Économie Numérique: Accord Parfait entre HUAWEI et le MINADER

Économie Numérique: Accord Parfait entre HUAWEI et le MINADER

C’est au cours d’une audience que le Ministre de l’agriculture et du développement rural et le Vice-Président en charge des relations publiques pour l’Afrique Sub-saharienne HUAWEI Afrique du Nord ont exploré les vastes chantiers qu’offre l’industrie agricole.   La rencontre qui s’est tenue le 22 mars 2021 à Yaoundé avait pour but de renforcer le partenariat stratégique entre la compagnie HUAWEI et le gouvernement camerounais. Il est question une fois de plus par cette touche de HUAWEI, d’accompagner précisément le ministère de l’agriculture et du développement rural (MINADER), dans sa politique de développement de l’industrie agricole. D’où l’exploration en ligne des différentes services et opportunités de la 5G de HUAWEI.     Durant cette audience accordée au Vice-Président de HUAWEI, le Ministre de l’Agriculture et du développement, Gabriel MBAIROBE a énuméré les différents projets de transformation numérique qui existe au sein du MINADER.    De ses propos l’on retient, la connexion des écoles de formation agricole ; le e-learning ; les systèmes d’informations des marchés climatiques qui permettent non seulement de collecter toutes les données météorologiques et de les centraliser dans un serveur pour permettre d’anticiper un nombre de choses et de vulgariser l’assurance industrielle basée sur la météo et de créer un portail permettant aussi de mettre en relation des producteurs et des acheteurs. Et à terme parvenir à la création d’une brousse agricole au Cameroun entres autre.   Gabriel MBAIROBE lors des échanges avec son hôte a souligné l’importance de cet accompagnement qui s’inscrit en droite ligne avec les politiques mises sur pieds par le gouvernement pour une économie numérique au bénéfice de tous.   Il dit : « Ce sont des relations que nous estimons fructueuses, stratégiques. C’est pour cela que nous sommes très heureux de vous accueillir aujourd’hui avec votre projet AGRI-TECH ou Challenge technologie qui permet l’implication de la Start-up dans le développement du numérique dans le domaine de l’agriculture, car nous avons déjà eu à utiliser les Start-up dans la surveillance phytosanitaire et dans l’estimation des surfaces et des productions à travers les drones. C’est autant de choses que nous mettons en œuvre au MINADER et nous croyons plus que jamais que la digitalisation de l’agriculture est une voie pour le développement de notre agriculture et la rénovation de notre système de formation. Nous sommes donc très heureux au nom du gouvernement camerounais, au nom de toute la famille du MINADER ici représentée de vous accueillir, de vous remercier pour l’amitié et l’honneur que vous nous faites en nous rendant visite. Nous sommes ouverts à toutes les possibilités et nous croyons que notre collaboration sera fructueuse ».   D’entrée de jeu dans son allocution, le Vice-Président en charge des Relations Publiques pour l’Afrique Sub-Saharienne HUAWEI Afrique du Nord, Loise TAMALGO a remercié le Ministre et a par ailleurs exprimé sa satisfaction suite à l’audience que lui a accordé ce dernier. Loise TAMALGO indique que : «Huawei s’inscrit dans l’accompagnement en terme d’innovation et de mobilisation de financement pour les différents gouvernements afin de contribuer à dynamiser leur écosystème pour créer d’abondantes infrastructures de manière à réduire les coûts de connectivité et que les populations aient accès. Le deuxième challenge, étant donné que 85% de la population africaine vit en zone rural, l’on peut déployer les infrastructures dans les villes, mais que fera-t-on de cette marge de la population qui constitue la vraie Afrique ; je suis heureux de voir que votre département met l’accent sur l’agriculture qui touche cette franche de la population. Huawei s’est également concentré en Afrique pour créer les innovations qui sont adaptées au continent africain notamment aux zones rurales. Alors nous nous sommes dit que c’était bien de se tourner vers une solution qui demande moins d’investissements mais qui peut être flexiblement déployée dans ces zones».    En ce qui concerne le projet dénommé : AGRI-TECH, le Vice-Président a par la même occasion dévoilé ses contours.    « L’agriculture constitue aujourd’hui un pan majeur de l’Afrique, nous ne pouvons imaginer le développement d’une Afrique sans l’agriculture comme un levier principal, quand nous savons que 65% de la population est engagée dans l’agriculture que cette agriculture permet de nourrir des villes. Pour soutenir ce secteur, Huawei  a pensé à deux volets : la technologie qui consiste à mettre en place la connectivité à travers la 5G pour la collecte efficace des données avec les drones pour des prises de décision rapides  par exemple et le soutien au développement des Start-ups au niveau local pour faire foisonner l’innovation locale » Dixit Loise TAMALGO.   Il faut dire que l’audience accordée à Loise TAMALGO par Gabriel MBAIROBE s’inscrit dans le cadre de l’accord de partenariat stratégique dans le domaine des technologies de l’information et de la communication » signé le 03 septembre 2018 entre le gouvernement camerounais et HUAWEI Cameroun sous la consigne spéciale du Président de la république, Paul BIYA.   En tant que partenaire stratégique et prioritaire du gouvernement dans les domaines tels que la construction des infrastructures de télécommunications avec Camtel, les centrales solaires photovoltaïque dans les zones rurales, ainsi que la ville intelligente avec la DGSN. HUAWEI mène également des investissements dans la formation des jeunes étudiants camerounais dans le domaine des TIC à travers ses fameux programmes que sont: HUAWEI ICT Académie,  HUAWEI ICT Compétition et  SEEDS FOR THE FUTURE.     Fondée en 1987 et avec pour siège social Shenzhen en Chine, l’entreprise des technologies de l’information et de la communication, HUAWEI est un fournisseur de solutions numériques en terminaux, réseaux et Cloud, pour des opérateurs, entreprises et consommateurs. Ses produits et solutions sont déployés dans plus de 170 pays.             Elise Kenimbeni

