2ème Edition du Forum sur l’Autonomisation Economique de la Femme : Le RADD Met en Vitrine l’Agroécologie Paysanne

2ème Edition du Forum sur l’Autonomisation Economique de la Femme : Le RADD Met en Vitrine l’Agroécologie Paysanne

La deuxième édition du Forum sur l’Autonomisation Economique de la Femme (FAEF) qui se tient du 1er au 3 Août 2024 dans la ville d’Esse, département de la Mefou et Afamba, région du Centre a déjà planté le décor.  Au Cameroun, le Forum sur l’Autonomisation Economique de la Femme (FAEF) est désormais un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les passionnés de l’économie rurale. A peine lancée, cette initiative du Réseau des Acteurs du Développement Durable (RADD) fait déjà parler d’elle à travers ses premières actions engagées lors de l’édition numéro une qui s’est tenue dans la ville d’Esse dans la Mefou et Afamba, région du Centre. L’évènement qui se tient du 1er au 3 Août 2024 a pour objectif principal de promouvoir l’agroécologie paysanne et les métiers verts comme solutions résilientes au changement climatique. Le RADD œuvre pour le développement inclusif et durable. Pour atteindre cet objectif, le réseau s’est fixé quatre axes d’actions dont l’autonomisation économique de la femme. Dans le cadre de ce programme, le RADD a organisé en 2023 le Forum sur l’Autonomisation Economique de la Femme (FAEF).  Selon la Secrétaire Exécutive du RADD, Mme NGOBO Marie Crescence, le FAEF se veut être non seulement une activité de promotion de l’entreprenariat rural et l’autonomisation des femmes et jeunes filles, mais c’est aussi une rencontre par laquelle le RADD entend transmettre aux apprenant(e)s sa riche et longue expérience de plus de 15 ans dans les domaines d’accompagnement, de création ainsi que dans le développement des unités de transformation des produits agro-pastoraux et forestiers. Avec à ce jour plusieurs actions axées sur les changements climatiques, l’économie verte, le RADD est donc le partenaire idéal dans l’accompagnement des familles paysannes, qui sont la mamelle nourricière au Cameroun. Comprendre la thématique de cette 2ème édition Pour ce deuxième rendez-vous qui mobilise des centaines de femmes, jeunes filles et même des hommes, le RADD s’est appuyé sur le thème : « l’Agroécologie paysanne, levier de développement d’une économie rurale, résiliente aux effets du changement climatique ». D’après le RADD, cette année le choix du thème n’a pas été fait de manière hasardeuse, il s’appuie sur le fait que la saison culturale qui est en cours au Cameroun marquera l’histoire du développement de l’économie rurale. Commencées en fin février, les précipitations vont alterner entre les petites pluies et les longues périodes de rude sécheresse, caractérisées par des températures très élevées. Dans les champs, certaines graines n’ont pas germé. Celles qui l’ont fait ne poussent pas de façon normale. La situation présage de mauvaises récoltes et de façon conséquente, la famine, la baisse drastique des revenus des femmes rurales, la paupérisation. Comment la cultivatrice peut-elle, en ces temps de changement climatique, maintenir son niveau de production, donc ses revenus. La menace des mauvaises récoltes et de perte de semences paysannes est réelle, et c’est tout le système cultural qui est en danger d’où l’urgence de l’action. Et pour palier a ces nombreux défis qui relèvent des changements climatiques dans notre pays notamment avec ces mauvaises récoltes, le FAEF ouvre un espace d’échanges, de partages d’expériences entre les acteurs du monde rural, particulièrement les femmes, pour trouver des solutions locales, adéquates et durables pour une production vivrière dans un contexte de changement climatique. De la production à la transformation, des experts dans les différents domaines vont édifier les femmes, et les jeunes en congés sur les techniques qui leur permettent de s’adapter au changement climatique ou de construire leur résilience. Les présents termes de référence reviennent sur la structure d’objectifs de cette initiative ainsi que les activités et les résultats prévisionnels. C’est donc un nouveau challenge pour le RADD, qui a, à la première édition lancée le FAEF sur le thème : « Femmes Autonomes Souveraines de leur Alimentation » Les Participants du FAEF  Le FAEF qui s’inscrit désormais comme un rendez-vous d’échanges et de partages a pour cibles de nombreux participants. La ville d’Esse a accueilli des centaines de femmes et jeunes filles, et au compteur l’on a dénombré plus de 200 participants. Les différentes cibles sont :les femmes et particulièrement les femmes rurales qui subissent de plein fouet les effets du changement climatique ; les jeunes filles surtout les jeunes filles mères afin qu’elles puissent y trouver un déclic, et partir de ces formations, créer une source de revenus stable et viable pour l’éducation de leur famille ; les jeunes vacanciers, c’est la période des vacances, ces enfants et ces jeunes doivent se frotter aux apprentissages pratiques afin qu’ils commencent à construire leur autonomie économique.  Bref aperçu du RADD Le RADD est une association de droit camerounais créée en 2009 sous le récépissé n°000223/RADD/J06 du 02 Mars 2009, lutte contre les injustices socioéconomique, environnementale, climatique et œuvre pour un développement inclusif et durable. En effet, depuis plus de 15 ans, le RADD travaille sur l’amélioration des conditions de vie des populations vulnérables en mettant un accent sur l’autonomisation et l’indépendance économique de la femme et de la jeune fille. De 2009 à nos jours le RADD a formé des milliers de femmes à la création et au développement des activités génératrices de revenus par la valorisation des produits locaux issus de nos différentes exploitations familiales.   Le RADD comme bon nombre d’associations et organisations a base communautaires œuvre pour l’atteinte des Objectifs du Développement Durable (ODD) et met l’accent sur la nécessité de rendre les femmes autonomes afin qu’elles contribuent pleinement au processus de développement durable dans notre pays. Elise Kenimbeni

