Seeds For Future 2020: Huawei Sélectionne 40 Jeunes Camerounais

Deux évaluations en ligne ont meublé cette année, la sélection orale du projet « seeds for future » Du fait de la crise sanitaire actuelle, plusieurs activités connaissent des ajustements. C’est le cas du projet « seeds for future » édition 2020, qui pour  cause de pandémie de Covid-19 a opté pour une évaluation orale de ses différents candidats. La toute première  évaluation qui s’est tenue le 1er septembre 2020 à Yaoundé, a permis de mettre sur la sellette 15 étudiants certifiés Huawei, issus des universités et grandes écoles de Douala. Ceci à travers un jury de deux membres que sont : Dr Germain Koukolo, directeur des affaires générales au ministère des postes et télécommunications et Dr Balla, sous-directeur de l’assistance aux étudiants ministère de l’enseignement supérieur. Selon le Dr Koukolo du ministère des postes et télécommunications, il y’a de la matière grise. Il dit : « Nous avons eu à faire à une jeunesse vraiment passionnée par le monde des TIC.  Il y a de la qualité dans les travaux présentés par les uns et les autres.  D’ailleurs,  cette année,  le processus de présélection ne pouvait donner que ce résultat,  dans la mesure où les candidats qui ont subi cet oral sont des étudiants certifiés Huawei. Nous apprécions les efforts de HUAWEI pour ce projet « Seed for the future » qui encourage les jeunes étudiants dans le domaine des TICs.». En ce qui concerne la deuxième évaluation, elle s’est tenue le jeudi 03 septembre 2020. Celle-ci était coordonnée par deux autres jurys à savoir Dr Mvogo, coordonnateur de l’Académie Internet de l’Université de Douala et Cédric Tsafack, responsable des examens et concours à l’institut universitaire de la côte. Ils ont évalué à partir du siège de l’école doctorale de l’université de Douala, les étudiants de Yaoundé, rassemblés pour la circonstance dans l’amphi de SUP’PTIC.  Pour cette 5ème session de « Huawei seeds for the future », les 50 étudiants Camerounais certifiés Huawei qui ont pris part à cet interview ont été sélectionnés au sein des quatre écoles  camerounaises ayant souscrits à la « Huawei ICT Académie ». Il s’agit de l’école nationale supérieure des postes, des télécommunications et des technologies de l’information et de la Communication (SUP’PTIC), l’école nationale supérieure Polytechnique (Ensp) de Yaoundé, institut universitaire de la côte et l’université de Douala. Cette année, Huawei offre aux 40 lauréats camerounais « Seeds for the Future 2020 » l’opportunité de découvrir d’une part, la langue et la civilisation chinoise et de s’immerger dans l’économie numérique sur les plateformes d’apprentissage en ligne dédiées. Pour l’entreprise de technologies et du numérique, Huawei, il est essentiel de créer des opportunités dans le domaine de l’éducation afin de soutenir et promouvoir les talents qui sont les petites graines aujourd’hui et des leaders de demain d’où l’appellation en anglais « Seed for the future ». Le projet « Seeds For the Future » vise par ailleurs,  à familiariser les lauréats aux technologies de l’Information et de la Communication. Il permet aussi d’amener les Lauréats à être plus concrets et pétris d’expérience dans leur domaine de compétence. Le projet « seeds for future » de Huawei il faut le dire s’inscrit en droite ligne du cahier de charges de « l’accord de partenariat stratégique dans le domaine des technologies de l’information et de la communication »signé entre le gouvernement du Cameroun et Huawei en septembre 2018 à Beijing lors de la visite du Président de la république Paul Biya en Chine. Ce volet formation des jeunes camerounais, a pour objectif de contribuer à la formation des étudiants camerounais à l’économie du numérique via les technologies de l’information et de la communication  qui constituent l’un des leviers indispensable pour l’émergence du Cameroun en 2035 et un instrument fort de production du savoir et du savoir-faire. Il est à noter que ces cours de formation et de certification des étudiants camerounais qui ont débuté au mois de janvier 2020 dans les amphithéâtres ont été basculés en ligne via des plateformes dédiées « Huawei learn-on » depuis la crise du Covid-19. Des plates-formes de communication fluides, des ressources pédagogiques appropriées, ainsi que des services de soutien rapides et pratiques ont été mis à la disposition des enseignants certifiés des quatre écoles concernées par ce projet, ceci avec l’appui de Huawei afin d’assurer la continuité des cours de certification Huawei. Depuis 2008, près de 3500 étudiants venant de 100 pays et 250 universités ont rejoint le programme « Seeds for the future » et ont effectué des voyages en chine. Elise Kenimbeni