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 Violences Basées sur le Genre : Lady’s Cooperation et son Projet A Cœur Ouvert

Violences Basées sur le Genre : Lady’s Cooperation et son Projet A Cœur Ouvert

La présentation de ce projet dénommé : « A cœur ouvert » s’est tenue le 30 mars 2021 à Yaoundé. Dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités et de ses missions premières, qui sont axées sur la lutte contre les violences basées sur le Genre(VBG) au Cameroun, Lady’s Cooperation en collaboration avec l’association nationale des footballeuses du Cameroun (ANFC), ont officiellement présenté aux acteurs de la société civile et élus locaux le projet dénommé : « A cœur ouvert ». Ce projet qui découle de l’analyse des cas de violences et violations enregistrés dans le milieu sportif féminin camerounais va servir de recueil pour de nombreux plaidoyers. Ces plaidoyers selon les deux associations, vont permettre d’élaborer un plan stratégique de gestion et prévention des VBG dont Lady’s Cooperation et l’ANFC vont mettre en œuvre.   Il est question selon Berthe Marcelle Awoh, fondatrice et par ailleurs Directeur technique de Lady’s Cooperation d’encourager ces femmes stigmatisées et discriminées dans leur chair par les autres et par elles – même, à dénoncer ces abus qu’elles subissent au quotidien dans leurs environnement. Elle dit : « Nous avons constaté que si nous ne faisons rien le sport féminin ne sera plus valorisé. Et notre slogan qui est : ‘footballeuses mais femmes d’abord’ vient mettre ce projet en exergue, d’où ce partenariat avec l’ANFC. Le projet  ‘A Cœur Ouvert’, c’est une série d’activités que nous comptons mettre en œuvre, telles que l’assistance psychologique, juridique dans la promotion de leurs droits. C’est parce que beaucoup sont ignorantes de leurs droits qu’elles ne peuvent pas véritablement s’assumer… » Berthe Marcelle Awoh a également indiqué le fait que  ce projet va recruter un moniteur afin de permettre à plusieurs femmes d’être préparées physiquement à la gestion des VBG dans leur entourage. Pour la Présidente de l’ANFC, Nguidjol Gabin, c’est un projet à saluer et à vulgariser davantage au moment où de nombreux efforts sont fait pour contribuer à la réduction des abus et violences de tout ordre et surtout dans le monde du football féminin. «  La réalité c’est que dès qu’une société se fonde d’une manière ou une autre il ya des abus. Alors, réduire au maximum les abus est l’un des objectifs que nous sommes entrain de nous assigner notamment avec l’association Lady’s cooperation qui nous a soumis son projet et que nous avons partagé… » Dixit Nguidjol Gabin La Présidente de l’ANFC dans ses propos a aussi souligné le fait que plus en plus des abus sont observés et enregistrés dans le milieu du football qui connait beaucoup d’évolution avec la mondialisation et son attrait financier. Les mythes et stéréotypes que certaines personnes ont sur les femmes sportives ont été abordés par les participants. Certaines participantes ont partagé leurs expériences en tant que footballeuses qui ont pu fonder des familles et se marier tout en vivant la passion du sport qu’elles ont choisi. L’atelier de présentation du projet ‘A Cœur Ouvert’, qui s’est tenu à la salle de conférence de la FESCADI a enfin de compte permis de réfléchir sur des stratégies d’adhésion massive à ce projet.           Elise Kenimbeni

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 2021 March Session of Parliament Uplifts Gender Challenges

