Huawei ICT Academy : l’IUC de Douala Bénéficie d’une Seconde Phase

Huawei ICT Academy : l’IUC de Douala Bénéficie d’une Seconde Phase

La cérémonie de renouvellement du protocole d’accord entre l’équipementier chinois et l’IUC s’est tenue le 02 juin 2021 à Douala, capitale économique du Cameroun.     Pour rehausser cet évènement, c’est l’amphithéâtre de l’institut universitaire de la Cote (’IUC) de Douala qui a abrité la cérémonie de signature de convention entre le géant de la technologie et l’institut hôte. En effet, l’IUC par ce nouvel accord bénéficie de la seconde phase du programme dédié à la formation des jeunes talents camerounais qui se distinguent dans des grandes écoles spécialisées à l’enseignement des TIC. Le programme dénommé : Huawei ICT Academy entre dans une deuxième phase avec de nouveaux contours et défis.   Selon le Président de l’IUC de Douala, c’est un atout à capitaliser davantage pour la formation des étudiants  camerounais.   Paul Guimezak dans ses propos souligne que : « Il y a une bonne valeur ajoutée du fait que la technologie évolue, pendant longtemps nous avons travaillé avec Cisco, néanmoins nous avons souscris avec Huawei dès son arrivée, dans l’optique d’une bonne formation. Cette souscription complète la formation de nos apprenants et on remarque que les entreprises les sollicitent de plus en plus.  L’arrivée de Huawei, est la meilleure chose qui soit arrivé à notre pays, je crois que nous serions à la hauteur ».   Prenant part à cette cérémonie pour le compte de l’équipementier chinois, M. Du Yin, Directeur Général Huawei Cameroun, la Directrice des Relations Publiques de Huawei zone CEMAC, Edmonde Djiokeng Teboh et d’autres cadres. Dans ses propos Mme Djiokeng Teboh qui a porté la voix de l’entreprise chinoise, a indiqué le rôle des TIC dans la vision du Cameroun en 2035.   Elle dit : « Le gouvernement camerounais a toujours attaché une grande importance au développement de l’économie numérique. S.E.M Paul Biya, le président de la République a mentionné dans plusieurs discours publics qu’il faut tirer pleinement partie des technologies des TIC et de l’économie numérique en tant qu’accélérateur du développement économique du pays, ainsi que d’importants sources d’emploi des jeunes ».   La signature de la convention et l’échange des parapheurs se sont fait devant l’assistance. Le Directeur Général de Huawei Cameroun, M. Du Yin et Paul Guimezak, Président de l’IUC ont procédé à la signature des documents et en bonus une remise solennelle de la plaque inaugurale qui scelle le nouveau partenariat entre les deux institutions.   Huawei ICT Academy   Le programme lancé en 2013 au Cameroun et qui connait une ascension mondial a déjà laissé des marques indélébiles grâce aux bourses offertes à une centaine de lauréats dans notre pays.   En date, le programme compte 8 établissements ou encore grandes écoles partenaires à travers le pays et dont la notoriété est la formation des génies en TIC, qui ont obtenu avec succès la certification « Huawei ICT Academy ». Et jusqu’ici c’est près de 1000 étudiants et enseignants qui ont déjà été formés dans le cadre de ce programme innovateur.   L’objectif visé pour l’entreprise de technologies et du numérique, Huawei, est de créer des opportunités dans le domaine de l’éducation afin de soutenir et promouvoir les talents qui sont des petites graines aujourd’hui et des leaders de demain d’où l’appellation en anglais « Seeds for the future ». C’est à travers le Huawei ICT Academy que nait le projet « Seeds For the Future » vise par ailleurs,  à familiariser les lauréats aux technologies de l’Information et de la Communication. Il permet aussi d’amener les Lauréats à être plus concrets et pétris d’expérience dans leur domaine de compétence.   Le projet « Seeds for future » de Huawei il faut le dire s’inscrit en droite ligne du cahier de charges de « l’accord de partenariat stratégique dans le domaine des technologies de l’information et de la communication »signé entre le gouvernement du Cameroun et Huawei en septembre 2018 à Beijing lors de la visite du Président de la république Paul Biya en Chine.      