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 At Launch of International Day of Indigenous People, Stakeholders Recommit to Tackle Social Exclusion

At Launch of International Day of Indigenous People, Stakeholders Recommit to Tackle Social Exclusion

Social Affairs Minister, Pauline Irene Nguene officially launched on Friday, 26th July 2024, the 30th edition of the International Day of Indigenous People in Yaounde.  On Friday, July 27, 2024, in Yaounde, Cameroon’s nation capital, the Ministry of Social Affairs (MINAS) in partnership with local and international organizations launched the 30th edition of the International Day of Indigenous People. Ahead of the celebration of this year’s edition of the International Day of Indigenous People which takes place every 9th of August, government officials, and leaders of international and civil society organizations agreed to fully integrate indigenous people in activities that will alleviate their living conditions. During the presentation of stakes and challenges of this celebration, Georges Edmond Makita, Director in charge of national Solidarity and Social Development said despite the vast programmes that have been set in motion by the government through the Ministry of Social Affairs, there are many incentives which could put in place by some organizations. He said projects that are often carried out by organizations have to take into account aspects of safeguarding and the environment. Mr. Makita Georges Edmond underscored the need to examine some social programmes at the level of community-based organizations, so as to fit in social aspects that will positively impact the lives of Indigenous persons. As mentioned in his presentation, the Director in charge of national solidarity and social development outlined the fact that, transformative projects are crucial in achieving Sustainable Development Goals (SDGs), and which could only be attained if some policies are fully implemented in the field. Also, during the launch, the World Wildlife Fund (WWF) as one of the key international organizations that collaborate with MINAS for the well-being of Indigenous people, was given the floor to highlight some of its major activities that incorporate Indigenous groups like the Baka and Bagyeli in the East region. According to WWF’s representative, a series of projects to help empower indigenous communities to participate in important management processes such as revenues from lands and agro-pastoral activities are undertaken in some regions of the country. To officially launch the International Day of Indigenous People’s two-weeklong activities, the Head of MINAS in Cameroon, Madam Nguene Pauline Irene said this 30th edition is placed under the theme: “Protecting the Rights of Indigenous Peoples in Voluntary Isolation and Initial Contact”. The theme of this 30th edition as outlined is a critical understanding of the pivotal role that indigenous people play in our societies. As indicated, Indigenous Peoples in voluntary isolation and initial contact are the best protectors of the forest. Where their collective rights to lands and territories are protected, the forests thrive, alongside their societies. And not only is their survival crucial to the protection of our planet, but it is also crucial to the protection of cultural and linguistic diversity. Pauline Irene Nguene went further to note that this year’s celebration of the International Day of Indigenous People comes in a particular context as Cameroon is about to hold inclusive and peaceful elections, which calls for a massive mobilization of the population without discrimination. The timely celebration is also a moment to call for all Indigenous people to massively register on voters’ lists ahead of the presidential elections. Minister Pauline Irene Nguene said: “In his general orientation speech at the beginning of 2023, the Head of State prescribed the continued implementation of policies for the social inclusion of vulnerable society groups. In line with this, the Ministry of Social Affairs has made the inclusion of groups with specific vulnerabilities a priority orientation for all its major activities, in this case, the celebration of days dedicated to them. Again, beyond the permanent advocacy and sectoral actions undertaken by the various stakeholders, citizenship education for Indigenous Peoples would genuinely enable them to exercise their right to participate in public life in several areas, and bring about the desired changes for their social inclusion: for these communities, it is a question of ensuring their participation in social and economic life, their involvement in political life, in a nutshell, their participation in sustainable development. It is the exercise of this right to participation that would guarantee the feeling of belonging to the national community, and therefore the social inclusion of Indigenous Peoples and communities.” Another issue highlighted by Minister Nguene Pauline Irene in her keynote address is that of engaging Indigenous people in all decision-making processes; their active participation in citizenship for sustainable development and most importantly the respect for their rights. Elise Kenimbeni