2021 March Session of Parliament Uplifts Gender Challenges

Members of parliament both from the national assembly and senate have set in motion a network for Gender promotion.   The parliamentary network for Gender promotion known its French acronym as REPAGE organised on April 5, 2021 an official session to amend its status and present its various activities in the upcoming days.   CPDM’s MP, Honourable Simo Josephine Ghimbop from the Bamboutoss constituency, West region is the lead chair of the network.   In her key address, she said the first major steps of the network will be fully inclined on sensitization of members of parliament on Gender approach and its stakes.   Addressing media practitioners at the end of the session, Honourable Simo said: “It is a network created on the 18th of June 2010 but due to a short period of hibernation activities were slowed down. Yet, despite the COVID-19 pandemic in 2020, the speaker of the national assembly, Honourable Cavaye Yeguié Djibril decided to launch back this network, reason why we are meeting this morning. It was therefore necessary for us to refresh and amend status and by the way adopt a 5 year plan of action that will guide our moves. And in the same vane, see what we can do in order to promote Gender equality and change the state of women who are most of the time faced with vulnerable cases.” The female MP believes that, many strides could be recorded in terms of Gender equality, if and only if parliamentarians carry several advocacy campaigns and activities to favour women. Issues linked to women should be carried both by them and men as she stressed on. She equally added that, women should not be marginalized as often observed in our society. Women’s rights must be respected despite the fact that the government has created many programmes in order to tackle this issue, certain disparities are still visible. Honourable Simo Josephine pointed-out recent cases of Regional councillors’ elections where no woman emerged as president in the ten regions; the elections of city mayors just to name these few. As a member of REPAGE, Honourable Aka Martin Tyoga from CPDM’s Manyu constituency, South-West region said the promotion of gender equality is very important in the development of a country.   “When we talk of gender issues it does not only refer to women. It is for both men and women and through this network we believe the position of women will be ameliorated. This launching seminar permitted to throw light on some diseases affecting women such as breast cancer, which most of the time make women affected to be looked upon in the society like outcasts and we will sensitize more on such issues.”             Elise Kenimbeni

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 Social Issues, Management of Civil Servants’ Careers Feature on Top Discussions at Parliament

Social Issues, Management of Civil Servants’ Careers Feature on Top Discussions at Parliament

As discussions unfold at the 2021 March session of the national assembly of Cameroon, members of parliament have addressed series of questions to government officials.   Opening the oral session, Honourable Rolande Adèle Ngo Issi of the PCRN party questioned the minister of social affairs on policies set up by government with regards to people living with disabilities.   In her address, Minister Pauline Irène Nguene said since 2010, the ministry of social affairs has devolved power to local authorities concerning assistance to destitute and needy persons.   She said: “Each year, we transfer public investment resources to local authorities for the acquisition of aids and equipment adapted for persons with disabilities and/or those with reduced mobility.  For the last three years, we have transferred about 2 billion CFA francs for persons with disabilities. For the current financial year, we are transferring 674 million CFA francs i.e. 23.5% of the investment budget of my ministerial department.”   The Minister of social affairs equally made a balance sheet of actions carried-out by government in order to grant equal opportunities, welfare and psychological assistance to people living with disabilities.   “With regard to actions undertaken last year in favour of internally displaced children due to the security crisis in the North-West and South-West regions,14,233 identified IDP children received psychosocial care from the Technical Operational Units in the West, Littoral and Centre, North-West and South-West regions. 1,586 out of them benefited from school placement.” She said. Another pertinent issue raised during this oral session was that of treatment of files and the recruitment since 2017 of 1.000 bilingual teachers into the public service. The question posed by Honourable Kum John of the CPDM party was backed up by public service and administrative reforms’ Minister. Joseph Anderson Le said: “Nine hundred and three successful candidates have effectively assured duties in his ministerial department since the 12th of January 2018.”   Minister Joseph Anderson Le while addressing parliamentarians also stated the fact that many reforms have been undertaken at the level of his ministry, in abid to curb the numerous complaints arising from civil servants. “The Cameroonian public administration is characterized by its secularism, objectivity and impartiality. The ministry for which I’m in charge of cannot be left out. We handle all public services cases with the same speed as much as possible, according to objective criteria and in compliance with the principle of equal access for all in the public service” said Joseph Le.  He added that a free toll number, 1522 was created and his cabinet is opened to all MPs. Minister Delegate at the presidency in charge of defence, Joseph Beti Assomo on his part throw light on the various mechanisms put in place in terms of military training and violations attributed to the army in the conflicting regions of the North-West and South-West.   The question on human rights’ violations was striked-out by Ndian’s constituency MP, Njume Peter Abang. As an elite and parliamentarian from the crippled South-west region, he voiced out worries of his people affected by the crisis for the past four years. Joseph Beti Assomo was equally challenged on issues affecting some media practitioners jailed and accused of terrorism in the course of their duties. Honourable Injo Foo Ngang Prudencia cited the cases of late journalist Samuel Wazizi and Bamenda based reporter, Kingsley Njoka, currently at the kodengui central prison in Yaounde.   The session chaired by Senior Vice-President, Hilarion Etong alongside Gaston Komba, Secretary General of the national assembly paved the way to debates on a bill focusing on double taxation. The bill defended by Finance Minister, Louis Paul Motaze is aimed at authorizing the President of the republic to ratify the treaty between the government of Cameroon and the government of the United Arab Emirates for the avoidance of double taxation and the prevention of tax evasion in respect of income tax Crucial points concerning the said bill were outlined by Honourable Ibrahima Bobbo Bello on behalf of the foreign affairs’ committee.             Elise Kenimbeni