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 Africa Digital Expo : Huawei s’ Engage à Outiller Davantage les Jeunes En Économie Numérique

Africa Digital Expo : Huawei s’ Engage à Outiller Davantage les Jeunes En Économie Numérique

C’est au cours d’une rencontre en ligne ou encore au webinaire organisé le 27 mai 2021, que le géant des TIC a réaffirmé son engagement  à accompagner davantage les jeunes africains dans les formations.     La Directrice des Relations publiques de Huawei zone CEMAC, Edmonde Djiokeng Teboh au cours d’un webinaire dénommé : « Digital : la clé de la renaissance des PME » a une fois de plus porté au plus haut la voix de l’entreprises des technologies de l’information et de la communication, Huawei.   La rencontre en ligne qui réunissait des cadres et responsables de diverses nationalités sur le continent Africain a permis de mettre en exergue la place du numérique dans les petites et moyennes entreprises(PME).   Prenaient part à cet échange de haut niveau des responsables des gouvernements et d’organisations de renoms à l’instar de Kouassi Kouamé Brice, Secrétaire d’État au ministère de la Fonction publique en Côte d’Ivoire, Zakaria El Moujahid, Directeur Ecosystème Digital de l’Agence digital du développement au Maroc, Jean Marie Louis Bagda, Directeur Général de l’Agence de promotion des PME au Cameroun, sous la modération de Cathie-Rosalie Joly du cabinet Bird & Bird basé en France. La porte-parole de Huawei a cette rencontre, Edmonde Djiokeng Teboh s’est appesantie sur : Comment profiter de l’extraordinaire potentiel de la digitalisation pour développer et moderniser la PME africaine ? Les freins à cette digitalisation et comment les surmonter, les infrastructures technologiques sont nécessaires pour accompagner ce processus, l’importance d’instaurer une culture digitale au sein des managers des PME, entre autres.   Dans ses propos, Edmonde Djiokeng Teboh a souligné l’importance de l’économie numérique dans les petites et moyennes entreprises.   Elle dit : « C’est vrai que la situation de COVID-19 est venue nous révéler l’importance du digital, mais je pense aussi que pour rejoindre les propos de Monsieur Zakaria toute à l’heure, il y’a un souci effectivement de formation à la base. Le COVID est venu nous réveiller, réveiller les jeunes sur le fait qu’ils avaient un outil qu’ils pouvaient utiliser en temps de crise sanitaire mais combien ont pu faire efficacement l’usage de ces plateformes qui s’offrent à eux ou qui ont  toujours existé ?… »   Durant le webinaire, la Directrice des Relations Publiques de Huawei Cameroun zone CEMAC a également expliqué qu’il était nécessaire d’investir dans le numérique pour favoriser une automatisation et améliorer les capacités numériques et de gestion des risques des PME. «… Je commence par là pour dire qu’on a un souci de formation à la base et je continue en disant que l’importance ou l’impact du numérique se révèle lorsque les entreprises ou les PME elles-mêmes qu’à travers le numérique elles peuvent mieux rentabiliser leurs entreprises. Elles peuvent créer une meilleure communication elles peuvent créer une meilleure visibilité, elles peuvent à partir d’une localisation avoir des investisseurs qui sont dans d’autres pays… Elles peuvent créer des investissements, elles peuvent augmenter leurs chiffres d’affaires et peuvent créer une notoriété pour leurs entreprises… » Dixit Edmonde Djiokeng Teboh.   Bien étant déjà connu, il faut souligner que Huawei est pleinement engagé dans la formation des jeunes dans le domaine des TIC, via différents programmes d’accompagnement et initiatives telles que TECH4ALL, Seeds for the Future et ICT Academy ; afin de les former aux métiers du numérique et de faire émerger les talents de demain. C’est en droite ligne avec tous ces programmes que Huawei continue de s’atteler à former des jeunes aux  TICs. Le géant mondial des TICs a mis sur pied le programme de formation Huawei ICT Academy dédié aux Universités et ouvert à l’international. A travers ce projet, les Universités participantes accèdent à des cours de TIC dispensés par des instructeurs de Huawei agréés. Là où l’essor technologique est en perpétuel mouvement, il est nécessaire de se mettre à jour afin d’assurer la transition numérique.   Il est à noter que l’académie Huawei prépare les élèves à relever les défis et à saisir les opportunités créées par l’évolution rapide et les innovations multiples de l’industrie des TIC, et produit des ingénieurs multi-qualifiés, à même de travailler sur les technologies actuelles et du futur. Elle vient combler l’écart qui existe entre l’industrie et le milieu universitaire, en améliorant les possibilités pour les employeurs de trouver des personnes ayant les compétences requises par l’industrie. Un partenariat gagnant pour le Cameroun et bien d’autres pays Africains qui par des accords qui ont été liés à Beijing bénéficie de ces appuis de Huawei.   Il est important tel que l’a relevé Mme Djiokeng Teboh, de former les responsables d’entreprises à la digitalisation ou encore au numérique comme outil de développement de leurs entreprises. Car la culture digitale instaurée dans la PME permet une dynamique d’intégration des enjeux qui profite à tous.   Tel que l’indique les experts, la viabilisation d’une entreprise passe par sa digitalisation et son besoin d’être à la pointe technologique.             Elise Kenimbeni

