Private Sector Support Operation in Cameroon: Steering Committee Unveils Roadmap

Private Sector Support Operation in Cameroon: Steering Committee Unveils Roadmap

Members of the steering committee for the Private Sector Support Operation in Cameroon gathered on Wednesday, 15th of May 2024 in Yaounde under the chairmanship of Minister Delegate, Paul Tasong.     OSSP-CMR in its French acronym, is a program set up by the government of Cameroon in partnership with the Arab Bank for Economic Development and the United Nations Development Programme (UNDP), with the general objective to strengthen the resilience of businesses in order to build sustainable and more inclusive growth. The program which comes as a sign of relief for several small and medium-sized enterprises in Cameroon was officially unveiled in Yaounde, Cameroon during the first steering committee meeting of its members. As indicated by the project Coordinator, Isaac Tamba, this program aims to ensure the recovery of target enterprises affected by crises and improve the business environment; strengthen the competitiveness of enterprises, and improve access to finance particularly for small and medium-sized enterprises(SMEs). The zones of intervention targeted are the: Centre, Littoral, West, North-West, South-West, and Far-North Regions with a total budget of 18.9 Million US Dollars disbursed by the Arab Bank for Economic Development that takes charge of 90% of the project with the government of Cameroon and UNDP having a 5% financial charge each. Mr. Tamba, Project Coordinator said apart from the fact that the economic model of the OSSP-CMR program is very innovative, it takes mostly into account regions where SMEs have been affected and crippled financially. Thus the strategic areas of this project are centered on: Providing SMEs with access to appropriate financial products and services; diagnosis and mapping of opportunities; empowering target enterprises to improve their productivity, competitiveness, and capacity to innovate preserving the survival of SMEs and improving the business climate. In her key address, Resident Representative of the United Nations Development Programme in Cameroon said this newly put-in-place project enters within the framework of the 20230 National Development Strategy (NDS30), which in its roadmap promotes a more competitive and resilient private sector for sustainable entrepreneurship. Madam Aissata DE said the program officially launched in January 2023 will help boost the structural transformation of over 1500 enterprises by 2025 and she outlined that, access to credit facilities will be done through strict and transparent criteria. Also, in her address to members of the steering committee and the press, Mrs. DE Aissata underscored that this innovative program will positively impact the 17 sustainable development goals(SDGs) as it will in one way or the other solve issues of poverty, nutrition, inequalities, climate change and so on. UNDP’s Resident Representative did not fail to reiterate her appreciation to the government of Cameroon as well as the Arab Bank for Economic Development for its incumbent role in financing the project. Speaking on behalf of the Minister of Economy, planning, and Regional Development, the Minister Delegate in charge of planning who chaired the meeting said SMEs in Cameroon which represent almost 90% of the entrepreneurship sector continuously face difficulties of all sorts.   Minister Paul Tasong praised this new initiative piloted by the government and its partners BADEA and UNDP. He said the project coming in the aftermath of COVID-19 and crises affecting some regions will greatly help in addressing and alleviating issues of unemployment and upgrade the production capacities of many start-ups. Representatives of strategic ministries engaged in the project were convened in this first steering committee meeting to assess the operational actions undertaken since the launch of the program in 2023.   Elise Kenimbeni

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 Projet de Passage de la ligne Electrique Elat-Esse : 2200 Plants d’arbres Fruitiers Distribués aux Communautés par le RADD et ses Partenaires

Projet de Passage de la ligne Electrique Elat-Esse : 2200 Plants d’arbres Fruitiers Distribués aux Communautés par le RADD et ses Partenaires

C’était au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée le dimanche 12 mai 2024 à Mvogze par Esse dans la Mefou et Afamba, région du Centre Cameroun. Le Réseau des acteurs du développement durable (RADD) qui œuvre pour un développement inclusif et durable fait parler de lui une fois de plus. Cette association connue pour ses multiples actions dans le cadre de la justice sociale, économique, environnementale et climatique a tenu à être au chevet des communautés impactées par le projet de passage de la ligne électrique Elat-Esse, dans le département de la Mefou et Afamba, région du Centre au Cameroun. C’est la raison pour laquelle, à la suite des destructions des arbres fruitiers par ledit projet de construction de la ligne électrique, le RADD en partenariat avec « Yembarack en marche », association de développement du groupement impacté, ont organisé l’opération de distribution de 2200 arbres fruitiers. Une opération qui vise aux reboisement des vergers de cases détruits par ce passage sur une distance d’une trentaine de kilomètres. Au cours de cette opération, plus de 300 membres de cette communauté composés des enfants, des jeunes, des adultes, hommes et femmes ont reçu au minimum 8 plants qui sont composés majoritairement d’avocatiers et de pruniers. Toutes les personnes présentes à la cérémonie ont été servies en recevant les plants d’arbres qui est un projet durable. A travers cette autre initiative qui répond à la nécessité d’accompagner les communautés dans le renforcement de leur souveraineté alimentaire et de garantir leur autonomie en leur assurant un développement endogène, il était aussi question de sensibiliser l’opinion à la plantation des arbres qui est acte salutaire pour le climat. Une activité multidimensionnelle qui a reçu la caution de la Mairie d’Esse, et rehaussée par la présence du Maire, patron de la commune, Monsieur Ndongo Bouni Martin Dejoies, qui a son tour, a encouragé les initiateurs du projet, et a promis de leur offrir d’autres opportunités pour démultiplier et pérenniser cette initiative. Le Maire de la commune a ainsi annoncé la création d’un « Bois de Femmes » dans la ville d’Esse et qui sera porté par le RADD, l’association « Yembarack en marche » et la COFECCC (Convergence des Femmes du Cameroun pour le Changement Climatique), la faîtière d’organisation féminine porteuse du concept de Bois de Femmes. Le RADD partenaire clé de cette initiative a émis le vœu de voir les communautés bénéficiaires de ces arbres fruitiers, de suivre les consignes du président de l’association « Yembarack en marche » qui dans sa prise de parole a insisté sur le devoir de planter les arbres reçus et de suivre leur évolution. Cette initiative décrite également comme une activité à forte portée économique, répond à la recherche constante du RADD d’offrir des moyens de vie consistants aux communautés défavorisées et améliorer leur condition de vie. Il était également question pour le RADD de réitérer ses remerciements à tous ses partenaires financiers et techniques notamment ceux et celles qui ont contribué à la réussite de ce projet. Il s’agit entre autres de : la dynamique équipe de « Yembarack en marche », les braves femmes de la COFECCC qui ont eu une présence remarquable, les chefs traditionnels, le Maire de la Commune d’Esse, tous les membres du RADD toujours engagés. Il faut souligner que cet autre projet répond à la mission originaire du RADD, qui est la promotion des initiatives de développement durable de façon inclusive, n’excluant aucune couche sociale. Timesnews2.info  