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 Autonomisation des Jeunes : MINJEC et Banque Mondiale en Synergie

Autonomisation des Jeunes : MINJEC et Banque Mondiale en Synergie

Le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique a accordé une audience virtuelle à l’équipe de la banque mondiale afin d’harmoniser le projet sur l’inclusion économique et emplois des jeunes.   Le patron du département ministériel en charge des questions de jeunesse et d’éducation civique, Mounouna Foutsou a accordé ce vendredi 26 mars 2021, une audience virtuelle à l’équipe de la banque mondiale au Cameroun. Les échanges ont débuté avec le mot de bienvenu du ministre et ensuite se sont enchainés avec a prise de parole de Monsieur Abdoulaye Seck, co-organisateur du projet. Il a établi les objectifs de leur équipe qui va se focaliser sur l’investissement dans l’autonomisation des jeunes, l’amélioration des conditions de vie des personnes vulnérables et atténuer les risques des éléments de conflits entre autres. De ces échanges l’on a noté également que par la suite, il sera question de définir les actions du ministère de la jeunesse et de l’éducation civique (MINJEC), pour l’inclusion économique et l’emploi des jeunes. Les résultats et conclusions de ce projet de développement humain seront ainsi présentés. L’intervention du ministre a renseigné l’assistance sur plusieurs axes d’actions menées par son département ministériel afin d’opérationnaliser les projets et programmes en faveur des jeunes. Le ministre indique que, ces différentes initiatives prises en faveur des jeunes visent à mettre à la disposition des jeunes toutes les informations. A cet effet, un observateur national de la jeunesse a été développé, de même que le PTS-JEUNES qui vient appuyer les aspirations des jeunes. Mounouna Foutsou a souligné le fait que, les centres multifonctionnels pour la promotion des jeunes (CMPJ), étant des guichets pour l’orientation et l’intermédiation des jeunes qui propose un renforcement de capacités des jeunes au travers de leurs programmes. De ce fait, il a fallu renforcer les équipements et les infrastructures de ces CMPJ. Carine Cléry, de l’équipe de la banque mondiale a présenté au MINJEC les conclusions préliminaires de la mission, plus particulièrement les objectifs et les composantes de ce nouveau programme de la Banque Mondiale autour du Capital humain et de l’inclusion économique. De sa présentation l’on note que le volet de la protection sociale évoque les conflits, le choc climatique, la création d’emploi et la cohésion sociale.  Aussi, la composante numéro 3, se basant sur le diagnostic du secteur privé réalisé par le groupement d’affaires du Cameroun-GICAM sur plusieurs enquêtes, soutient l’employabilité des jeunes. Pour l’équipe de Milène Rosalani, Joseph Bessong et Jean Michel Lobé, il s’agit d’identifier les jeunes diplômés issus du secondaire  et universitaire, les jeunes entrepreneurs qui sont des femmes, populations déplacées etc. Parlant de l’inclusion des femmes, un accent a été mis sur ce volet. Ces jeunes seront mis en relation avec des entreprises à travers des programmes d’apprentissage et de formation qui permettront qu’ils acquièrent des compétences afin d’être intégrés par ces entreprises. Durant cette audience, le MINJEC a mis un accent sur l’effectivité des CMPJ incurbator, du FONIJ, du programme national du volontariat, du Youth Connekt, qui permettent de créer une synergie et faire en sorte que les jeunes bénéficient de toutes les opportunités offertes. Des objectifs bien visés par la mission de la Banque Mondiale qui est en droite ligne avec les ambitions du MINJEC. Mounouna Foutsou, a par la même occasion réitère sa gratitude à la Banque Mondiale pour avoir associé le MINJEC à cette réflexion et notamment pour son choix envers la cible jeune dont l’encadrement est l’une des priorités majeures du gouvernement. Ainsi le diagnostic de 2015 sera soumis à la direction de cette équipe pour la préparation de la stratégie nécessaire. Le Ministre de la jeunesse et de l’éducation civique a donné des orientations afin que les projets et programmes concernés  soit véritablement impliqués dans les différentes composantes  suscitées par le projet émis par la Banque Mondiale.               TimesNews2

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 Inscriptions Frauduleuses et Tribalisme à Yaoundé I : Pr. Jean Claude Tchouankeu sur le banc des accusés !

Inscriptions Frauduleuses et Tribalisme à Yaoundé I : Pr. Jean Claude Tchouankeu sur le banc des accusés !