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 Tackling Child Abuse, Protecting Children from Violence, MINAS Takes the Edge Off

Tackling Child Abuse, Protecting Children from Violence, MINAS Takes the Edge Off

Social affairs’ ministry has officially launched series of activities that will mark the commemoration of the 31st edition of the day of the African child placed under the theme: “Protect every child from violence, exploitation, neglect and abuse: a priority for the Cameroonian government”.   The official launch that took place on June 1, 2021 in Yaounde was presided over by the Secretary General in the ministry of social affairs, Beryl Itoe Panje.   The ceremony that sets the pace for numerous activities to hold nationwide till June 16, date of commemoration proper was well seized to advocate further actions that will help tackle the various forms of child abuse and exploitation in Cameroon.   During the launch, Secretary General, Beryl Itoe Panje equally installed the focal intersectoral child protection team made up of various experts.   As underscored in her speech, the Secretary General said the general objective of this celebration is to conduct a prospective evaluation of actions that have been put in place to combat violence, abuse, neglect and exploitation of children in Cameroon.   Activities surrounding the day of the African child as she said are in line with government’s 2030 National Development Strategy (NDS) reaffirming the commitment and determination to make social justice and the fight for exclusion the recurring theme of the social policy in Cameroon.   She said: “ the challenge for the next ten years is thus to invest sufficiently and in an efficient manner on human development of the youth such that the impending favourable situation which will be that of a low demographic dependence report coincides with the period where the economic dependence report is at its highest. In order to attain this, the state is committed in investing on human capital of the young generation in order to touch the best part of the structure of the population which will be favourable to the demographic dividend come 2030…”   The celebration of the 31st edition of the day of the African Child as recalled during the event, constitutes a major opportunity to better understand the state of children suffering from situations of violence, mistreatment, abuse and exploitation.   Speaking to the media, Mrs Itoe Panje stated that: “Together with our newly installed team, we try to see how we can fight against this violence, most especially the recurrent violence in the school milieu where students are been killed by their friends and even killing teachers…”   According to Beryl Itoe Panje, government has equally put in place some incentives to encourage young people to survive and avoid temptations and ills that trigger child abuse and exploitation. Reason why several programmes have been developed for young people.   The theme chosen for this year’s celebration by the African union: “30 years after the adoption of the Charter: accelerate the implementation of Agenda 2040 for an Africa fit for Children” has been readapted to the current context in Cameroon as she said. As concerns the celebration of the 31st Edition of the Day of the African Child, Cameroon intends as in the past, to rely on the theme chosen by the African Union, while taking into account the major concerns that still hamper the full enjoyment by its children of the rights which are recognized to them. It is for this reason that the call launched by the African Union to accelerate the implementation of the 2040 agenda will especially find an echo this year through Aspiration No. 7, hence the choice of a national theme namely: “Protect every child from violence, exploitation, neglect and abuse: a priority for the Cameroonian Government”.   Worthy to note, one of the major activities that gives a landmark to the event in Cameroon is the children’s parliament. The children’s parliament is a platform for exchanges between decision-makers and children. It is an opportunity for them to take an active part in the life of the City by expressing their opinions on issues concerning them, through questions and also through propositions of answers and resolutions. The one hundred and eighty (180) Junior Parliamentarians selected and grouped each year from the ten regions of the country, with different sociocultural backgrounds have the possibility to address decision-makers as well as address their own obligations.   Due to the current health situation triggered by COVID-19 pandemic, the 2021 session of the children’s parliament will be special in its content and format. The session will be held both via video conference and at the national assembly.       Elise Kenimbeni

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 Addressing Air Pollution Challenges, Key to Development in Africa

