Mario Mandzukic: Al-Duhail sign Croatian striker from Juventus

Mario Mandzukic: Al-Duhail sign Croatian striker from Juventus

Croatian striker Mario Mandzukic has joined Qatari side Al-Duhail after four and a half years at Juventus. Mandzukic, 33, won four Serie A titles and three Coppa Italias, as well as scoring in the 2017 Champions League final as they lost 4-1 to Real Madrid. He has not played this season under Maurizio Sarri and was linked with Manchester United in the summer. “The last few months will not change the respect and love I feel for the club,” said Mandzukic. “It has been a privilege to play for Juventus. I have always tried to do my best for the Bianconeri. I wish you the best. And for me, it’s time for a new chapter.” Mandzukic has joined Al-Duhail on a free transfer. They are managed by Jose Mourinho’s former assistant Rui Faria and sit four points clear at the top of the Qatar Stars League. Former Juventus team-mate Medhi Benatia, who joined Al-Duhail in January, posted on Twitter: “Welcome Mario Mandzukic to Duhail and your new adventure in Qatar. “We have already won many trophies together, and it’s time to add more to the list. I know that you are more than ready for the challenge… look forward to seeing you.” Former Bayern Munich striker Mandzukic scored 44 goals in 162 appearances for Juventus since joining the club in July 2015. He retired from international football in August 2018, a month after he scored in the World Cup final as Croatia lost 4-2 to France.   From BBC Sports News

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 IPPF announces the appointment of Marie-Evelyne Pétrus-Barry as Africa Regional Director

IPPF announces the appointment of Marie-Evelyne Pétrus-Barry as Africa Regional Director

The International Planned Parenthood Federation-Africa Region (IPPFAR) is delighted to welcome Ms Marie-Evelyne Petrus-Barry as its new Regional Director.   She joins the IPPF family from Amnesty International where she was the Regional Director for West and Central Africa based in Dakar, Senegal. Before working at Amnesty International, Marie-Evelyne had served as Senior Official in numerous UN agencies, including UNDP, UNFPA, UN Department of Public Information, UN High Commission for Human Rights and UN mission in Haiti. Marie-Evelyne has been a human rights defender since she was a teenager. She has promoted equity for all, the elimination of racial discrimination and the eradication of injustice. Her advocacy efforts towards tolerance and inclusivity have enhanced the development of peaceful and sustainable communities across Africa across the world. IPPF Africa Region will greatly benefit from her experience in human rights, development,  strategic communications including mediation and peacebuilding to reposition its work in the Africa region and beyond. Marie-Evelyne’s robust wealth of experience in diplomacy, working with governments, advocacy and impacting policy, will enhance IPPF’s mandate and work particularly in the improvement of the living conditions of women and youth throughout Africa. “I hope to lead IPPF Africa to ensure access to life-saving reproductive health and rights services to all girls, women and youth on the African continent, thus contributing to the realization of all their human rights and enhancing a new Africa, free of discrimination and working for the development of all its citizens,”  said Marie-Evelyne Petrus-Barry. IPPFAR is, therefore, approaching 2020 with new hope. Ms Evelyne will be leading her team towards a new era of sexual and reproductive health and rights (SRHR) advocacy and service delivery. Her work will be supported by the governance reform that has just been agreed upon at IPPF general assembly in Delhi, India. IPPFAR is the leading organization in Sexual and Reproductive Health and Rights and service delivery to women and the youth in sub-Saharan Africa. It addresses the continent’s growing SRHR challenges through a network of 42 locally owned organizations IN sub-Saharan Africa.   IPPF Communications’ office

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 L’Eco, un couteau à double tranchant !

L’Eco, un couteau à double tranchant !