C’est une affaire qui ne cesse de faire couler encre et salive au sein de l’université de Yaoundé I du Cameroun après celle du vol scandaleux de  1.139  ordinateurs PBHEV. Pr. Jean Claude Tchouankeu, doyen de la faculté des sciences de l’université de Yaoundé I à Ngoa-Ekelle fait une fois de plus parler de lui. Cette fois ci, le doyen de l’une des facultés les plus prestigieuses de l’université mère du Cameroun est accusé d’avoir inscrit frauduleusement 55 étudiants en filière informatique pour le compte de la rentrée académique 2020-2021. Selon nos sources et des aveux de certains enseignants, le doyen aurait falsifié les résultats du concours d’entrée à la filière informatique. Une frasque qui ne passe pas inaperçue depuis des jours au vu des nombreux débats qu’enfle cette situation qui veut tenir l’image de l’université de Yaoundé I.   La pomme de discorde Comme toute filière bien identifiée et avec ses spécificités, la filière informatique fait partie des composantes de la faculté de sciences de l’université mère. L’entrée dans cette faculté quant à elle a aussi un canevas bien établi. L’entrée  se fait bien évidemment par concours et sur étude de dossiers. Et pour ce qui est d’étude de dossiers, elle se fait par le biais d’une commission mise en place par les instances de l’université. A Yaoundé I, la Commission d’études de dossiers de cours à la faculté de sciences est actuellement présidée par le vice-recteur chargé des enseignements, de la professionnalisation et développement des TIC en la personne de Luc Calvin Owono Owono. Il s’est avéré après plusieurs tractations et ce qui vient mettre sur la sellette cette fraude académique  que, le doyen Jean-Claude Tchouankeu a inscrit sur les listes des étudiants admis en filière informatique, 55 étudiants  tout en favorisant ceux issus de sa région natale. Et il s’agit de 55 noms qui ne figurent pas sur la liste arrêtée par la commission d’Owono Owono. De ces 55 étudiants, 50 sont issus de la région d’origine du doyen, Jean-Claude Tchouankeu. Des sources concordantes, ces derniers ont été recrutés dans le bureau du doyen en violation de la règlementation de l’université. Un point saillant qui a attiré l’attention de plusieurs au moment où le gouvernement s’évertue à tordre le cou au tribalisme et au népotisme.   Faculté de sciences et les 1.139 ordinateurs PBHEV volés Depuis le vol des ordinateurs PBHEV (Paul Biya Higher Education Value) octroyés aux différentes universités et institutions du Cameroun par le Chef de l’État, plusieurs dirigeants de l’université mère ont été accusés pourtant n’ayant aucun lien avec la gérance qu’incombe au doyen de la faculté. Pour éclairer la lanterne, une enquête a été ouverte du côté du Secrétariat d’État à la Gendarmerie (SED) à Yaoundé. Jean-Claude Tchouankeu s’est présenté au SED ce 29 mars 2021 où, il était attendu avec la présidente de l’association des étudiants de la faculté des Sciences de l’université  de Yaoundé I, Hornelle Kamaha, ainsi que le vice-président de la même association, Joël Foko Kuaté. Sur les lieux, le doyen a demandé aux enquêteurs du SED de lui permettre d’être entendu, accompagné de son conseil. Chose qui lui a été accordée comme le stipule le droit camerounais. Jean-Claude Tchouankeu est attendu donc ce 31 mars 2021 au SED pour un éclairage sur l’affaire de vol de 1.139 ordinateurs PBHEV dont il a la responsabilité de la distribution. Au-delà du vol scandaleux de ces ordinateurs fusent des accusations contre le doyen, qui selon des informations, aurait une relation plus que proche avec la jeune étudiante de niveau 5 à l’école normale supérieure de l’université mère. Les clefs du magasin desdits ordinateurs ont été confiées à Hornelle Kamaha de même qu’il  lui a été confié le management de la distribution des ordinateurs aux étudiants remplissant les conditions de recevoir ce don spécial du chef de l’État.   Les aveux de Hornelle Kamaha La présidente de l’association des étudiants de la faculté de sciences de l’université de Yaoundé I a été convoquée au SED le même jour que le doyen et son camarade vice-président de la faculté. Hornelle Kamaha qui a été entendue est finalement passée aux aveux. La jeune étudiante a déclaré aux gendarmes, avoir effectivement volé des ordinateurs. Toutefois, elle accable son vice-président, Joël Foko Kuaté. Elle dit :” Quand je lui disais de prendre deux ordinateurs, il prenait cinq ou six. Quand je lui demandais de prendre 10, il prenait 30.”aurait déclaré la jeune étudiante aux enquêteurs.   Hornelle ajoute que : ” J’ai volé des ordinateurs mais je n’étais pas seule. J’ai donné l’argent de vente de ces ordinateurs, à plusieurs personnes “. Cette dernière a également cité les noms de certains de ses associés dans ce coup de vol. Parmi les noms cités il ressort celui de la trésorière de l’association, la nommée Mélanie Ndaya, à qui elle  aurait  donné la  somme de 700 mille francs CFA.  De ces aveux, il ressort que le nombre des ordinateurs volés n’est pas seulement de 1.139 mais plutôt de  1424. Toute chose qui laisse croire que les accusés ont pu se oindre les mains vu les bénéfices tirés par la vente au marché noire, qui selon des informations recueillies a  généré près de  28 millions  480 mille francs CFA en raison de 20.000FCFA par ordinateur volé. Bien que Hornelle avoue avoir volé et remis de l’argent à la trésorière de l’association des étudiants, la protégée du doyen est toutefois détentrice d’un compte bancaire bien fourni à CCA BANK avec un train de vie plutôt luxueux.   Vol d’ordinateurs PBHEV à qui la faute ? Bien que jusqu’ici les dépositions faites au SED jettent du discrédit sur la protégée  du doyen et lui non puisqu’il est attendu ce jour au SED, le Prof. Jean Claude Tchouankeu serait étranger au vol des 1.424 ordinateurs, mais toutefois est au banc des accusés une fois de plus car la présidente de l’association de la faculté dont il a la charge aurait profité de son laxisme et de sa légèreté pour s’accaparer de ces ordinateurs.