Addressing Air Pollution Challenges, Key to Development in Africa

Air pollution has been identified as one of the major threats for the environment and which affects everyone such as human beings, animals, crops, cities, forests, aquatic ecosystems just to name these few.   Environmental experts say air pollution is caused by the presence in the atmosphere of toxic substances, mainly produced by human activities and which also result from natural phenomena such as volcanic eruptions, dust storms and wildfires.   According to statistics released by the World Health Organization (WHO), close to 7 million people die every year from exposure to polluted air. Ambient air pollution alone caused some 4.2 million deaths in 2016, while household air pollution from cooking with polluting fuels and technologies caused an estimated 3.8 million deaths during the same year.   In the same vane, the UNICEF report outlines that, outdoor air pollution deaths increased from 164.000 in 1990 to 258.000 in 2017, and with population, industrial, and consumption growth potentially increasing, the levels of pollution will subsequently increase. Projections estimate that Africa’s population will double by 2050 from 1·2 billion. More than 80% of that increase will occur in cities, leading to increased traffic and hence air pollution.   Yet, addressing threats of air pollution through-out a series of mechanisms and by the way highlighting its impacts on the various sectors of life has been developed in a recent module labelled Air quality communication in Africa.   As underscored in the module, the aim is to help African cities and countries develop an effective communication strategy in order to inform, educate, and strengthen stakeholders’ participation in all aspects of air quality management (AQM), to prevent and reduce air pollution.   Added to the aforementioned aim, the module is equally out to advise public air quality managers with little expertise in communication, as well as public communication staff with little knowledge of air quality; and all interested stakeholders working to enhance air quality data and promote actions to improve air quality in the continent.   With the current COVID-19 health threats, this module on Air quality communication is more of an advocacy tool for African governments and all stakeholders. Africa can be spared a host of respiratory illnesses, including COVID-19, through clean air but air pollution data across the continent that could influence policy is of poor quality or inaccessible, making efforts to track air quality difficult.   Despite the fact that air pollution is a worldwide threat, African countries are greatly affected. Tunisia, Morocco, Zimbabwe, Kenya, Ethiopia, Egypt, Nigeria, Senegal, Ghana and Cameroon just to name these few countries, figure amongst those affected by pollution.   The module developed by a technical team recruited by the African bureau of the United Nations Environment Programme (UNEP), traces in a nutshell through-out 5 sections, the assessment of air quality communication capacity; Effective Air Quality Communication: Co-benefits and solutions for air quality; Air Quality Communication Plan; Roadmap for Air Quality Communication and how to improve overall effectiveness of air quality communication.   The module states that:  “Policymakers must understand the need for education programs aimed at making citizens aware of sources of air pollution and related health risks. The environmental management authorities need to direct efforts on risk communication strategies to motivate personal direct perception or awareness of an environmental problem such as air pollution. This approach enhances the individual’s understanding of the importance of environmental policy measures, which makes such measures easier to accept by the community and also enhance personal response in reducing exposure to pollutants. There is also need for further research on community perceptions to help understand factors shaping people’s perceptions.”   Talking of the overall content of the module, emphasis is laid on the various sections developed by the communication crew. Section one deals with the assessment of air quality communication capacity. Focus here is on the need to develop and implement communication strategies, ensure availability and access to air quality information to stakeholders, and promote the proper the use of appropriate communication platforms.   In Section two, focus is on effective air quality communication. It has to do with identifying and describing the key factors involved in effective air quality communication; determining communication objectives; and learning different ways to share information through campaigns, citizen science, and social marketing.   “Communication is key in Air quality management. Information about air quality is required to raise public awareness, strengthen policies, influence behavior and ultimately reduce emissions of air pollutants. Communication is an essential part of AQM because the adoption of air pollution control measures will only be effective if decision makers, key stakeholders and the general public understand the importance of the intervention. Air pollution is the number one global environmental risk to public health, and a growing priority on the agenda of number of public authorities and regional bodies as well in Africa with progressive action taken to clean the air.” As stated in the module.   Meanwhile in section three is dedicated to communicating actions that will improve air quality and emphasis is placed on co-benefits and solutions. Communication experts say effective air quality communication is not limited to explaining the status of air (informing) and raising public awareness on air pollution impacts. One of the main objectives or indicators of effective communication as underscored in the module, is to observe a change in behavior which can happen more likely if the person understands what the change in behavior is for, and how it can specifically be done. This process is accompanied by several mechanisms and communication tools well identified by experts.   The proper management of air pollution gives roots to multiple benefits, given the wide extent of negative impacts it has on human beings and the environment. Reason why, through-out the module it has been highlighted that air quality improvement requires a combination of approaches depending on the objective and target audience. To morph our governments, there is need to channel out the various benefits of improving on the quality of air. Slowing down the rate of