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 DROITS HUMAINS : LA PLATEFORME UNITY SENSIBILISE SUR L’HUMANISME

DROITS HUMAINS : LA PLATEFORME UNITY SENSIBILISE SUR L’HUMANISME

Dans le cadre de son projet dénommé : “TOGETHER”, la Plateforme Unity poursuit sa campagne nationale qui a pour objectif de promouvoir l’inclusion sociale et de lutter contre les fléaux qui minent notre société. A travers ce spot en anglais et français, la Plateforme Unity plaide pour une approche à la compréhension des choix de vie et d’orientation de chaque être Humain. Les êtres humains sont tous les mêmes et jouissent des mêmes droits quel que soit leur orientation sexuelle. Vivre sans critiquer son prochain tel est le message clé dudit spot. Et de promouvoir la tolérance entre êtres humains. Le projet dénommé : « TOGETHER » qui est à sa deuxième année d’implémentation grâce au soutien de l’Union Européenne, veut apporter sa contribution à l’édification d’une société où les inégalités, l’intolérance, la discrimination et la stigmatisation ne feront plus autant de victimes. La Plateforme Unity, réseau des organisations à base communautaire a initié cette campagne de promotion des droits humains et d’éducation sur les questions de genre et d’identité. ECOUTEZ LE SPOT AUDIO EN ANGLAIS ET FRANÇAIS

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 Cameroon’s Stigma Index 2.0 Survey Reveals 14.75% of People Living with HIV Abandon Health Care Services

Cameroon’s Stigma Index 2.0 Survey Reveals 14.75% of People Living with HIV Abandon Health Care Services

The survey carried out by a team of consultants recruited by Care Cameroon in collaboration with RéCAP+ was presented in a strategic meeting held on July 18, 2024, in Yaounde. During the meeting held on July 18, 2024, aimed at presenting studies carried out for the 2023-Stigma Index 2.0 National Survey on People Living with HIV in Cameroon, several key statistics were disclosed. The objective of the PLHIV Stigma Index 2.0 Survey is to estimate the prevalence and nature of HIV-related stigma and discrimination against people living with HIV(PLHIV) to develop an evidence base and a broader understanding to inform HIV response in Cameroon. Tackling Stigmatization & Discrimination In his address, Jean Jules Kamgue, Executive Director of the Cameroon Network of Associations of People Living with HIV/ AIDS (RéCAP+) saluted the support of the government through the Ministry of Public Health, Regional Delegations, and Community-Based Organizations for their contributive efforts in this survey. Mr. Kamgue said the studies which were carried out in all 10 regions of Cameroon have enrolled 2439 people living with HIV out of the minimum size of 2400 that were targeted, giving an expected rate of 101.6%. At the end, only 2104 participants were retained for interviews following some eligibility criteria. Amongst the people interviewed 62.6% of the participants were of female sex while 37.4% of male sex. He went further to outline that, 24% of these participants were Key Populations(KPs), and the majority, that is 55.4% were Sex workers. According to the results highlighted in this crucial study as he said, stigmatization is a predominant hindrance that greatly affects the eradication of HIV/AIDS. The Executive Director of RéCAP+, Jean Jules Kamgue, seized this meeting to advocate for concerted actions that will help strangle the scourge of stigmatization and discrimination in our communities to achieve the expected 95-95-95 targets by 2030. Chairing the meeting on behalf of the Minister of Public Health, Permanent Secretary of the National AIDS Control Committee (NACC) said in 2022, the number of people living with HIV in Cameroon was estimated to be 480.228. Today the number of new cases is estimated to be 9.900 which shows a drastic dropout though there are still some challenges to uplift. Dr. Fokam Joseph said despite calls to tackle stigmatization and discrimination which are relevant to the achievement of 2030 targets, there is also the need to fight the upsurge of new infections which are increasing among key populations in Cameroon. NACC’s Permanent Secretary in his keynote address also outlined the legal protection framework that Cameroon instituted, which is a move to protect all human beings. He said the Cameroonian labour code prohibits all forms of discrimination at work, at school, and in enterprises as well. Curbing HIV treatment barriers Taking the floor to unveil key findings of the national survey, Dr. Mfochivé Njindam Iliassou, international consultant and principal investigator of this study said stigma remains one of the main barriers preventing PLHIV from accessing health care. “HIV-related stigma and discrimination lead to poor mental health, low uptake of services, and low adherence to antiretroviral(ARV) drugs. Stigma is more pronounced among healthcare workers, although there is self-stigma on the part of PLHIV. Indeed, the 2017 pilot survey-PLVIH Index 2.0 revealed that 14.75% of PLHIV chose not to seek health care services because of their HIV status.” Dr. Mfochivé Njindam mentioned the fact that 17.2% of the study participants reported they had already suspended or stopped their antiretroviral therapy out of fear that their partner, family, or friends would find out about their HIV status. Also, it was disclosed that many KPs reported avoiding visiting health facilities to receive health care services because of their HIV status (1.6%), gender identity (0.4%), sexual orientation (3.4%), or sex workers (13.4%). The survey states that: “Even after living with HIV for two years, study participants reported avoiding clinics or health centers when they needed them (8.2%). These participants were also the most frequent to report mental health-related problems (8.6%).” Leaders and representatives of Community-Based Organizations present at this strategic meeting unanimously called for the government to intensify the fight against HIV/AIDS with their support, on stigmatization and discrimination as the two main cancerous scourges plaguing the eradication of this pandemic. According to the UNAIDS 2018 Annual Report, Cameroon is the second country most affected by HIV infection in the West and Central Africa Region. Overall, HIV prevalence among people aged 15-49 years has declined progressively: 5.4% in 2004, 4.3% in 2011, and 2.7% in 2018. It is concentrated in certain specific groups such as among sex workers (SW 24.3%) and Men having sex with Men (20.6%). The fight against HIV has been centered around a national vision, which is to put an end to AIDS as a threat to public health by 2030, by reducing new infections, deaths, and stigma associated with HIV. The country is on track to achieve the global 95-95-95 target that is: 95% of people with HIV know their status, 95% of those who know their status are on treatment, and 95% of those on antiretroviral have a suppressed viral load. About the Stigma Index The stigma index is a joint initiative of a partnership between the Global Network of People Living with HIV(GNP+), the International Community of Women Living with HIV(ICW), the International Planned Parenthood Federation (IPPF), and the Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS). As outlined in the Stigma Index, this survey is an evidence-gathering process for advocacy and its main programme component focuses on community-led research to produce quality data. The overall programme goes beyond research and includes community mobilization, capacity development, and partnership building for targeted advocacy. This survey stands as the most extensive and reliable tool for measuring the stigma and discrimination experienced by PLHIV, providing important evidence that can contribute to the establishment of adequate policies and laws for creating a stigma and discrimination-free environment for PLHIV. Elise Kenimbeni