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 Amélioration des Conditions de vie des Populations Locales au Cameroun : le Gouvernement et le PNUD Progressent en Tandem

Amélioration des Conditions de vie des Populations Locales au Cameroun : le Gouvernement et le PNUD Progressent en Tandem

Le Mercredi 08 mai 2024 à Yaoundé, s’est tenue la première session du comité de pilotage du projet d’appui à l’accélération et à l’approfondissement de la décentralisation et du développement local au Cameroun pour le compte de l’an 2024.   Les travaux qui se sont tenus au bâtiment annexe du ministère de la décentralisation et du développement local, au quartier dragage à Yaoundé, ont été présidée par le Ministre de la Décentralisation et du Développement Local, Georges Elanga Obam, aux côtés de Madame Aissata DE, Représentante Résidente par intérim du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) au Cameroun. Redimensionner le projet à hauteur des moyens disponible, restreindre le champs d’action tout en restant efficace, c’est l’objectif de cette journée de travail tel qu’indiqué par les organisations en charge de son exécution. Dans une interview accordée aux médias, Georges Elanga Obam, Ministre de la décentralisation et du développement local a relevé l’importance de cette séance de travail, qui d’après le patron du ministère de la décentralisation et du développement local, vient davantage permettre d’accentuer les réflexions sur la bonne manière de mener les projets liés à la mise en œuvre de décentralisation au Cameroun. Il dit : « la réflexion du jour consiste à réfléchir à la bonne manière d’appuyer la décentralisation, avec le soutien du PNUD qui accompagne le gouvernement dans certains nombres d’activités connues nettement la décentralisation ».   Il est question pour le Cameroun de mettre tous les moyens en œuvre afin de répondre aux exigences de recevabilité et d’apprentissage du projet dénommé : projet d’appui a l’accélération et a l’approfondissement de la décentralisation et du développement local au Cameroun (PADD) qui était en 2023 rendu à mi-chemin de sa période de réalisation. Dans ses propos, Aissata DE, a tout d’abord tenu à saluer la fructueuse collaboration qui existe entre le gouvernement Camerounais et le PNUD depuis des années ainsi que les nombreuses actions stratégiques qui sont en cours à travers des programmes de développement. Elle dit : Le Gouvernement du Cameroun, à travers ses différents départements ministériels et le PNUD, mettent en œuvre un continuum d’interventions en lien avec le plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le développement durable sur la période 2022-2026. Les objectifs communs qui y sont contenus s’alignent sur la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 du Cameroun qui fait en particulier, de la « Gouvernance, Décentralisation et Gestion stratégique de l’Etat », un de ses piliers phares. C’est dans ce contexte que le Gouvernement et le PNUD mettent en œuvre depuis 2021 le Projet d’Appui à l’Accélération et l’Approfondissement de la Décentralisation et du Développement Local au Cameroun, dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des populations à la base, notamment, à travers le renforcement des Collectivités Territoriales Décentralisées pour un développement local durable et inclusif. » Selon Madame DE Aissata, le PADD qui est à sa quatrième année d’exercice, malgré les défis liés à la mobilisation des fonds, a déjà produit des résultats qui concourent à améliorer la gestion stratégique de la décentralisation au Cameroun. Parmi, ces résultats, le profilage socio-économique des 374 communes et communautés urbaines, le tout premier rapport sur l’état de développement local au Cameroun, un système d’information géographique des 374 communes et communautés urbaines, un guide d’audit et de contrôle des collectivités territoriales décentralisées, un guide méthodologique d’élaboration des plans communaux de développement, et enfin l’élaboration des plans régionaux de développement des régions du Nord-ouest et du sud-ouest. Des outils qui d’après elle serviront d’instruments de travail précieux pour nourrir les interventions des acteurs publics et privés en matière de développement local. La Représentante Résidente par intérim du PNUD, a également souligné le fait que, dans le plan de travail de 2024, il pourrait y avoir des activités opérationnelles telles que le déploiement du système d’information géographique (SiG), l’appui à la gestion durable, des déchets, la digitalisation des services, l’appui à l’attractivité des communes la mise en place de geoportail, la promotion de communes et ville intelligentes durables, les investissements privés dans les communes et la mise en place d’unités de transformation au profit des opérateurs économiques locaux, en particulier les jeunes et les femmes pour une croissance endogène. A titre de rappel, le PNUD travaille avec le Gouvernement du Cameroun, les Partenaires au développement, les autres Organismes du Systèmes des Nations Unies, la Société Civile et les Communautés locales, pour éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions, renforcer les institutions, accélérer la transformation structurelle en faveur du développement durable, renforcer la résilience face aux chocs et aux crises et accompagner le pays dans la réalisation des ODD. Timesnews2.info