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 Célébration des 20 ans de la Téléphonie au Cameroun: Happy End pour Huawei

Célébration des 20 ans de la Téléphonie au Cameroun: Happy End pour Huawei

Les rideaux se sont fermés sur cet évènement qui a drainé des foules à Yaoundé du 17 au 19 Mai 2021, et mettant en pole position les activités et le savoir-faire du géant de la technologie de l’information et de la communication, Huawei.       Huawei, entreprise spécialisée en technologie de l’information et de la communication a une fois de plus rayonné et s’est démarquée de par ses nombreuses activités organisées dans le cadre du Cameroon Mobile (CAMMOB) édition 2021. Cette édition qui s’est tenue à l’hôtel Hilton de Yaoundé dans le strict respect des mesures barrières a pu combler le vide de l’évènement tant attendu l’an dernier et renvoyé du fait de la pandémie à COVID-19.   La présence remarquée et remarquable du géant de la technologie mondiale a été appréciée par des membres du gouvernement, notamment la ministre des postes et télécommunications, Minette Libong Likeng et le Professeur Laurent Serges Etoundi Ngoa, ministre de l’éducation de base. Les membres du gouvernement ont pu savourer de par les explications des experts de Huawei sur quelques contours de l’entreprise.   Au cours de la visite des stands et notamment celui de Huawei, la Ministre Minette Libong Likeng n’a pu se retenir de féliciter l’entreprise qui innove au jour le jour. Elle a indiqué que : « Nous sommes partis de la 2ème Génération à la  3G, puis à la 4G. La 5ème Génération, la 5G, c’est autre chose. Avant d’y entrer, il faudra faire une évaluation, voir ce que la téléphonie mobile a apporté. Vous voyez tous les problèmes que le secteur a semblé  rencontrer. Ça été le passage de la 2G à la 3G et 4G qui ont posé des problèmes de convergence […]. La 5G apportera un autre changement de paradigme où les objets seront connectés. Vous vous imaginez que nous aurons des voitures sans chauffeur. Il nous faut alors opérer le bilan du cadre réglementaire et du cadre technologique. Je crois que le Gouvernement du Cameroun sous l’impulsion du Chef de l’État, Son Excellence Paul Biya et sous l’impulsion du Premier Ministre Chef du Gouvernement, nous demande de garantir la souveraineté numérique du Cameroun »   Partenariat fructueux avec le Cameroun L’entreprise chinoise qui ne cesse d’étaler ses prouesses en TIC a été décrite comme un partenaire stratégique pour le développement numérique du Cameroun. En collaboration avec  le ministère de l’eau et de l’énergie (MINEE) du Cameroun, Huawei a procédé à l’électrification de 1000 localités rurales, en énergie solaire photovoltaïque. C’est donc à juste titre que le 05 mars 2020, à l’occasion de la célébration des 14 ans de collaboration avec le Cameroun, le Ministre de l’eau et de l’énergie, Gaston Eloundou Essomba, au détour de la projection du film “In Cameroon For Cameroon” réalisé par la  Cameroon Télécommunications (CAMTEL) et l’école Nationale Supérieure des Postes et Télécommunications, des Technologies de l’Information et de la Communication ( SUP’TIC), et dédié à la présentation de l’œuvre immense de Huawei au Cameroun a magnifié les œuvres de l’entreprise chinoise.   Gaston Eloundou Essomba dit :«  Je voudrais saisir cette illustre occasion pour remercier et féliciter à sa juste valeur, notre partenaire HUAWEI CAMEROON pour tous les efforts constants, la qualité des équipements, son appui technique et son expérience dans la mise en œuvre sereine et efficace des projets d’électrification rurale par énergie solaire photovoltaïque, malgré les écueils inhérents à ce type de projets dans les zones rurales dont  l’accès n’est pas toujours évident. »   Au cours de la même cérémonie marquant les 14 ans de présence de Huawei au Cameroun, la Directrice Générale de CAMTEL, Judith Yah Sunday Achidi, ne va pas tarir d’éloges pour le Backbone national à fibre optique installé par l’équipementier chinois.   Elle dit : « Avec l’appui technique de Huawei, l’industrie des TIC a connu une avancée significative au cours de la décennie […]. Par ailleurs, notre partenaire Huawei a toujours manifesté un effort d’investissement dans le domaine des TIC, pour la formation des collaborateurs à qui il offre des formations régulières en Chine pour la maîtrise des projets et le partage des expériences de ce géant des Télécoms et le transfert des compétences. »     Les œuvres de Huawei telles que l’ont indiqué plusieurs autorités parlent d’elles même. Le géant des TIC en 14 années a su imprimer ses marques et fait le bonheur de plusieurs à travers ses multiples activités qui sont indénombrable. Huawei a su relever le pari cette année avec le CAMMOB, évènement où l’entreprise a été sponsor majeur.   Il faut noter qu’en marge des activités du CAMMOB, Huawei a fait une dotation de haute envergure au gouvernement camerounais. Dotation qui a d’ailleurs été présentée au Premier Ministre, Chef du gouvernement au cours d’une audience à l’immeuble étoile de Yaoundé par Terry HE, Président de Huawei Northern Africa.                 Elise Kenimbeni