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 MINAS & Care International Seal Partnership Agreement to Better Living Conditions of Socially Vulnerable Persons

MINAS & Care International Seal Partnership Agreement to Better Living Conditions of Socially Vulnerable Persons

The Ministry of Social Affairs and Care International signed a Memorandum of Understanding on Friday, 19th of July, 2024 in Yaounde. Chaired by the Minister of Social Affairs, Pauline Irène Nguene, the ceremony was aimed at officially presenting the Memorandum of Understanding (MoU) and the joint Action Plan of the Ministry of Social Affairs (MINAS) and that of Care International for the period 2024-2026. In his address, the Director of Care International, John Mubalama Kashamba, presented the domains of collaboration and the objectives of the MOU which include the facilitation of access to basic social services such as health and education for Socially Vulnerable Persons; the fight against all types of vulnerabilities through coordinated action; transparency to gain the confidence of beneficiaries; sharing of resources where MINAS provides institutional and technical resources and where Care International provides material resources and makes good use of resources provided by the ministry. Mr. Mubalama Kashamba took advantage of his speech to appreciate the 45 years of hospitality shown to Care International by Cameroon’s government. Minister Pauline Irène Nguene in her speech highlighted actions carried out by the Ministry of Social Affairs for the socio-economic integration of Socially Vulnerable Persons. She emphasized that the contribution of partners is essential to ameliorate the living conditions of Socially Vulnerable Persons. The signing of this MOU will strengthen social inclusion and promote human capital development in line with the National Development Strategy 2030. The newly signed MoU will equally increase the intervention areas for Socially Vulnerable Persons. She concluded her speech by calling on the actors of decentralized services and Technical Operation Units to work with Care International for effective implementation of the joint Action Plan for 2024-2026 so that this MOU will positively impact the beneficiaries. The ceremony ended with the MoU sealed between Minister Pauline Irène Nguene and Mr. John Mubalama Kashamba of Care International. Timesnews2.info

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 INCLUSION POUR TOUS : LA PLATEFORME UNITY ACCENTUE SA CAMPAGNE DE SENSIBILISATION ET D’EDUCATION

INCLUSION POUR TOUS : LA PLATEFORME UNITY ACCENTUE SA CAMPAGNE DE SENSIBILISATION ET D’EDUCATION

Dans le cadre de son projet dénommé : “TOGETHER”, la Plateforme UNITY ne cesse d’accentuer ses campagnes de sensibilisation et d’éducation sur des thématiques clés, telles que l’inclusion pour tous ! La Plateforme Unity souligne l’importance de l’inclusion pour tous dans le but de combattre les fléaux tels que la stigmatisation, la discrimination et les inégalités liées à l’éducation et le travail des personnes. Une campagne qui a pour objectif de promouvoir l’inclusion sociale et de lutter contre les fléaux qui minent notre société au quotidien. La plateforme Unity, réseau de 37 organisations à base communautaire a initié cette campagne de promotion des droits humains et d’éducation sur les questions de genre et d’identité. Ceci dans le cadre de son projet dénommé : « TOGETHER », qui se veut d’apporter sa contribution à l’édification d’une société où les inégalités, l’intolérance, la discrimination et la stigmatisation ne feront plus autant de victimes. Voici le spot en français et en anglais sur l’inclusion pour TOUS !