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 Fête du travail au MINAS : Pauline Irène Nguene Salue la Dynamique et l’Engagement de ses Collaborateurs

Fête du travail au MINAS : Pauline Irène Nguene Salue la Dynamique et l’Engagement de ses Collaborateurs

La Ministre des Affaires Sociales, Pauline Irène Nguene s’est exprimée au cours de la réception du personnel après le défile au boulevard du 20 mai.   C’est l’esplanade du ministère des affaires sociales qui a abrité le 01er Mai 2024, la réception de tout le personnel de ce département ministériel. Une cérémonie ponctuée par le mot des délégués du personnel, du discours de la Ministre, des remises de prix et cadeaux aux différents collaborateurs qui se sont distingués au cours de l’année. Prenant la parole au nom de tout le personnel du ministère des affaires sociales (MINAS), le Coordonnateur des délégués du personnel, Jacques Jacob Nliba a tout d’abord félicité le chef du département ministériel pour ses qualités de bon manager, toujours à l’écoute des doléances de ses collaborateurs. Et au cours de son interview, Monsieur Nliba a indiqué que cette journée représentante non seulement une occasion festive mais aussi un moment de réflexion, qui leur permet de mettre sur la sellette les différentes revendications du personnel surtout les contractuels en quête d’un statut à la fonction publique. Parmi les collaborateurs couronnés pour leur ardeur au travail et une discipline exemplaire, il y’a Madame Asonganyi Ndongko, qui est un staff des bureaux du conseiller technique. Cette dernière était parmi les meilleurs employés primés. Selon le récipiendaire, c’est une surprise et une joie immense après 15 ans de fonction au MINAS. Dans son discours de circonstance, la Ministre des affaires sociales a tout d’abord saisi cette occasion de rassemblement pour réitérer à l’ensemble du personnel de son département ministériel, le respect et la gratitude que leur témoigne. Madame Nguene Pauline Irène a qualifié cette communion comme un instant de pure bonheur avec sa famille professionnelle, et des personnes qui l’accompagne au quotidien dans l’exécution des missions et politiques du Chef d’Etat, Président de la République, Paul Biya. « En cette circonstance solennelle et exceptionnelle, c’est pour moi un immense plaisir de me retrouver avec vous ici dans cette esplanade du ministère des affaires sociales, pour célébrer cette 138eme édition de la fête du travail. Cette commémoration m’offre une agréable opportunité de vous adresser chers collaborateurs, mes remerciements. Mes remerciements infinis pour votre mobilisation afin de communier avec vous ces moments de joie, de partage, je dirai ces moments de bonheur. Mes remerciements vont ensuite aux délégués du personnel pour leur mot de bienvenu. Ce n’est pas toujours qu’on se réuni, et quand on se réuni c’est toujours des moments…dire agréable ce n’est pas fort, c’est pourquoi je parle de bonheur, merci encore ! … » souligne Madame Nguene. La Cheffe du MINAS a également souligné le fait que le caractère festif de la célébration n’élude nullement la réflexion qui a guidé la semaine d’activités qui a été clôturée le 01er Mai sous le thème conducteur : « Dialogue social constructif, facteur de promotion du travail décent et de progrès social ». D’après Pauline Irène Nguene, ce thème est une interpellation au regard des efforts déployés au quotidien concernant l’amélioration des conditions de travail de tout le staff du MINAS, et pour une mise en œuvre efficace des missions régaliennes de ce ministère et qui est liée à l’élaboration et l’exécution de la politique du gouvernement en matière de prévention, d’assistance et de protection des personnes socialement vulnérables (PSV). Pour madame la ministre des affaires sociales, qui depuis plusieurs années a insufflé une dynamique et l’ardeur au travail au sein de ce département ministériel, il était judicieux et crucial pour elle, de réitérer ses sincères remerciements à ses collaborateurs qui démontrent leur dévouement. Pauline Irène Nguene dit : « Je vous adresse d’emblée mes félicitations pour le professionnalisme dont vous avez toujours su faire preuve. Toutes mes félicitations pour vos efforts pour satisfaire au mieux nos cibles. La croissance exponentielle de notre budget d’années en années, en est la preuve. En outre, je salue la forte contribution de tout le personnel du ministère des affaires sociales à l’instauration d’un climat sain et propice au travail, préalable à la poursuite et à la réalisation de nos ambitions. Le ministère est calme ! Le ministère est calme même sil y’a des petits manquements, même sil y’a des petits problèmes, je veux dire ce n’est pas grave… Madame le Secrétaire Général, chers collaborateurs, de nombreuses actions sont régulièrement menées en vue de l’amélioration des conditions de travail des collaborateurs aussi bien des services centraux que ceux des structures déconcentrées, et des unités techniques opérationnelles. Sans être exhaustif, nous pouvons citer par exemple le financement de nombreux projets d’investissements par le budget de notre département ministériel au cours de cet exercice… » La ministre des affaires sociales qui a souligné également les différents chantiers qui sont entrepris par son département ministériel dans plusieurs régions et arrondissements du pays, a tout autant aussi indiqué le fait que le MINAS poursuit sur le terrain les multiples défis dans le but d’accroitre le bien-être des PSV et toutes ses cibles.   Timesnews2.info