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 Plan Triennal Spécial Jeunes : Déjà 5.378 Projets Financés par le MINJEC

Plan Triennal Spécial Jeunes : Déjà 5.378 Projets Financés par le MINJEC

Une réunion d’évaluation des séances de réappropriation des plans d’affaires et des sessions complémentaires du REAMORCE des jeunes bénéficiaires des cuvées 2020-2021 en cours de financement dans le cadre du PTS-Jeunes s’est tenue ce 26 mars 2021 à Yaoundé et via visioconférence.   La séance de travail qui s’est tenue en présentiel et par visioconférence au vu de la crise sanitaire avait pour objectifs de : faire une évaluation générale de cette activité en précisant  les statistiques des données et informations reçues des cuvées 2020 et 2021, ainsi que le récapitulatif de la session de REAMORCE ; faire une évaluation des erreurs et manquements avec statistiques des données et informations manquantes ou erronées et faire part des difficultés rencontrées sur le terrain. Dans un premier temps, le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, Mounouna Foutsou a demandé aux délégués régionaux de mettre à la disposition des médias tous les documents nécessaires pour faire large échos sur cette activité. Le décor planté, parole a été donné à Abdoul-Karim Nassourou, Directeur de la promotion économique des Jeunes. Il  a fait l’économie de la mise en œuvre du Plan Triennal Spécial Jeunes (PTS-Jeunes) avec une emphase sur la nouvelle orientation qui préconise l’installation des bénéficiaires en villages pionniers de seconde génération et clusters économiques. La conduite de cette réunion d’évaluation a mis en exergue des points clés qui sont axés sur la démarche d’accompagnement du jeune dans le cadre du PTS-Jeunes. Ceux-ci se décline ainsi qu’il suit : l’inscription à l’observatoire national de la jeunesse (ONJ), à l’adresse www.onjcameroun.cm ou dans les centres multifonctionnels de promotion des jeunes d’arrondissement ou de département ; formation en réarmement moral, civique et entrepreneurial ; élaboration et dépôt du plan d’affaires au CMPJ d’attache ; présélection régionale des projets des jeunes ; Transmission des projets dans les services centraux du MINJEC ; Consolidation, analyse et examen desdits projets ; transmission numérique des projets pré-validés au comité de suivi de la mise en œuvre du PTS-Jeunes pour validation définitive ; ouverture des comptes bancaires par les jeunes dans les guichets des institutions financières partenaires ; virement dans les comptes des jeunes ; Financement des projets suivant les plans de décaissement établis à cet effet ; Accompagnement post financement des jeunes. Dans le souci de répondre à la demande de plus en plus croissante des jeunes et corriger les disparités observées entre les projets financés, le MINJEC a entrepris en collaboration avec les experts nationaux, le redimensionnement et le réajustement de tous les projets maturés au sein des CMPJ, pour les arrimer aux priorités économiques locales, régionales et nationales.   Dans ses propos, Abdoul-Karim Nassourou souligne : «  avec cette batterie de démarches, d’outils et de mode d’installation, l’employabilité des jeunes, le niveau de production et de contribution des jeunes au PIB ainsi que de satisfaction des besoins de consommation va connaitre assurément une tendance à la hausse. »   Ces formateurs se sont déployés dans les 10 régions, pour former à leur tour les encadreurs des jeunes que sont les responsables locaux du MINJEC, des associations et mouvements de jeunesse ainsi que ceux des administrations partenaires. Aussi, ces sessions de formation se sont poursuivies au niveau local en faveur des jeunes enrôlés dans le mécanisme d’insertion du PTS-Jeunes. Au sortir de celle-ci, quatre mille neuf cent quatre-vingt-six (4 986) jeunes ont été formés au cours du dernier trimestre de l’année 2020.   Via visioconférence, le Délégué Régional de l’Extrême-Nord a assuré que les activités ont été menées en conformité avec les prescriptions du Ministre. Il a indiqué qu’un total de 466 jeunes ont été mobilisés, 210 business plan montés avec 13 villages pionniers et 121 Clusters. En terme de manquements, il a souligné le fait que certains jeunes ayant reçu des chèques, leurs noms ne figurent plus sur les listes pour cause d’âge mais ils ont déjà reçu le matériel de financement. Certains jeunes ont leurs noms à Garoua, région du Nord pourtant ils ont reçu le matériel à Meri, région de l’Extrême-Nord. Le souhait est de les réintégrer pour que le prestataire entre en possession des financements.   Le Délégué Régional de l’Adamaoua a, à son tour fait un déroulé statistique des bénéficiaires de 2019 à 2021 dans ce contexte sanitaire lié au Covid-19. Il a évoqué la difficulté particulière qui a été celle du nom d’un jeune bénéficiaire sur les listes de la localité de Meingaga pourtant installé à Ngaoundéré 3ème. L’instruction a été donnée pour que les données de ce jeune soient délocalisées à  Ngaoundéré.   A son tour, le Délégué Régional du Centre a salué la forte implication des autorités municipales dans le processus de mise en œuvre. Cette mise en œuvre a porté ses fruits avec une vingtaine d’attestations de sites pour les villages pionniers après le passage du Ministre dans la localité d’Awae.   La région du Centre a recensé en date, 770 jeunes appelés, 606 reçus; 518 jeunes réamorcés; 73.73% de taux de participation des jeunes. Pour le Ministre, il ne s’agit pas de demander des financements simplement mais le faire pour une activité bien définie.   Mounouna Foutsou a dit que le MINJEC accompagne les jeunes pour les booster moralement et leurs permettre de réussir leur activité. Ceci passe par la capacitation et l’acquisition des techniques entrepreneuriales. De plus, Le REAMORCE redresse les jeunes et l’engage dans son Projet. Même exercice pour les  Délégué Régionaux de l’Est et du Littoral. Ceux-ci ont transmis les données statistiques de leurs localités de compétence. Le Délégué Régional du Littoral a énonce un taux de mise en œuvre de 96,13% dans la région, malgré les difficultés sur le plan de la structure et des infrastructures; les numéros de téléphones de certains bénéficiaires à réajuster. Cette rencontre qui a permis d’évaluer dans les dix régions du pays ce programme triennal spécial jeunes a marqué des points positifs en entendre des différents intervenants et cadres du MINJEC. Occasion pour le ministre d’apprécier une fois de plus l’exécution et la concrétisation du projet. Mounouna Foutsou a rappelé qu’à la suite du discours du Chef de