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 Maso Acte 4 : 394 lots obtenus par les mutualistes au terme de la traditionnelle tombola

Maso Acte 4 : 394 lots obtenus par les mutualistes au terme de la traditionnelle tombola

C’était le samedi 13 juillet 2024 au palais polyvalent des sports de Yaoundé. Devant plus de 5000 mutualistes. Samedi 13 juillet 2024 est une date historique pour maman Thérèse, sexagénaire handicapée qui a pour profession le commerce. Celle-ci figure désormais parmi les heureux bénéficiaires de l’acte 4 de la Mutuelle d’Assistance et de la Solidarité (MASO). Elle bénéficie d’un financement de 250.000 Francs CFA au moment où elle fait face à de nombreuses difficultés. Dame Thérèse jubile car elle peut financer sa petite activité avec un argent qu’elle remboursera à taux zéro et sans être harcelée par la microfinance RENAPROV. Tout comme maman Thérèse, ils étaient des centaines a arbore un sourire et vibrer de joie à l’entente de leurs noms lorsque leurs tickets ont été tirés des urnes des différentes offres de la MASO. Il y’a eu de centaines de financements des projets qui allaient de 250.000 FCFA a 2.000.000 FCFA, des bourses scolaires, les équipements de maisons et une villa moderne construite par la MASO et dont les clés ont été remis à une mutualiste qui a été choisi par la « main de Dieu ». Cette année comme l’a indiqué le Révérend Pasteur, Emmanuel Noël Bissai, Président du conseil d’administration du consortium RENAPROV FINANCE S.A, la MASO a enregistré plus de 10.300 mutualistes à jour de leurs cotisations annuelles fixées à 26.000FCFA soit une contribution de 100 francs par jour. Ce sont ces milliers de mutualistes à jour qui se sont rendus massivement au palais polyvalent des sports de Yaoundé, le samedi 13 juillet 2024, pour cet évènement qui est devenu annuellement une fête  de la solidarité. La cérémonie  a été présidée par le Secrétaire General de la région du Centre, Simon Ghislain Etsil, qui représentait le Gouverneur Naseri Paul Bea, dans son propos liminaire il a salué l’initiative du groupe RENAPROV FINANCE S.A, qui mobilise et accompagne le gouvernement camerounais dans la lutte contre la pauvreté. Le Président du conseil d’administration du groupe, RENAPROV FINANCE S.A a comme à l’accoutumée a remercié les milliers de mutualistes qui malgré leurs multiples occupations ont fait le déplacement.et ont tenu à assister à ce rendez-vous de solidarité et de communion. Dans son discours de circonstance, le Révérend Pasteur, Emmanuel Noël Bissai a souligné le fait qu’il est possible de sortir de la pauvreté ou encore du cercle infernal de la précarité en devenant mutualiste, et en cotisant au quotidien 100 FCFA. Selon le PCA du groupe RENAPROV FINANCE S.A, notre pays est doté d’énormes potentiels et de richesses avec des personnes aptes mais surtout une jeunesse dynamique qui peut jouer un rôle prépondérant dans le développement. « Nous avons le devoir de solidarité quel qu’en soit la situation. Il est de notre devoir de nous unir chacun a son petit niveau afin d’apporter une réflexion pour préserver la postérité… »  a dit le Révérend Pasteur Emmanuel Noël Bissai. Au cours de l’interview accordée aux médias présents à la cérémonie, le PCA du consortium RENAPROV a exprimé une fois de plus sa satisfaction à l’issue de cet évènement qui a connu une grande  réussite grâce à ses nombreux mutualistes. Il dit : « Je voudrais bénir le seigneur pour le fait d’avoir touché les cœurs de ses fils et filles pour ce que nous puissions nous retrouver en ces lieux afin de célébrer ce qui nous est cher, la solidarité. Pour moi, ceci est un encouragement qui me permet de rester dans cette lignée, ça m’accorde beaucoup plus d’énergie, ça me donne beaucoup plus de force afin d’accomplir ce qui est bien, non seulement pour mes frères et sœurs qui sont présents ici. » En ce qui concerne les perspectives de la MASO, notamment l’acte 5 qui est déjà en cours depuis le 30 juin 2024, le promoteur  a tenu a indiqué, que la Mutuelle d’Assistance et de Solidarité demeure une vision de tous, et ne pourra que réussir grâce aux efforts conjoints des mutualistes qui portent ce projet novateur. « Il faudrait tout simplement que nous devenons d’abord témoins et ensuite si vous permettez l’expression, que nous soyons évangélistes, afin d’annoncer la bonne nouvelle à ceux-là qui ne nous font pas encore confiance, que nous pouvons oser au travers de cet écosystème de solidarité, et de sortir la majorité d’entre nous du cercle vicieux de la pauvreté. Personne ne peut nous sortir de la situation dans laquelle nous vivons si ce n’est nous-mêmes. C’est à nous de prendre en mains nos responsabilités avec des produits qui riment avec nos réalités. Et je crois que c’est la voie en toute modestie que j’essaie de montrer pour qu’on se rassemble. Il faut savoir que soudé on sera fort, soudé beaucoup sortiront de la misère et on n’aura plus beaucoup de nos frères qui vont prendre l’embarquement pour l’Europe parce que Dieu a béni le continent Africain… Si on se réuni, par exemple, cette jeunesse qui croit que le paradis c’est ailleurs, peut avancer grâce à nos efforts… » Le rendez-vous est donc pris pour l’année prochaine avec plusieurs innovations et des surprises. Elise Kenimbeni