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 Lutte contre le Covid-19: Le HCCE octroie un chèque de 1500 Dollars

Lutte contre le Covid-19: Le HCCE octroie un chèque de 1500 Dollars

Le Haut conseil des camerounais de l’extérieur (Hcce), branche du Kenya et Afrique de l’Est a officiellement donné un chèque de 1500 dollars au consul du Cameroun à Nairobi.     Sous la houlette de Harrison Ouafo, Président de la branche Hcce Kenya et Afrique de l’Est, une délégation des membres du haut conseil des camerounais de l’extérieur a été reçue le Lundi 7 Septembre 2020 au consulat du Cameroun à Nairobi. Au cours de cette cérémonie officielle, la délégation du Hcce Kenya a échangé avec Madame la Consule du Cameroun à Nairobi et lui a remis un chèque d’une valeur de 1500 dollars Américain en guise de contribution pour aider la population camerounaise dans son combat contre la pandémie. La Consule du Cameroun à Nairobi a été très reconnaissante et a promis de transmettre le chèque dès que possible aux autorités compétentes du Cameroun (à qui de droit comme elle l’a dit elle-même) afin que cet argent puisse être utilisé aux fins prévues. Ce geste du Hcce branche Kenya vient à la suite de la donation d’un chèque de 5000 dollars américain par la branche Hcce Etats unis au mois d’Aout 2020. Dirigée actuellement par Dr Samuel Dongmo, President du Hight Council of Cameroonians Abroad(HCCA) en français Haut Conseil des Camerounais de l’Extérieur(Hcce), cette organisation a été créée le 22 mai 2019 afin de fédérer les énergies au sein de la diaspora.                   TimesNews2

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 Youth Connekt Cameroon: C’est Signé !

Youth Connekt Cameroon: C’est Signé !