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 Construire la Paix : Un Monument d’Espoir pour l’Avenir du Cameroun

Construire la Paix : Un Monument d’Espoir pour l’Avenir du Cameroun

Dans le cadre de la mise sur pied d’un projet commun, la FNC de Belgique et la Jeune Chambre Internationale du Cameroun ont initié une serie d’activités du 21 au 30 avril 2024 à travers le triangle national. Dans un monde de plus en plus en proie à l’insécurité et aux conflits, les efforts visant à promouvoir la paix sont plus cruciaux que jamais. Le Cameroun, un pays qui a fait face à son lot de conflits internes, en particulier dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, fait désormais l’objet d’une initiative monumentale destinée à favoriser la paix et l’unité. La Fédération Nationale des Combattants de Belgique (F.N.C.) dirigée par Léon de Turc, une organisation d’anciens combattants de premier plan de Belgique, en collaboration avec la Jeune Chambre Internationale du Cameroun dirigée par Boutchouang Nghomsi Chanceline en tant que coordinateur du projet, dirige un projet d’ériger un Monument de la Paix au Cameroun. Cette structure symbolique servira non seulement d’hommage aux anciens combattants et à ceux qui se sont sacrifiés pour la paix, mais aussi d’inspiration pour que la jeunesse du pays s’engage activement dans le développement communautaire et la résolution des conflits. La F.N.C. officiellement fondée en 1919 après la Première Guerre mondiale, se consacre à la défense des droits des anciens combattants, au soutien des personnes défavorisées et à l’honneur de la mémoire de ceux qui ont péri dans les guerres. Avec le soutien du roi Philippe de Belgique, l’organisation défend depuis longtemps les initiatives de paix mondiales. Leur dernier projet au Cameroun s’aligne sur les objectifs mondiaux des Nations Unies visant à lutter contre l’insécurité, à promouvoir la paix et à favoriser la cohésion communautaire. La Jeune Chambre Internationale, la plus grande organisation de jeunes leaders au monde fondée en 1910 à St Louis-Missouri aux USA, la branche camerounaise fondée en 1960, 1972 et finalement réussie en 1989 est un mouvement fondé pour créer un changement positif et un changement durable la paix dans le monde. Ce projet est une réponse aux défis croissants auxquels le Cameroun est confronté, notamment la crise sécuritaire dans les régions anglophones. Ces dernières années, le pays a été touché par des conflits qui menacent son unité et son tissu social. En plaçant un Monument de la Paix, JCI Cameroun et la F.N.C. viser à créer un symbole durable de paix, d’unité et d’avenir partagé pour tous les Camerounais. L’objectif principal du projet est de promouvoir la paix et de sensibiliser, notamment parmi les jeunes, à l’importance de la résolution des conflits et du développement communautaire. Le monument servira d’espace pour honorer ceux qui sont morts pour la paix, tandis que des médailles seront décernées aux jeunes leaders et aux membres de la communauté pour leurs contributions humanitaires en faveur de la paix. En reconnaissant et en célébrant ces personnes, l’initiative espère inspirer les générations futures à donner la priorité aux solutions pacifiques aux conflits, à s’engager dans la gouvernance locale et à œuvrer au développement communautaire. Une initiative menée par les jeunes L’objectif clé du projet est de mobiliser les jeunes leaders des 10 régions du Cameroun, avec un accent particulier sur les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest touchées par le conflit. L’équipe organisatrice a rencontré des jeunes leaders engagés et de hauts responsables gouvernementaux et des membres renommés JCI comme les sénateurs JCI Prince Emmanuel Ngassa Happi et Komba Gaston, y compris le gouverneur de la région du Sud-Ouest Okala Bilai et le ministre de la Jeunesse et de l’Éducation civique Son Excellence Monouna Foutsou, et a reçu Médailles de la paix pour leurs efforts. Parmi les jeunes leaders remarquables honorés figurent Fadimatou Iyawa Ousmanou (présidente nationale du Conseil national de la jeunesse du Cameroun), Achaleke Christian (directrice exécutive du coin jeunesse local), Noucha Prudence (secrétaire générale de CAMWOPEN), Ngala Desmond (directrice exécutive de Civic Watch) Bochum Samuel (Académie de la paix). Directeur), Boutchouang Nghomsi Chanceline, Penka Michel Ange (Président National JCI Cameroun), Christel Youbi (Vice-Présidente Internationale JCI), Caryn Dasah (Président National CAMWOPEN), Bertrand Kenmogne (coordonnateur Humanees), Fon Tamon Kerin (leader local), Alliance Abélégue et ainsi de suite. Ces personnes ont fait preuve d’un engagement exceptionnel en faveur de la consolidation de la paix dans leurs communautés locales et ont apporté des contributions significatives à la promotion de la coexistence pacifique malgré les défis rencontrés dans leurs régions. Activités et impact Du 21 au 30 avril 2024, les activités du projet visaient non seulement à souligner l’importance de la paix, mais offriraient également des outils pratiques permettant aux jeunes de s’impliquer davantage dans la gouvernance et le développement locaux. Des sessions de formation ont été organisées pour les doter des compétences nécessaires pour conduire le changement dans leurs communautés. La première partie du programme comprenait des discussions de haut niveau avec d’éminents responsables, ouvrant la voie à un engagement significatif entre les jeunes et les décideurs. La deuxième partie a culminé avec l’inauguration officielle du Monument de la Paix à Afanayo 4 (Yaoundé), avec la collaboration de l’Institut Universitaire Bilingue des Sciences et Technologies de St Austin (SABUIST) en présence de l’Ambassadeur de Belgique au Cameroun Son Excellence Eric Jacquemin, un acte symbolique qui souligne l’engagement du pays en faveur de la paix. Le dévoilement du monument a été un moment historique, non seulement pour le Cameroun mais pour toute la région. On espère que ce monument inspirera des efforts continus en faveur de la réconciliation et de la paix dans un pays qui a le potentiel de devenir une lueur d’espoir pour la consolidation de la paix à travers l’Afrique. Alors que le Cameroun se tourne vers l’avenir, le projet Monument de la Paix constitue un rappel essentiel de l’importance de l’unité, du développement communautaire et de l’engagement des jeunes dans le processus de consolidation de la paix. Grâce au leadership de JCI Cameroun et du F.N.C. et l’implication de la jeunesse locale, le projet représente une étape importante vers la création d’un Cameroun pacifique et prospère. Avec la symbolique du monument et la reconnaissance des