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 Sénégal : La Génomique au Cœur du Symposium du CIGASS

Sénégal : La Génomique au Cœur du Symposium du CIGASS

La génomique étant un élément capital pour disposer d’une bonne surveillance sanitaire était la thématique centrale du symposium organisé le 30 juin 2024 à Dakar au Sénégal par le Centre International de Recherche et de Formation en Génomique Appliquée et de Surveillance Sanitaire (CIGASS) de l’Université Cheikh Anta Diop. Lire l’intégralité du communiqué du CIGASS CIGASS – Dakar, le 30 juin 2024 – La génomique est devenue un élément capital pour qu’il y’ait une bonne surveillance sanitaire. Elle est en avance sur beaucoup de domaine et est devenue un outil transversal qui a permis, à travers la présentation d’une dizaine de jeunes africains, principalement de jeunes filles, d’avoir des données et des études probantes sur le paludisme, la dengue, le chikungunia, la Sars COV2, les arboviroses, la fièvre de la Vallée du Rift et même sur les OMG. Le Centre International de Recherche et de Formation en Génomique Appliquée et de Surveillance Sanitaire (CIGASS) a organisé ce mercredi 26 juin 2024 un Symposium sur le thème : “Utilisation des Outils Génomiques et Bio-informatiques dans la Surveillance Sanitaire”. Cette activité a été organisée en collaboration avec le département de Santé Publique de l’Université de Harvard et l’Université de Californie, ponctuée par les sous thèmes ‘’Maladies infectieuses et génomique’’ et ‘’Bio-informatique’’. L’objectif de cette journée scientifique qui a réuni enseignants, chercheurs, étudiants (en master, doctorants), pharmaciens, médecins, biologistes, bio-informaticiens, entomologistes, avait entre autres objectifs de fournir une plateforme d’échanges et de discussions scientifiques, de présenter des recherches innovantes et des avancées récentes, ainsi que de récompenser les meilleures contributions scientifiques. A ce propos, les 3 conférenciers à savoir, le professeur Daouda Ndiaye du Sénégal, professeure Sarah Volkman des USA et le Docteur Andres J. Aranda Diaz des USA ont eu à introduire le thème de la journée. Il est ressorti des travaux et présentations que la génomique est un outil qui permet de faire une détection à temps réel des pathologies infectieuses qui décèlent les agents responsables, notamment les parasites, les virus, les bactéries, les champignons entre autres, mais il permet aussi de proposer une intervention efficace. Cette journée scientifique a révélé que pour connaitre l’efficacité du traitement et voir s’il n’ya aucune résistance, la science nous montre que l’outil génomique permet de surveiller l’impact, la rapidité et la fiabilité des résultats. Cela prouve que c’est un outil de surveillance à temps réel et de prise de décision rapide et efficace dans la prévention. En effet, cet outil permet d’aider dans la surveillance sanitaire, mais également dans l’action sanitaire par une bonne approche thérapeutique, une bonne approche de diagnostic, mais également, une bonne approche préventive. Que ça soit pour les pathogènes ou pour leur environnement, c’est-à-dire, les vecteurs. La plupart des études qui ont été présentées lors de cette journée scientifique, sous couvert de l’IRESSEF, de l’Institut Pasteur, de l’ISRA ou bien du CIGASS ont été réalisées à partir de plateformes bien sénégalaises. Et ce, par de jeunes sénégalais notamment des filles qui ont fait ce travail avec une certaine aisance. Cela valorise encore une fois la bienveillance de la jeunesse dans la recherche et cela est à saluer. C’est pour dire que le Sénégal est devenu une sorte de laboratoire de recherche et d’intervention pour l’Afrique et le monde. C’est un pays bien outillé qui regorge de compétences pour faire face aux défis sanitaires. A ce sujet, il est important, de toujours accès nos décisions sur les évidences scientifiques parce que cela met le pays à l’abri, quelles que soient les pandémies ou les pathologies qui se présentent, le Sénégal pourra faire face, mais également aider ses voisins de la sous-région qui n’ont pas les mêmes dispositions de prévention, de diagnostic et de riposte. Il faut retenir que 14 abstracts sur 37 soumissions avaient été retenus et présentés lors de cette journée scientifique. Chacun des soumissionnaires retenus devait faire une communication portant sur un résumé de 300 mots maximum en rapport avec les axes thématiques retenus devant un jury. Après délibération, le jury a retenu, à la première place des travaux scientifiques, la présentation du candidat numéro 14, monsieur Seyni Ndiaye d’IRESSEF qui a fait une communication sur ‘’La mise en place d’un système de surveillance en temps réel des arbovirus en Afrique de l’ouest : Apport du séquençage du génome complet dans la compréhension de leur réémergence’’. A la première place ex-aequo, dans le cadre de la recherche de financement, le travail de Mlle Khadyja Sy (candidat numéro 10) du CIGASS avec sa présentation portant sur la ‘’Caractérisation moléculaire des arbovirus à potentiel épidémique au Sénégal’’ a été retenu, ainsi que celui de Mlle Aida Boye Fall (candidat numéro 9) du département de biotechnologies végétales et microbiennes de l’UCAD qui a présenté sur ‘’Évaluation des dangers liés aux OGM/comparaison des technologies CRISPER CAS9 et la stratégie des Si ARN dans la fabrication de nouvelles variétés en agriculture/comparaison de la variété nouvelle avec le matériel de base’’. Tous les candidats ont reçu des attestations et des cadeaux (même ceux qui sont hors du Sénégal et qui ont présenté en ligne) des responsables du CIGASS qui s’engage à organiser des séminaires tout au long de l’année et ceux qui auront les 2 ou 3 meilleures communications recevront une bourse pour le financement (entièrement ou en partie) de leur projet de thèse ou de master et éventuellement de bénéficier d’un voyage d’étude à l’étranger au cours d’un congrès international pour les projets qui auront un impact réel dans la surveillance sanitaire. Les porteurs de projet qui ont déjà eu un financement pourront soumettre leur abstract pour une communication libre lors de ces séminaires, mais ils ne pourront pas bénéficier de financement du CIGASS. Le Service de l’Information et de la Communication