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 20ème Anniversaire de la Téléphonie Mobile : Huawei Imprime ses Marques

20ème Anniversaire de la Téléphonie Mobile : Huawei Imprime ses Marques

  C’est dans le cadre des activités marquant les 20ans de la téléphonie mobile au Cameroun que Huawei a fait une dotation en matériels technologiques au gouvernement camerounais.       C’est une dotation de plus offerte par le géant de la technologie. Huawei a fait un don d’appareils de vidéoconférence de dernière technologie au gouvernement camerounais.   L’annonce qui a été faite au cours d’une audience accordée par le Premier Ministre, Chef du gouvernement aux hauts cadres de Huawei. Une dotation qui est venue rehausser les festivités marquant les 20 ans de la téléphonie mobile au Cameroun, lancées le 17 mai 2021.   Terry HE, Président de Huawei Northern Africa  a été reçu en audience, par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute. Le Président de Huawei Northern Africa a saisi cette occasion pour exprimer la profonde gratitude du groupe Huawei, qui bénéficie du soutien du gouvernement camerounais.   Terry HE a fait savoir que depuis la survenue de la pandémie à Covid-19, le gouvernement a usé de toutes les stratégies possible afin d’éradiquer cette maladie tout en assurant  la sécurité de ses citoyens et celle de l’entreprise de technologies Huawei. Un message qu’il souhaite que le Chef du gouvernement adresse au Président de la République Paul Biya.   Au cours de cette audience, le Président de HUAWEI Northern Africa a mis l’accent sur les progrès enregistré par l’entreprise au Cameroun. Terry HE a énuméré quelques points forts déjà entrepris par Huawei à savoir : le développement national de la large bande, la construction des villes intelligentes, l’électrification en zones rurales. L’entreprise Huawei au-delà de ses nombreuses actions se démarque à travers plusieurs autres projets au Cameroun.   L’audience accordée par Chief Dion Ngute à la team Huawei conduite par Terry HE a été ponctuée par la remise d’une dotation assez importante. Il s’agit de 20 Unités de systèmes de conférence intelligents de dernières technologies : ” Huawei Ideal Hub”.   L’échange cordial qui s’est tenue entre Chief Joseph Dion Ngute et les cadres de la firme chinoise a une fois de plus permis de plancher sur les actions entreprises jusqu’ici et les prochaines étapes.   Comme au cours des précédentes rencontres avec les responsables de l’entreprise chinoise, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute a formulé les remerciements de l’Etat du Cameroun. Il a exprimé la haute appréciation du Chef de l’Etat et celle du gouvernement camerounais pour la contribution du groupe Huawei au développement de l’économie numérique au Cameroun et il a ajouté « nous restons ouvert à toute proposition visant à accompagner le Gouvernement dans le cadre de son émergence 2035 ».      Le Président de la branche Huawei Northern Africa, Terry HE a fait  savoir au  Premier ministre, Joseph Dion NGUTE, que depuis la visite de M. CAO Jibin au Cameroun en octobre 2020, l’entreprise leader en TIC a fait un don de 100 millions de Francs CFA au gouvernement du Cameroun, en d’appuyer ses actions dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. Le géant de la technologie a en outre, collaboré avec d’autres partenaires du Cameroun, dont l’entreprise sud-africaine MTN, en vue des dons en vaccins contre la Covid-19, à travers le ministère de la Santé publique. Des vaccins qui selon Terry HE sont en cours d’acquisition.     A titre de rappel le partenariat établi entre le gouvernement camerounais et Huawei connait de plus en plus un succès grâce aux multiples programmes mis sur pieds notamment le Huawei ICT Academy. Programme qui déniche des génies en TIC avec la participation active de certaines  grandes écoles du pays. Il s’agit d’un partenariat qui a déjà vu 524 Étudiants camerounais formés, ainsi que 39 Enseignants. Pour l’année en cours, l’entreprise chinoise de télécommunications envisage de former 2000 étudiants spécialisés en TIC. Pour l’heure l’entreprise Huawei continue de capitaliser son partenariat avec le Cameroun et n’est pas prête de s’arrêter en chemin.                                    Elise Kenimbeni