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 Accès aux Soins de Santé : Récap+ Clôture le Projet Community Led Monitoring au Cameroun

Accès aux Soins de Santé : Récap+ Clôture le Projet Community Led Monitoring au Cameroun

Le 26 Avril 2024 s’est tenue dans la salle des conférences d’un Hôtel de la ville de Yaoundé, capitale politique du Cameroun, la cérémonie de clôture du projet COMMUNITY LED MONITORING, CLM, sur le « suivi des services gratuits de lutte contre le VIH/SIDA et le paludisme pour améliorer l’accès aux soins ». Un projet mis en œuvre pendant trois ans, d’octobre 2021 à décembre 2023, par le Réseau Camerounais des Associations des personnes Vivant avec le VIH, RECAP +. Le projet CLM bénéficie des financements du Programme du Président américain pour la lutte contre le VIH, PEPFAR par le truchement de l’Agence des Etats – Unis pour le Développement International, USAID. Le gouvernement Camerounais est représenté dans ce projet de coopération avec les Etats -Unis d’Amérique par le Ministère de la Santé publique. Après la validation de l’agenda et la présentation des termes de références, la cérémonie a été marquée par un ensemble de prises de paroles sous la coordination du représentant du Ministre de la Santé Publique. Dans son activité, le Projet CLM avait entre autres mission de veiller sur les aspects gratuités mais aussi qualité des services liés au VIH/SIDA et au paludisme, précisément renforcer le système existant, respecter la conformité en qualité et en quantité, donner aux personnes vivant avec le VIH les moyens d’accès aux soins de santé. La dénonciation est un pan important du CLM pour garantir le suivi des cas et leur résolution, le partage des données avec les formations sanitaires, les activités de sensibilisation dans les communautés, la communication dans les médias et la collaboration avec le Comité National de Lutte contre le Sida, CNLS. La collecte des données s’est déroulée dans les 10 régions du Cameroun. 147 districts ont été touchés, 412 Formations sanitaires aussi, 5624 questionnaires remis aux utilisateurs de services et 21495 questionnaires adressés aux personnels de santé. Cette stratégie a permis selon RECAP+ de structurer la méthodologie de travail du projet COMMUNITY LED MONITORING pendant les trois années de mise en œuvre. Le financement venu du gouvernement américain s’est appuyé sur le : « contexte de la décision du 2 décembre 2021 du Ministre de la Santé publique fixant les modalités d’accès et de suivi des populations aux services de dépistage et de prise en charge du VIH dans les Formations sanitaires publiques, privées laïc, privées confessionnelles et dans les organisations à base communautaire. » déclare le Président du RECAP+ dans son propos introductif de la cérémonie de clôture du CLM. Pour l’USAID, l’Agence des Etats-Unis pour le Développement international, représentée par le Directeur Santé le Dr Jose TCHOFA dit : «La mise en œuvre de ce projet s’appuie sur trois éléments que sont le partenariat avec le crédit que nous devons accorder aux Présidents américain et camerounais qui militent pour la gratuité des services dans la lutte contre le VIH, ensuite l’évolution des progrès sur trois ans nous avons mobilisé aussi 7 suivi communautaires contre le paludisme, nous avons travaillé de façon innovante et constructive, enfin la participation, chacun de nous doit contribuer dans une critique constructive dans le but d’améliorer ce qui a été fait durant ce projet. Ce  sont des avancées notables que nous devons poursuivre. » Pour le représentant du Ministre de la Santé Publique, Inspecteur Général, qui a déclaré la fin du projet CLM : « Le Cameroun a pris l’engagement au plan national d’améliorer la riposte à l’infection à VIH et de réduire considérablement cette pandémie. Pour atteindre l’objectif ultime d’élimination du VIH d’ici 2030 le pays a adopté la stratégie 95-95-95 de l’ONUSIDA qui envisage que 95%  personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique, 95% des personnes testées positives soient misent sous traitement et 95% de personnes misent sous traitement aient leur charge virale supprimée. Malgré les efforts du gouvernement et l’appui des partenaires techniques et financiers le VIH/SIDA demeure un problème de santé publique avec une prévalence de l’ordre de 2,7% dans la population selon EDS 2018. » C’est sur cette base que le RECAP+ a été impliqué dans le cadre de l’accompagnement technique de la mise en œuvre du projet CLM. Dont le rapport d’activité a été enrichi de nouvelles orientations, au terme de la cérémonie de clôture du CLM, et des bonnes pratiques qui en ont découlé. Jean-Patient Tsala