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 Friedrich Ebert Stiftung Bureau Cameroun : Christian Klatt est le Nouveau Représentant Résident

Friedrich Ebert Stiftung Bureau Cameroun : Christian Klatt est le Nouveau Représentant Résident

Christian Klatt, le nouveau représentant résident du FES a été accueilli au cours d’une cérémonie qui s’est tenue le 27 juin 2024 à Yaoundé. C’était au cours d’une cérémonie d’aurevoir à Madame Nina Netzer, représentante résidente sortante et d’accueil de Monsieur Christian Klatt, représentant résident entrant du Friedrich-Ebert-Stiftung (FES) à Yaoundé au Cameroun, qui s’est tenue le jeudi 27 juin 2024 à Bastos. Collaboration fructueuse  Ladite cérémonie a été ponctuée par des discours poignants et remplie d’émotions surtout pour les collaborateurs de l’ancienne représentante résidente du FES qui était à la tête de la structure depuis 2019.  Plusieurs témoignages ont été fait sur la qualité de la collaboration établie entre Nina Netzer et ses collègues, et qui était déjà empreinte de beaucoup de chaleur. Avec des larmes aux yeux, les anciens collègues ont souhaité bon vent à Madame Nina Netzer, leur maman qui savait leur galvaniser et créer une atmosphère conviviale. Ils ont également exprimé leur profond encouragement à cette dernière qui va affronter de nouveaux défis ailleurs. De même qu’ils ont exprimé leur aurevoir a l’ancienne représentante résidente, ils ont accueilli par des mots aimables et chaleureux, Christian Klatt, le nouveau patron du FES au Cameroun. Dans sa prise de parole, Madame Nina Netzer a exprimé sa profonde gratitude au gouvernement camerounais pour la fructueuse collaboration nouée durant sa mission au pays. Elle a également salué tous les partenaires de la société civile, les politologues, sociologues, membres du parlement, leaders des syndicats, les activistes, féministes et tous les médias qui ont œuvré d’une manière ou une autre pour la bonne marche des activités et projets implantés par le FES. Le nouveau patron du FES au Cameroun a quant lui dans sa prise de parole remercié ses collaborateurs pour l’accueil chaleureux et a promis de continuer les belles œuvres qui ont été mises sur pieds par Madame Netzer. Il a surtout promis de garder cette chaleur familiale qui existe au sein du FES. Venant de Bamako au Mali où il a été le Représentant résident durant des années, Christian Klatt s’est dit à relever les nouveaux enjeux et défis qui s’offrent à lui au Cameroun, qu’il a avoué être une destination professionnelle tant souhaitée. Présente à cette cérémonie, l’Ambassadrice d’Allemagne au Cameroun, Dr. Corinna Fricke a aussi tenu à apprécier la bonne collaboration qui a été établie avec Madame Netzer, qui lui a accueilli chaleureusement au moment de son arrivée au Cameroun. Christian Klatt, le nouveau Représentant résident du FES au Cameroun est un politologue qui a étudié à Rostock, Bonn et Ottawa, avec une spécialisation dans les théories démocratiques et critiques. Depuis 2016, il travaille pour la Friedrich-Ebert-Stiftung qui est un groupe de réflexion politique et une association liée à la démocratie-sociale. Après des escales en Northrine-Westphalie et au Sénégal, il a dirigé le bureau de la FES à Bamako au Mali.  Et aujourd’hui est à la tête du bureau Cameroun. Dialogue féministe pour la paix Au cours de cette cérémonie d’accueil et d’aurevoir des représentants résidents sortant et entrant, il s’est également une session d’échanges entre experts des questions politiques et socio-culturelles et des leaders des associations et mouvements syndicaux au Cameroun. Cette session d’échanges entrait dans le cadre des travaux du dialogue féministe pour la paix qui s’est tenu du 25 au 27 juin 2024 à Yaoundé. Cette rencontre a permis de réunir la première convention nationale des femmes pour la paix au Cameroun et le Groupe Africain de réflexion et d’action féministe (The feminist lab). Elle avait pour objectif de favoriser la compréhension mutuelle et l’apprentissage partagé sur la construction féministe de la paix dans différents contextes