La signature du document projet de l’initiative Youth Connekt Cameroon a eu lieu le 28 aout 2020 à Yaoundé.   Cette cérémonie qui marque officiellement le démarrage de la phase pilote durant 3 ans de l’initiative au Cameroun, s’est tenue à l’hôtel hilton de Yaoundé. Ladite cérémonie était co-présidée par le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, Mounouna Foutsou et son homologue Alamine Ousmane Mey, ministre de l’économie, de la Planification et de l’aménagement du territoire. Une minute de silence a été observée en la mémoire du défunt Ambassadeur du Youth Connekt Cameroon, le patriarche Fotso Victor. La Présidente du conseil national de la jeunesse du Cameroun (Cnjc) a indiqué que la signature de ce document projet est un grand espoir pour la Jeunesse car l’initiative a été pensée pour les jeunes. Fadimatou Iyawa Ousmanou dans ses propos a souligné le fait que cette initiative va relever les défis du développement social, économique, politique, culturel et inclusif de la jeunesse camerounaise. La Présidente du Cnjc a une fois de plus indiqué que, l’espoir de la jeunesse et sa conviction est que cette initiative porte prioritairement son attention sur la résolution des problèmes d’asymétrie de l’information sur les opportunités d’emploi, de développement des affaires, du chômage et de l’inclusion des jeunes dans les processus socio-économique et politique et un esprit de volontariat pour la contribution citoyenne et responsable à la construction d’un Cameroun meilleur. La Coordonnatrice du système des nations unies au Cameroun quant à elle, a fait part de la genèse du Youth Connekt et a rappelé que cette initiative a été mise sur pieds afin d’aider les jeunes à faire face aux nombreuses difficultés qu’ils traversent en matière d’insertion socioéconomique et d’épanouissement. Siti Batoul Oussein a indiqué que le Youth Connekt Cameroon va s’employer entre autres ; à créer des emplois, réduire les disparités entre homme et femme et sensibiliser en réarmement moral, civique et patriotique. Comme à l’accoutumé, Siti Batoul Oussein a profité pour interpeler les jeunes à se saisir de cette initiative non seulement pour leur participation au développement mais également pour leur épanouissement personnel. Le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique dans son propos liminaire a salué l’apport des leaders  jeunes et des personnalités qui accompagnent ce projet à l’instar du regretté patriarche Fotso Victor, le footballeur international camerounais Samuel Eto’o Fils et Françoise Puene plus connu sous le nom de Mamy Nyanga. Le père de la jeunesse camerounaise, le ministre Mounouna Foutsou a tenu à rassurer les jeunes que cette initiative portera des fruits. Il dit : « Il convient surtout de relever qu’à la différence des autres initiatives dédiées à la jeunesse, le Youth Connekt Cameroon se positionne davantage comme un cadre fédérateur de mutualisation des approches et de renforcement de la synergie entre les différents intervenants, avec pour finalité ultime d’améliorer durablement l’autonomisation socio-économique et l’engagement citoyen des jeunes, pour leur meilleure participation au développement économique et social du pays. Cette formule empruntée au Youth Connekt Africa originel, fait donc de cette initiative une réponse innovante aux aspirations de cette génération androïde, dont les besoins et les aspirations sont forts, mais qui dispose d’une capacité exceptionnelle de création et d’innovation pour le développement. » Au-delà de cette signature officielle qui marque historiquement le fruit des nombreux efforts entrepris par le gouvernement camerounais et le système des nations unies, le ministre s’est également attardé sur les prochaines étapes de l’initiative. Mounouna Foutsou dit : « En dépit des contraintes imposées par la pandémie du COVID-19, nos priorités pour l’année qui s’achèvent seront de tenir le comité de pilotage du projet, de mettre en place l’équipe de gestion du projet, de finaliser les discussions avec le Secteur Privé et de conduire un nombre d’actions de communication, pour davantage mobiliser et connecter la jeunesse à la plateforme de cette initiative. Pour les années qui viennent, nous devrons dérouler les plans de travail annuels régulièrement validés, faire de la mutualisation des différentes opportunités notre leitmotiv et évaluer notre action. A ce titre, l’accent devra être mis sur la mutualisation des moyens humains, techniques et logistiques, en vue de dérouler un Youth Connekt Cameroon robuste, permettant d’atteindre les objectifs fixés dans le document-projet. » A titre de rappel, cette initiative lancée officiellement à Yaoundé le 9 décembre 2019, s’aligne sur la vision globale du Youth Connekt Africa. Le Youth Connekt est une initiative conjointe ONU-Gouvernement, qui vise à connecter les jeunes à diverses opportunités socioéconomiques et politiques, dans le but d’optimiser leur autonomisation et faciliter leur pleine participation au développement. Cette initiative entend booster le dividende démographique à travers l’innovation. Pour ce faire, le Youth Connekt Cameroon renforce la connexion des jeunes à leurs modèles, leurs pairs, aux ressources disponibles, aux compétences et aux opportunités économiques favorisant de ce fait une pleine émulation de la jeunesse. Le Youth Connekt Cameroon compte six composantes qui visent à renforcer les capacités des jeunes et à les mettre en contact avec les leaders des secteurs publiques, privés et la société civile. Ces composantes sont : le Youth Connekt Hangou, le Youth Connekt Convention, Youth Connekt  Bootcamp, le Youth Connekt  Community Services, le Youth Connekt Champion et le Youth Connekt Dialogue.                     Elise Kenimbeni  

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 NDES Foundation Marks First Anniversary With 300 Needy Families

NDES Foundation Marks First Anniversary With 300 Needy Families

To mark its first anniversary, humanitarian based organization-NDES foundation has undertaken a donation of gifts to several families in dire need. A total of 300 households based in Muea, Mbengwi and Njikwa in the North and South West regions of Cameroon received raw food items from the NDES foundation. The donations that were launched by the non-governmental organization took place respectively on July 16 in Muea, South West region, on August 23, in Mbengwi and on August 26, 2020 in Njikwa North west region of the country. Items shared were made up of basic foodstuff and ingredients used for the cooking of local meals. Recipient families expressed happiness and extended abundant blessings to the foundation for thinking about them and its constant support to the underprivileged. Since its creation on July 16, 2019, the NDES foundation has imposed itself in the humanitarian relief landscape of Cameroon, trending with numerous outstanding projects in the domain of health and education. The foundation keeps printing its landmark by pursuing with its main mission; that to empower the underprivileged through the provision of technical, material and financial assistance that will help improve their overall health situation as well as their access to quality education as the surest way to their self-development and economic emancipation. For recall, NDES foundation was created on the 19th of May 2019 by the children, grandchildren and great grandchildren of late Elisabeth and Zacharia Nde. The family regretted the loss of their loving parents whom they believed could have lived much longer if they had access to better medical care and assistance.             By Elise Kenimbeni  

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 Recrutement Inclusif Des Personnes Handicapées : Le Plaidoyer du CCCP en Marche !

Recrutement Inclusif Des Personnes Handicapées : Le Plaidoyer du CCCP en Marche !