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 Cameroun-Journalists For Earth : Pour Affirmer Leur Leadership, Les Femmes Prennent la Parole

Cameroun-Journalists For Earth : Pour Affirmer Leur Leadership, Les Femmes Prennent la Parole

Elles ont été outillées au cours d’un atelier de renforcement des capacités qui s’est tenu du 24 au 25 avril 2024 à Yaoundé. « Améliorer la communication et booster le leadership par une prise de parole efficace », c’est le thème choisi par l’association Journalists for Earth (J4E) afin de renforcer les capacités des leaders des organisations de la société civile. Articulés autour des thématiques de la communication, de la prise de parole en public et du leadership, les travaux de cette rencontre visaient à combler des lacunes observées chez les femmes leaders d’Organisations de la Société Civile (OSC), œuvrant dans les secteurs de la protection de l’environnement, de la protection des peuples autochtones et du développement durable, et à leur donner les moyens de se faire mieux entendre voire de gagner en influence dans un secteur d’activité des plus sensibles. Dans un premier temps, il a été souligné que l’objectif général est : « d’appuyer et de renforcer les capacités des organisations de la société civile féminines et/ou dirigées par des femmes, œuvrant dans le champ de la préservation des ressources naturelles et du développement durable, en matière de communication, de prise de parole et de leadership… » D’emblée, Monsieur Victor Naibi Makembe, communicateur, conférencier, théologien, et premier exposant de l’atelier a posé les bases : « Un véritable leader, c’est celui que l’on écoute. C’est celui qui convainc, qui pousse à l’action ». Des sessions de formation variées et des échanges d’expériences enrichissants ont suivi, au cours desquelles les participantes ont été encouragées à développer leur confiance, leurs capacités de prise de parole en public et leurs compétences en leadership, afin de produire davantage d’impact dans leurs actions en faveur du changement environnemental et sociétal. « Cet atelier a été une véritable plateforme d’autonomisation et d’inspiration pour les femmes leaders, leur permettant de développer leur voix et leur influence », abonde en ce sens Mme Marie Crescence NGOBO, Secrétaire Exécutif du RADD. Une chose est certaine, c’est que grâce à de meilleures capacités de communication et de leadership ainsi qu’aux autres compétences acquises, les OSC féminines ainsi que les femmes leaders d’OSC sont mieux préparées à défendre leurs idées, à mobiliser des ressources et à catalyser le changement au sein de leurs communautés. Au terme des travaux, l’engagement de Journalists for Earth envers la cause des OSC féminines et des femmes leaders d’OSC a été reconnu et salué par l’ensemble des participantes. Elles ont non seulement exprimé leur gratitude pour cette opportunité de renforcement des compétences, mais aussi souligné l’importance de continuer à soutenir ces dames dont la voix et l’influence sont vitales pour juguler les défis environnementaux et sociaux auxquels nous sommes confrontés. Timesnews2.info

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 Lutte Contre le Replanting : L’Association des Femmes Riveraines d’Edea s’insurge Contre le Projet de la SOCAPALM

Lutte Contre le Replanting : L’Association des Femmes Riveraines d’Edea s’insurge Contre le Projet de la SOCAPALM