africains. Une activité qui s’inscrit désormais dans le registre des actions pilotées par la Friedrich Ebert Stiftung et ses partenaires locaux et internationaux depuis 2021. Faut-il le souligner, la convention nationale des femmes pour la paix au Cameroun est une plateforme de 77 organisations et réseaux de femmes des dix (10) régions du pays. Ces femmes qui représentent toutes les couches sociales ont comme leitmotiv la consolidation de la paix et militent pour les droits des femmes. De manière collective elles œuvrent à travers plusieurs actions communes pour promouvoir la paix dans tout son ensemble. L’Honorable, Président du « Social Democratic Front », Joshua Osih, Honorable Cabral Libih du PCRN, des chefs traditionnels et membres des représentations diplomatiques ont pris part aux échanges qui ont très enrichissants. A propos du Friedrich Ebert Stiftung La Friedrich Ebert Stiftung est une fondation politique allemande reconnue d’utilité publique. Elle doit son nom, son existence et sa fonction à l’héritage politique de Friedrich Ebert, le premier président allemand élu démocratiquement. La promotion des valeurs de la Démocratie sociale et le soutien aux mouvements progressistes est au cœur de son engagement. La Friedrich-Ebert-Stiftung est active au Cameroun depuis 1987 et concentre son travail sur le renforcement de la démocratie participative en Afrique centrale, le soutien à une transformation socio-écologique, la démocratisation et la réforme du discours sur la sécurité, la promotion et le respect des critères de durabilité et de justice sociale dans le développement économique ainsi que la promotion de l’égalité des sexes. Elle s’efforce d’atteindre ses objectifs par le biais d’ateliers, de conférences, de forums d’échange régionaux, d’études et de publications, de consultations politiques et de formations ciblées.   Timesnews2.info

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 UNITY PLATFORM CAMPAIGNS FOR EQUAL RIGHTS, NO DISCRIMINATION & STIGMATISATION

UNITY PLATFORM CAMPAIGNS FOR EQUAL RIGHTS, NO DISCRIMINATION & STIGMATISATION

The Cameroonian-based platform of organizations known as UNITY has launched another series of campaigns to promote Human Rights and fight against inequalities. As part of various activities aimed at sensitizing and informing the public on the respect of Human Rights and equal opportunities for ALL, the Cameroonian network of community-based organizations known as “UNITY PLATFORM” has launched the second phase of its campaigns. Through this key message, the Unity Platform outlines that: “legally and morally no person by nature is entitled to anything more or less than another person. So any reason one person is treated differently must be artificial and human-made.” The message is in line with the Universal Declaration of Human Rights which calls for equality amongst human beings as stated for instance in Articles 1 and 2. Article 1 All human beings are born free and equal in dignity and rights. They are endowed with reason and conscience and should act towards one another in a spirit of brotherhood. Article 2 Everyone is entitled to all the rights and freedoms set forth in this Declaration, without distinction of any kind, such as race, colour, sex, language, religion, political or other opinion, national or social origin, property, birth or other status. Furthermore, no distinction shall be made on the basis of the political, jurisdictional or international status of the country or territory to which a person belongs, whether it be independent, trust, non-self-governing, or under any other limitation of sovereignty. This message is one amongst many others that are amplified in the campaigns of CAMFAIDS, AVAC, and HFC+. These sensitization campaigns have entered phase two (2) this year and feature within the framework of the project dubbed “TOGETHER”, sponsored by the European Union and other international partners striving for the respect of Human Rights. Below is the audio spot of the campaign:

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