charge du VIH connait des avancées. C’est un total de 481,147 soit 98,1% personnes vivants avec le VIH qui connaissent leur statut ; 448,818 soit 93,3% de personnes qui sont sous traitement antirétroviral ; 52,852 nouveaux patients sont sous traitement ; 45,3% de patients qui sont sous traitement ont fait au moins une charge virale ; 85.9% des patients sous traitement étaient indétectables. Aussi, il a été souligné que, la couverture en antirétroviraux chez les femmes enceintes était de 90,1% au niveau programmatique et seulement de 59,9% au niveau populationnel. 95,3% des femmes enceintes dont le statut était déjà connu étaient sous ARV contre 83,3% pour celles dont le statut a été découvert au cours de la présente grossesse. La cérémonie de commémoration de la 37ème édition de la JMS s’est achevée par une visite de stands des structures publiques et des organisations a base communautaires, mettant en exergue leurs différentes activités dans la lutte contre le VIH/Sida.   Rédaction Timesnews2.info

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La Fondation MTN Offre de l’Eau Potable aux Populations de Mazare, dans la Région de l’Extrême-Nord

La Fondation MTN, première fondation d’entreprise au Cameroun, a le plaisir d’annoncer la rétrocession, ce 16 mai 2023, d’un point d’accès à l’eau potable aux populations de Mazare dans la commune de Moutourwa, Région de l’Extrême-Nord. La cérémonie officielle de rétrocession était présidée par le 1er Adjoint Préfectoral du Département du Mayo-Kani Monsieur Nguele Boris, en présence des autorités municipales, traditionnelles, religieuses, et des représentants de MTN Cameroon. Le forage ainsi mis à la disposition des populations de Mazare est un point d’accès à l’’eau potable constitué d’une pompe immergée, alimentée en énergie solaire grâce des à des plaques photovoltaïques placées au-dessus de la cuve du château d’eau. Ce point d’eau potable vient soulager des populations dans une région où l’accès à l’eau potable est difficile. L’eau rendue disponible par ce don de la Fondation MTN va également permettre aux familles de lutter contre l’insalubrité et les maladies hydriques. Le forage va aussi mettre fin aux distances interminables que la quête d’eau imposait aux 700 habitants de Mazare. Cette opération d’aide humanitaire rentre dans le cadre du soutien au développement de nos communautés, véritable priorité nationale, avec pour objectif de faciliter l’accès à l’eau potable dans la région de l’Extrême-Nord qui statistiquement est la région qui rencontre le plus de problèmes d’accès à l’eau et a été signalée lors de la dernière épidémie de choléra l’une des zones la plus touchée par l’épidémie. Plus qu’une priorité la facilitation d’accès à l’eau potable est un axe d’intervention majeur de la Fondation MTN auprès des chaleureuses populations de l’Extrême-Nord. L’autre axe étant la contribution au développement d’un écosystème du numérique solide et impactant pour favoriser l’autonomisation des jeunes et des femmes et l’accès du plus grand nombre à une éducation inclusive et de qualité. Voici la vidéo de l’action menée par MTN Cameroon : MTN Cameroon

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