C’est à travers une lettre datée du 05 avril 2024 et adressée au Directeur Général de la Socapalm, que l’association des femmes riveraines s’est exprimée. Le 05 avril 2024, l’association des femmes riveraines de la SOCAPALM Edea (AFRISE) à travers sa présidente, a adressé une lettre au Directeur Général de la SOCAPALM Edea afin d’exprimer le ras-le-bol de toutes les riveraines, ceci au vu des multiples exactions qui se vivent dans la zone, notamment avec l’épineux problème du replanting. Dans cette correspondance rendue publique, les membres de l’AFRISE indiquent ceci : « Monsieur le Directeur Général, nous, femmes riveraines d’Edéa, sommes indignées. » Nous nous sentons trahies. À travers cette lettre ouverte, nous prenons à témoin l’opinion nationale et internationale. En effet, en date du 23 décembre 2023, nous avons répondu à votre invitation relative à « une causerie familiale sur la paix entre AFRISE et la SOCAPALM ». Lors de cette réunion, Monsieur le Directeur Général, vous avez pris note de nos revendications et vous vous êtes engagé à venir personnellement sur le terrain pour régler la situation. Seulement, à notre grande surprise, au lieu de la visite annoncée, notre chef de village nous a transmis une correspondance (Réf : 041/24/MAO/NSJ/BDMN du 19 mars 2024) de votre Directeur de plantation à Edéa adressée à M. le sous-préfet d’Edéa 1er par laquelle il l’informe qu’il reprendra les activités de replanting au début du mois d’avril 2024 sur un site dont il affirme avoir la propriété… Cette correspondance nous plonge dans l’incompréhension la plus totale, car les activités de replanting de la SOCAPALM sont la cause de la plupart des nombreux problèmes que nous avions exprimés devant vous en 2023. C‘est la raison pour laquelle nous sentons trahies. À titre de rappel, ce replanting est simplement une façon de nous priver, nous et nos familles, des espaces vitaux conséquents dont nous dépendons. » Elles ont indiqué aussi : « Si, après l’avoir fait derrière nos cases, vous recommencez à planter des centaines de milliers d’hectares de palmiers à huile juste devant nos maisons, nous pouvons vous garantir que la paix que nous appelons tous et vivement de nos vœux sera définitivement compromise ». Les riveraines ont souligné le fait que ce replanting est une violation de leurs droits au vu des termes du bail emphytéotique qui lie la SOCAPALM à l’État du Cameroun. « Toujours à titre de rappel, Monsieur le Directeur, ce replanting est une violation des termes du bail emphytéotique qui vous lie à l’État du Cameroun, notamment l’article 6 alinéa b, intitulé obligation du repreneur, qui interdit tout replanting sur les parcelles d’une superficie de 250 ha, situées autour des communautés villageoises sans qu’au préalable, l’administration compétente ait soustrait toute parcelle repartie comme espace vital. » Des parcelles qui doivent être définies par l’administration et le receveur dans l’intérêt de la communauté bénéficiaire. L’AFRISE dans cette nouvelle correspondance souligne les nombreux abus et violations dont elle est victime.  « Monsieur le Directeur Général, nous vous rappelons que nous sommes des femmes rurales. » Et, depuis plus de 40 ans, vous avez confisqué toutes nos ressources qui sont les principaux moyens de vie, et ce, sans aucune compensation. Vous vous etes acapares de : nos terres ou sont cultives des vivres pour nourrir nos familles, vendre le surplus pour faire face a l’education de nos enfants et a nos soins de santee ; nos forets ou nous cueillons des produits forestiers non ligneux que nous transformons et vendons pour avoir un revenu, des medicaments et d’autres moyens de vie ; nos cours d’eau ou nous pechions du poisson pour notre alimentation et pour la vente ; l’air que nous respirons qui est aujourdhui pollue du fait de votre action ;des sepulcres de nos parents ou nous ne pouvons y acceder ; notre environnement qui nous offre un quotidien de mouches et de moucherons. Ces riveraines et qui en majorité subissent des traitements inhumains sont pour la plupart obligées de se compromettre pour survivre. Elles ont également mis en exergue ces faits qui entravent leur vécu une fois de plus dans cette correspondance. « Privées de la dignité que vous nous avez arrachée, nous sommes obligées de nous compromettre pour survivre avec nos familles. » Privées de notre liberté, nous et nos familles sommes interdites de circuler librement sur notre territoire à cause des multiples barrières que vous erigez et des tranchées de 4 m sur 4 que vous avez creusées tout autour de nos cases. « Nous ne pouvons pas mener des activités économiques dans de telles conditions, ce d’autant plus que vous détruirez systématiquement nos unités de production d’huile de palme alors que nous avons le droit de transformer les noix issues de nos plantations villageoises. » Cette lettre de trois pages adressée au Directeur General de la SOCAPALM met également en vitrine les nombreuses initiatives qui auraient dû être mises sur pied par l’entreprise depuis des années et qui jusqu’ici n’ont jamais été faites. Les membres de l’AFRISE demandent au Directeur General de la SOCAPALM ce que la structure a eu à entreprendre. Quelles sont les réalisations palpables ? Ceci parce que les riveraines manquent de tout, notamment des nécessités de base. Et c’est avec amertume et colère que celles-ci ont appelé le Directeur Général à surseoir sur le projet de replanting qui a été programmé pour le mois en cours (avril) et à l’honorer au rendez-vous pris avec les riveraines pour que la paix reigne. Il faut dire que l’AFRISE qui ne sait plus à quel saint se vouer, ne cesse de se battre pour la protection de la nature, des terres de leurs aïeux et des populations de ces zones, qui vivent depuis des années le matyre du fait de l’implantation de la SOCAPALM qui ne respecte pas son cahier des charges. Timesnews2.info

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 At Steering Committee of Strategic Governance & Economic Resilience Support Program: Stakeholders Review Strategies to Upgrade Financing

At Steering Committee of Strategic Governance & Economic Resilience Support Program: Stakeholders Review Strategies to Upgrade Financing