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 Emploi-Jeunes : MINJEC et CRIFAT soutiennent l’investissement agricole

Emploi-Jeunes : MINJEC et CRIFAT soutiennent l’investissement agricole

C’était au cours d’une audience accordée au groupe CRIFAT que les contours de ce partenariat ont été dévoilés.     La rencontre qui s’est déroulée le 25 mars 2021 à l’immeuble siège du ministère de la jeunesse et de l’éducation civique à Yaoundé a permis au Représentant du Directeur Général du Groupe CRIFAT et le Ministre de la jeunesse et de l’éducation de faire une revue sur le cadre organique et organisationnel de ce conseil agricole de jeunes camerounais, ayant décidés d’investir dans l’agriculture. Agropole aux dernières technologies innovantes et une logistique adéquate, le CRIFAT compte plus de 1400 jeunes formés, d’où l’insertion sociale de ces jeunes. Au cours de l’audience accordée, le Représentant du Directeur Général du groupe CRIFAT a proposé une formation à la carte pour les jeunes avec des moyens, c’est-à-dire logement, santé, matériels énergies, communication, moyens didactique, etc…) Martin Luther Olinga Mendo, le Représentant du groupe CRIFAT dit : « Ce que nous attendons essentiellement du ministère de la jeunesse et de l’éducation civique c’est une couverture sanitaire, la nutrition, les intrants agricoles etc. pour tous les jeunes que nous allons prendre en charge. Dans cette formation, nous comptons installer les jeunes après les six mois d’apprentissage. Ces jeunes pourraient être installés sur nos terres ou alors aller ailleurs et nous pourront les organiser en clusters et dans ces clusters nous allons les aider à commercialiser leurs propres récoltes. » Parti du constat d’un manque de formation dans le domaine agricole qui de plus en plus draine de nombreux jeunes, le groupe CRIFAT a tenu à combler ces gaps tel que l’a souligné le Représentant du Directeur Général de cette structure. Le projet tel que  décliné par Martin Luther Olinga Mendo est essentiellement centré sur l’agropastoral avec pour cibles les jeunes âgés de 18 à 35 ans qui soit issu du secteur agropastoral ou pas. Ces jeunes sélectionnés dans le cadre de ce projet vont être installés dans la localité de Ndjeng, région du Centre du Cameroun. Selon le Ministre Mounouna Foutsou, cette audience donne lieu à la création d’une plateforme où les différents acteurs devront contribuer à la mise sur pied d’une convention pour programmer un cadre formel de validation et de signature. Les magasins Sawa Food se démarquent d’un caractère innovant d’une chaîne en continue qui propose des vivres frais alliant qualité et prix accessibles. Ce concept futuriste ouvre des éventuels axes de collaboration avec le ministère de la jeunesse et de l’éducation civique (MINJEC).                 Elise Kenimbeni