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 Les Écoles de Statistiques et Démographie au Cœur du Suivi des ODD en Afrique Francophone

Les Écoles de Statistiques et Démographie au Cœur du Suivi des ODD en Afrique Francophone

Ces grandes écoles sont le principal pôle d’attraction du projet SODDA qui est piloté par Expertise France depuis 2017.     Pour répondre à la demande croissante des données harmonisées et de qualité, la France dans le cadre de sa politique de développement, renforce les systèmes statistiques nationaux des pays partenaires avec l’appui des organisations régionales. C’est ce qui justifie la mise en œuvre au Cameroun du projet d’Appui au Suivi des ODD en Afrique (SODDA).   Dans le cadre de la poursuite des activités du projet SODDA, des journées de sensibilisation se tiennent annuellement.   Au Cameroun, pour cette deuxième journée de sensibilisation sur le suivi des objectifs de développement durable (ODD) en Afrique Francophone, tenue le 6 mai 2021 à Yaoundé, c’est près de 200 participants nationaux et internationaux qui ont été réunis dans le respect des mesures barrières contre la pandémie à Covid 19.   Ces travaux placés sous le thème : « Suivi des Objectifs de Développement Durable en Afrique dans le contexte de crise sanitaire due à la COVID19 » avaient pour objectif majeur ; de sensibiliser les participants et toutes les parties prenantes sur la nécessité de préserver la qualité et la disponibilité des données pour le suivi des progrès dans la réalisation des ODD, en contexte de crise sanitaire.   Il a été question ,durant les échanges, de mettre en exergue cette plus-value des ODD dans la formation des étudiants de l’institut Sous-régional de Statistique et d’Economie Appliquée(ISSEA) et l’institut de Formation et de Recherche Démographiques (IFORD) qui sont les cœurs de cibles de ce projet piloté avec l’appui d’Expertise France.   Les ODD 2, 8  et 16 sont spécifiquement mis en vitrine dans le cadre du suivi de ce projet.  Il s’agit d’éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable pour ce qui est de l’ODD 2. De promouvoir une croissance économique soutenue, partagée et durable, le plein emploi productif et un travail décent pour tous pour ce qui est de l’ODD 8. Et  pour l’ODD 16 ; de promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques et ouvertes à tous aux fins du développement durable, assurer l’accès de tous à la justice et mettre en place à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes à tous.   L’administrateur provisoire de l’IFORD, Dr Steve Bertrand Mboko dans son propos liminaire a souligné l’importance de cette initiative qui vient davantage enrichir les programmes de l’ISSEA et l’IFORD.     Selon Nadège Tchouapi, point focal SODDA à l’IFORD, il est plus question  d’une appropriation et surtout de l’intégration du suivi des ODD dans la formation des cadres des statistiques. D’où le choix des écoles de formations en statistiques et en démographie qui ont été ciblées afin d’intégrer dans leurs programmes des thématiques en lien avec des ODD.   Elle indique que : « Cette journée de sensibilisation participe justement de la présentation des travaux des étudiants sur ces thématiques. »     En ce qui concerne la contribution des démographes et statisticiens au suivi des ODD, Nadège Tchouapi souligne que ces derniers participent à travers leurs travaux de recherches et appui aux Etats et aux structures de développement.   Elle ajoute que : « Le système de statistiques a constaté que dans le curriculum des statisticiens et démographes il fallait justement mettre un accent sur cette intégration pour améliorer les indicateurs. Donc cette faiblesse constatée est prise en compte… »   Tel que l’a indiqué le comité d’organisation de ces deuxièmes journées de sensibilisation, le projet SODDA a pour but de répondre aux besoins grandissants en termes de qualité et de disponibilité des données statistiques pour la mesure des progrès réalisés dans le cadre des ODD.   Placé sous la houlette d’Expertise France, en partenariat avec AFRISTAT et l’INSEE, le projet SODDA a pour objectif principal de développer une réflexion intégrée sur les indicateurs de suivi des ODD que les pays d’Afrique francophone pourront ensuite valoriser à l’échelle internationale. Le projet SODDA a pour principaux acteurs de mise en œuvre AFRISTAT, les Ecoles de Statistique Africaines (ESA), dont l’ENSAE à Dakar au Sénégal, l’ENSEA à Abidjan, Cote d’Ivoire, l’ISSEA et l’IFORD à Yaoundé, Cameroun. Il est implanté dans 6 pays membres de la CEMAC.             Elise Kenimbeni