This was during a one-day steering committee session that brought together government officials and UNDP partners on April 8, 2024, in Yaounde, Cameroon. Cameroon’s government through the Ministry of Economy, Planning and Regional Development (MINEPAT), the United Nations Development Program (UNDP), and some ministerial departments associated with this support program met on Monday, 8th of April 2024 in Yaounde. The steering committee which gathered several officials and representatives of ministries involved in the program, was chaired by MINEPAT’s Secretary General, Jean Tchoffo. For close to four hours, participating experts were subjected to a review of the challenges and constraints of this program during 2023; examining activities to be carried out in 2024 and outlining some core recommendations that will serve as a roadmap for the projects’ duration. At the kick-off of the session, it was indicated that one of the areas of the fruitful cooperation established between UNDP and the government of Cameroon is the support program for strategic governance and economic resilience which is divided into two components:  the project to support the production of national strategic instruments (PAPRINS) and the project to support economic resilience (PAREC). In his keyword address, Martin Hart-Hansen, Deputy Resident Representative of UNDP, first retraced the genesis of this program that was created in 2023, in an attempt to move away from the traditional siloed project approach and structured around participatory and synergistic approach between the PARRINS and PAREC projects, benefitting from many years of experience on the issues of strategic instruments, monitoring of public policies and improving the resilience of economic entities, notably small and medium-sized enterprises, start-ups and cooperative societies. Mr. Hart-Hansen took advantage of this meeting to unveil the positive results yielded through the PAPRINS and PAREC projects from 2019 to 2022. “PAPRINS provided strategic support to the government in the development of the NDS 30 and the production of several instruments and tools for analyzing public policies as the guide for integrating the sustainable development goals, SDGs, and the vision of the NDS30 into the municipal development plans; cost of the SDGs; the voluntary national reports on the SDGs; sectoral strategies; evaluation of public policies, etc. PAREC, for its part, contributed to strengthening agricultural value chains of cassava, beans, onions rice, peanuts, cowpeas, and corn in the pilot communes in Northern and Eastern Cameroon; the establishment of a market information system (CAMIS) to reduce the asymmetry of information on prices; improving the digital ecosystem of eight microfinance establishments; to the development of a digital transformation strategy for these microfinance institutions, following which a shared cost banking system and a payment aggregator were acquired.” He said. He further underscored the strides recorded during the previous year (2023) within the framework of these two key projects. The numerous business opportunities to which the PAREC project contributed and multiple actions emanated from that of PAPRINS. Mr. Hart-Hansen also praised the dynamism and relentless desire of the government of Cameroon and UNDP to support efforts in favor of development that address the problems of the population. Regarding prospects for the current year (2024), he called on the national coordinators of the two projects to strengthen synergies. The National Director of PAPRINS project, Dr. Saidou Hamadou said the holding of this first steering committee meeting for the year 2024, was aimed at reviewing effective means and strategies that will help boost the financing of these two projects englobed in the support program. Dr. Saidou Hamadou reassured the media about the various communication plans that were put in place to address the needs of targeted populations as well as effective and timely interventions that were set in motion in the course of the program. Elise Kenimbeni

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 Gynécologie-Obstétrique : Yaoundé Accueille le 32eme Congrès Piloté par la SOGOC

Gynécologie-Obstétrique : Yaoundé Accueille le 32eme Congrès Piloté par la SOGOC

Du 10 au 13 Avril 2024, Yaoundé, capitale du Cameroun va abriter les travaux du 32ème congrès de la Société des Gynécologues et Obstétriciens du Cameroun (SOGOC). Pour ce 32ème conclave des Gynécologues et obstétriciens qui va se tenir du 10 au 13 avril 2024 au palais des congrès de Yaoundé au Cameroun, le thème retenu est : « la Gynécologie-Obstétrique en Afrique Sub-Saharienne : entre tradition et modernité. » Les spécialistes et experts de la santé de reproduction vont se réunir pour échanger sur certaines questions cruciales liées à la santé de reproduction notamment avec les avancées technologiques. Il sera questions au cours de ce conclave de mettre en vitrine des présentations via des conférences animées par des experts des pays d’Afrique et le volet d’ateliers pratiques. C’est ce qui ressort de l’annonce faite le 04 avril 2024 à Yaoundé par le Pr. Emile Mboudou, président de la SOGOC et par ailleurs Directeur General de l’hôpital Gynéco-obstétrique et pédiatrique de Douala. Il a indiqué au cours des échanges avec les médias que : « Les ateliers pratiques, qui vont se dérouler dans des formations hospitalières de renoms telles que l’hôpital Central de Yaoundé, le Centre Hospitalier Universitaire (CHU et bien d’autres, permettront au personnel médical de s’adapter aux nouvelles règles concernant le rythme cardiaque fœtal par exemple. Ces ateliers offriront également une certification aux participants à la fin de la formation, afin de garantir une mise en pratique efficace des nouvelles techniques… » Comme sous-thèmes également retenus pour ces travaux de trois (03) jours à Yaoundé, il ya : les cancers gynécologiques et mammaires ; les urgences obstétriciens et les complications de la grossesse ; l’infertilité dans tous ses états ; la sante sexuelle et reproductive. Plusieurs experts des pays Africains tels que le Benin, le Burkina-Faso, et des professeurs de renoms au Cameroun vont prendre part à ce 32eme congres, qui vient au moment où de nombreux enjeux et défis sont à relever dans le domaine de la santé de reproduction en Afrique sub-saharienne. Il est à noter que l’évènement est placé sous le parrainage du Ministère de la Santé publique (MINSANTE) et le Ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille (MINPROFF). Timesnews2.info

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