Un atelier initié par le “Center Cameroon Cluster programme” s’est tenu le 27 aout 2020 à Yaoundé.   C’est un atelier sur le plaidoyer pour le recrutement inclusif des personnes handicapées, l’affectation des ressources au “disability inclusive development” (Did) et la sauvegarde des enfants et adultes à risque qui a réuni une trentaine de participants issus des sept communes que compte le département du Mfoundi, région du Centre Cameroun. Cette activité puise sa source dans la loi du 13 Avril 2010 portant protection et promotion des personnes handicapées, précisément dans ses articles 38,39 et 40, l’Etat et les collectivités territoriales décentralisées qui accordent des mesures préférentielles pour l’intégration socio-économique des personnes handicapées notamment lors des recrutements et la création des entreprises. Le center cameroon cluster programme(cccp) qui est un projet d’appui à la promotion des personnes handicapées de la région du Centre a conduit les travaux qui avaient pour objectif majeur, celui de réfléchir sur le renforcement des politiques publiques et locales en matière d’inclusion, d’autonomisation des personnes handicapées et de sauvegarde des enfants et adultes à risque. Selon Claude François Kamen, Coordonnateur du cccp, c’est atelier d’une journée est arrivé à point nommé au vu du travail déjà effectué sur le terrain depuis plus de cinq ans. Claude François Kamen dit: « Nous pensons qu’il est important que les communes s’engagent sur le recrutement des personnes handicapées et sur une politique de sauvegarde de l’enfant et des adultes à risques. Nous sommes satisfaits parce qu’évidemment ce que nous avons évoqué se fait déjà dans les communes sauf qu’il est question de voir comment cela peut être renforcé. Les communes chacune à son niveau à des actions envers ou en faveur des personnes handicapées. Il était question que nous voyons comment toutes les communes réunies, nous pouvons prendre des engagements pour que cela soit vraiment une réalité. Nous attendons qu’à la fin de cet atelier, le suivi qui sera fait sur le terrain nous aide à ne pas dormir sur ce qui nous avons pris comme engagements mais mettre cela en application pour que les personnes handicapées soient au centre des préoccupations». Pour la majorité des participants venus des sept communes de Yaoundé, c’est un aspect pris en compte au sein de l’exécutif municipal et du personnel. C’est le cas à la mairie de Yaoundé 1er où l’accent est mis sur l’intégration des personnes handicapées dans son cahier de charges. Clementine Metougou Magala, 2ème adjoint au maire indique ceci: « Au sein de notre mairie, nous avons un programme de validation des demandes d’aides des personnes vivants avec un handicap, l’exonération de certaines taxes et l’encouragement de cette catégorie de personnes pour l’intégration dans les écoles. Et puis nous avons un souci, celui de les emmener au maximum à oublier leur handicap et se comporter comme des personnes à part entière. Nos efforts vont donc dans le sens de les remettre en confiance. Et à l’issue de cet atelier, nous avons pris l’engagement d’élaborer un fichier complet des personnes handicapées dans notre arrondissement et participer à leur inclusion effective ». Les personnes handicapées qui selon eux pensent qui sont exclus de certaines administrations et institutions au vu que leurs conditions physiques indiquent qu’ils ont du potentiel à revendre et lance un son de cloche à l’endroit des élus locaux dans le cadre de ce projet. Luc Yombi, porte-parole des personnes handicapées a appelé à une prise en compte de leurs personnes. Au cours de cet atelier, il a souligné ceci : « Le potentiel, la compétence et l’aptitude sont les maitres mots que les personnes handicapées ont comme atouts. Et l’on ne saurait hésiter à leurs recrutements dans les organisations publiques, parapubliques et privées. Nous croyons que les représentants des collectivités territoriales décentralisées qui ont pris part à cette rencontre ont reçu  positivement le message et que l’implémentation et l’engagement que ces communes ont pris ce jour permettront à ce que le recrutement inclusif des personnes handicapées se fera au niveau des collectivités territoriales décentralisées et au niveau macro dans toutes les organisations qui ont besoins des services des personnes handicapées ». A titre d’information, le center cameroon cluster programme(CCCP) a été mis en place en janvier 2015 par la Promhandicam-association(organisation de la promotion de l’insertion sociale, économique et professionnelle des personnes handicapées) en partenariat avec l’école spécialisée pour enfants déficients auditifs et le Cjarc qui est le club des jeunes aveugles réhabilités du Cameroun avec l’appui financier et technique de l’organisation chrétienne internationale de développement dont l’engagement est de participer à l’amélioration de la qualité de vie des personnes en situation de handicap dans les pays les plus démunis.             Par Elise Kenimbeni

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