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 Performance Académique: L’Université de Yaoundé I Parmi les Meilleures du Monde

Performance Académique: L’Université de Yaoundé I Parmi les Meilleures du Monde

L’université mère du Cameroun a été classée parmi les 2000 meilleures universités du monde.     Selon le “Center for World University Rankings(CWUR)”, qui est le centre des classements mondiaux des universités, l’université de Yaoundé I se distingue pour la période de 2021 à 2022. L’université camerounaise a été classée 1321ème sur un total de 2000 universités retenues par le CWUR, qui a fait une sélection scientifique après un recensement de 19.788 institutions.   L’université de Yaoundé I se distingue sur l’échelle africaine en occupant la 27ème position parmi les 59 universités  du continent noir. Un classement qui laisse percevoir la montée de l’université mère du Cameroun aux rangs des géants du monde.   Le classement du CWUR tel que lu sur son site web est dominé par des universités américaines, tandis que,  parmi les universités du continent africain classées, l’Afrique du Sud et l’Égypte arrivent en pole position.   L’organisme crée en 2012, reconnu pour son classement avéré et sa crédibilité, a établi sa sélection sur plusieurs critères scientifiques. Celles-ci sont : la visibilité des universités sur la toile, les programmes de recherches, la qualité du corps professoral, la qualité des enseignements ainsi que l’employabilité des diplômes délivrés.   La position de l’université de Yaoundé I devant d’autres institutions occidentales a surpris bon nombre de personnes qui ont douté de sa transfiguration depuis quelques années. Cette percée remet au gout du jour la qualité des formations et des enseignements qui sont dispensés dans cette institution  et qui de surcroit est la mamelle de plusieurs talents camerounais.     L’on ne saurait parler de l’université de Yaoundé I sans parler de son Recteur, Professeur Maurice Aurélien Sosso tient les rênes de cette institution depuis 2012. Le Recteur de l’université mère a jusqu’ici initié, avec le concours de sa hiérarchie, de nombreuses innovations au sein de cette grande école et a mis en place plusieurs réformes qui sont visibles tant en interne dans les amphithéâtres qu’à l’externe au sein du campus de Ngoa-Ekelé. Et c’est d’ailleurs l’un des points saillants qui ressort des témoignages de certains étudiants, universitaires et collaborateurs du Recteur qui l’accompagne dans la poursuite de ses missions depuis près de 9 ans.   Cependant, plusieurs questions taraudent les esprits suite à ce classement. Si la visibilité des universités camerounaises sur la toile est consacrée, l’université de Yaoundé I qui a souffert de ne pas être assez visible sur la toile aurait hérité d’un classement plus avancé ? L’on se demande également à quoi ont servi les 2,5 milliards francs CFA que le ministre d’Etat, ministre de l’enseignement supérieur, le Professeur Jacques Fame Ndongo, dit avoir versé à la « Cameroon Telecommunications » (Camtel) l’an dernier ? Des fonds qui selon certaines informations étaient  destinés à la lutte contre la Covid-19, pour la visibilité en ligne des huit universités d’Etat du Cameroun.  Cette visibilité tant attendue n’a pas été perceptible depuis lors au regard de plusieurs analyses. Et pourtant si cela avait été le cas, une autre institution camerounaise aurait bénéficié d’une position ou encore aurait  été sélectionnée dans le cadre de ce classement du CWUR.   Il faut dire qu’en février 2021, l’université de Yaoundé I a été classée 1ère d’Afrique Centrale et 3ème du continent par l’agence Webometrics, qui s’appuie sur la digitalisation des universités.           TimesNews2

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