Paul BIYA le président de la république du Cameroun participe aux travaux de la conférence des parties à Paris en France.

Cette 21e conférence des Nations Unies a pour objectif d’aboutir à un Accord sur le maintien du niveau de production de la planète en dessous de 2° Celsius.Dans ce challenge le Cameroun consent à diminuer de 32% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2035.
Nouvelle réitérée à la tribune de la COP 21 par Paul BIYA. Il ajoute par ailleurs qu’il faut sauver le lac Tchad et les forêts du bassin du Congo et appel les pays de la planète à faire preuve de courage politique. Une invite à la conclusion d’un accord historique a Paris. Le Cameroun depuis juin 2015s’est doté d’un plan d’adaptation aux changements climatiques. Des propositions alternatives y sont contenues.          Par exemple, être cohérent dans la planification et l’aménagement de l’espace rural pour développer l’agriculture tout en limitant la déforestation, l’intensification d’une production agricole animale et halieutique conforme au respect de l’environnement.
En somme, le plan d’adaptation en question élabore une politique d’inversion de la tendance issue des variations climatiques misent à défaut par les changements climatiques. A l’horizon 2035 le Cameroun compte atteindre ses objectifs et se transformer en économie émergente et soucieuse de la préservation du climat, mais il doit résoudre l’équation de son industrialisation alliée à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le pays affronte déjà les réalités de la désertification, les innombrables inondations dans ses principales villes que sont Yaoundé et Douala, l’assèchement des points d’eau dans la région de l’ouest ou la sècheresse dans le septentrion. Comme les autres pays africains le Cameroun entend bénéficier d’un soutien financier des occidentaux pour mettre à exécution avec efficacité son programme.

 

Par Jean Patient Tsala

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