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 Howash Sarlu Bénéficie de l’Accompagnement du Gouvernement Camerounais pour Booster l’Entrepreneuriat Jeunes

Howash Sarlu Bénéficie de l’Accompagnement du Gouvernement Camerounais pour Booster l’Entrepreneuriat Jeunes

« C’est un projet 100 pourcent camerounais. Howash c’est tout simplement Honang qui lave, Honang c’est le promoteur que je suis. Beaucoup de gens croient que Howash est un projet que l’on a récupéré ailleurs. C’est pourquoi on avait ce rêve, cette envie de l’implanter au Cameroun et Dieu merci aujourd’hui avec l’accompagnement du gouvernement nous allons finalement nous implanter au Cameroun. »  C’est ainsi que s’est exprimé ce 24 mars 2021 à Yaoundé, le promoteur du projet Howash Sarlu après la signature de partenariat avec le gouvernement camerounais. Sylvain Honang, président directeur général de Howash Sarlu  a remercié le gouvernement pour son accompagnement dans le cadre de ce projet. Dans sa prise de parole, le jeune promoteur a souligné que l’objectif premier est de ; lutter contre le chômage des jeunes étant l’un des problèmes majeurs dans la société. A travers cette initiative, il envisage permettre  l’insertion socioprofessionnelle des  jeunes camerounais au niveau local. Howash Sarlu est une société, qui, par son outil “Green Initiative” s’investit dans l’entrepreneuriat jeunes à travers l’auto emploi et l’autonomisation des jeunes. Le projet compte remédier aux différentes difficultés rencontrées dans le lavage des véhicules au Cameroun et a pour objectif spécifique de rendre disponible l’accès des populations locales aux services de laverie mobile et l’entretien complet des automobiles. Cette convention signée avec trois membres du gouvernement qui sont patrons des ministères clés de l’emploi et l’entrepreneuriat jeunes est un grand pas enregistré par Howash. Les ministres de la jeunesse et de l’éducation civique, de l’emploi et formation professionnelle et des petites et moyennes entreprises étaient au cœur de cette activité. En ce qui concerne le ministère de la jeunesse et de l’éducation civique(Minjec), ses obligations sont centrées sur: la sélection des jeunes de 15 à 35 ans dans les dix régions, la formation des jeunes bénéficiaires à l’appui et à l’élaboration des business plans des projets jeunes en vue de leur financement, mais également à financer la formation des jeunes bénéficiaires. Prenant la parole tour à tour, les trois ministres ont à leur manière dévoilé les enjeux de ce projet pour le cœur de cible qui est la jeunesse camerounaise. Le Ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Issa Tchiroma Bakary dans son propos liminaire, a encouragé l’initiative prise par le jeune promoteur qui selon lui est soucieux du développement de son pays.   Quant au ministre des petites et moyennes entreprises, de l’économie social et de l’artisanat, ce projet est une aubaine. Achille Bassilekin III a encouragé les jeunes à suivre le pas de ce jeune promoteur de la diaspora. Le ministre Achille Bassilekin a souhaité que le présent projet puisse porter des fruits et employer le maximum de jeunes dans tout le territoire national. Mounouna Foutsou., ministre de la jeunesse et de l’éducation civique a, à son tour comme il sait bien le faire, apprécié cette initiative jeune. Saisissant cette occasion offerte, le Ministre des jeunes a fait une incursion dans le plan Triennal Spécial-Jeunes. Il a précisé que le ministère dont il a la charge pilote depuis 2017, ce vaste programme d’accompagnement de la jeunesse camerounaise. L’initiative du promoteur de Howash apparaît comme un autre acquis qui va permettre l’insertion socioprofessionnelle des jeunes. Mounouna Foutsou a indiqué que son département ministériel a pu installer des clusters au rang desquels, 104 jeunes ont été mobilisés dans le domaine des laveries mobiles. Ces jeunes répartis dans les dix régions sont actuellement  en phase de REAMORCE. Dans les dix régions du pays, ces jeunes sont repartis ainsi qu’il suit : Adamaoua : 9 ; Centre : 20 ; Est; 8 ; Extrême Nord, 10 , Littoral 13; Nord; 8 , Nord-Ouest, 11 , Ouest,12 , Sud, 8; Sud-Ouest 5.. Ainsi, 312 emplois seront créés à travers cette micro entreprise.             TimesNews2

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