La nouvelle monnaie qui remplace le francs CFA en Afrique de l’Ouest peine à convaincre les populations de l’espace francophone quant à sa souveraineté.   C’est assurément le fait économique de la fin d’année 2019 en Afrique subsaharienne francophone. C’est à la faveur de la visite officielle du président français Emmanuel Macron à Abidjan en Côte d’Ivoire que la nouvelle du retrait du Francs CFA a retentit sans véritable surprise car les nouvelles dans ce sens avaient alimenté les colonnes des journaux locaux depuis de long mois en Afrique de l’Ouest. L’ECO fait donc surface à l’annonce de Alassane Dramane Ouattara le Président Ivoirien. Sourire en coin le Chef de l’Etat français acquiesce comme sans coup férir sur un projet dont les termes et accords préparés à l’avance semblent conforter Paris et Abidjan qui filent le « parfait amour ». Mais ce bal des « amoureux » est vite tiré de sa torpeur  « voulue »  par une flopée de critiques virulentes. Cette monnaie est garantie par la France en terme de stabilité et de convertibilité le même stratagème qui a toujours sous tendu le Francs CFA. La réforme annoncée indique que « le compte d’opération au trésor français sera fermé, que la BCEAO pourra désormais placer ses devises ou bon lui semble et que les derniers représentants français dans les instances de la Banque centrale en question se retireront entre autres… »Mais la parité fixe avec l’EURO laissent dubitatifs un certain nombre d’observateurs africains qui y voient une manœuvre de la France qui dans les enjeux monétaires défend ses intérêts en respect des réalités et logiques des relations internationales qui débouchent sur l’assertion « les Etats n’ont que des intérêts ». Parmi les questions en suspend il y a la position des pays comme le Nigeria, le Ghana ou la Gambie qui ont leur propre monnaie depuis des décennies et qui montrent toute leur réticence devant cette chevauchée presque solitaire de la Cote d’Ivoire et probablement avec les sept autres pays de l’Union Monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA).Un conflit est vite venu dans le cadre de la CEDEAO ,qui est élargie au Nigeria et au Ghana soit un total de 15 Pays, ou l’idée d’une monnaie unique semble perdre tout son sens devant le choix de la Cote d’ivoire de jouer du violon avec Paris sans prendre définitivement langue avec les aspirations de toute une sous-région qui pensait à une monnaie unique exempt de tout contrôle de la France. Mais la rien n’y fait la Cote d’Ivoire est allé vite en besogne si on en croit l’analyse très critique du Professeur chercheur et juriste Illy Ousséni qui ajoute que la CEDEAO est très loin de cautionner la nouvelle monnaie qui porte le même nom que L’ECO crée par la CEDEAO. La nouvelle monnaie a ainsi un coté Ange et un coté démon. Dans la zone de la communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale cette nouvelle n’est pas une sinécure, la zone Cemac compte plutôt garder le Francs CFA et désormais battre sa propre monnaie tout en se débarrassant du tutorat français. Mythe ou réalité ? Seul l’avenir fixera la sous-région Afrique Centrale qui prend du temps pour mieux envisager son choix. Pendant ce temps L’ECO entrera en vigueur en 2020.   Par Jean Patient Tsala

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 Eric Manoungui  ou l’exception numérique camerounaise !

Eric Manoungui ou l’exception numérique camerounaise !

Il vient de mettre sur pied un logiciel informatique utile aux enquêtes criminelles, ce jeune de 29 ans est un génie dans son domaine de prédilection.   Sans s’en bomber le torse Eric Manoungui porte fièrement sa casquette de hacker mais dans le sens professionnel du terme. Rien à voir avec cette réputation née à l’aube de la percée de la cybercriminalité et à l’aune de la montée en puissance des réseaux sociaux et  du marché du numérique dans le monde et au Cameroun. Le jeune concepteur informatique met à disposition de la sécurité cybernétique un logiciel qui permet de traquer les pires criminels du cyber espace. Le logiciel en question facilite par exemple la géolocalisation des voleurs de smartphones, les identifies et trace leurs activités. Selon Eric Manoungui « C’est une aubaine pour les services de sécurité de s’en approprier ». Le Cameroun, aujourd’hui prit dans l’étau de l’insécurité, à grande et à petite échelle, est forcément une proie pour les cybercriminels mais aussi les bandits de tous ordres.  Dans ce schéma il y a forcément la conduite des enquêtes criminelles et c’est ici que la création d’Eric Manoungui trouve toute sa substance. Elle facilite le travail de la police et de la gendarmerie et professionnalise de façon scientifique ce dernier au regard de la densité des arnaques, escroqueries et autres coups fourrés sur internet mais également à travers les supports numériques de communication qui existent depuis l’avènement de la société de l’information. Le concepteur renchérit en ces termes « Ce logiciel est un bijou pour toute personne qui mène une enquête » fini les négociations entre la police et les opérateurs de téléphonie mobile en vue de l’obtention d’une réquisition qui s’achève par la délivrance d’un listing, une procédure très longue et onéreuse pour toute la chaine de sécurité et aussi pour les victimes contraintes à débourser de l’argent pour que ce service soit rendu. Les pertes en efficacité et en promptitude sont nombreuses et les succès d’arrestation des malfrats pas toujours évident. Eric Manoungui, est concepteur en 2016, d’un précédent logiciel d’automatisation des données de l’Etat Civil qui a du succès dans des pays voisins comme le Tchad, le Gabon et en Côte d’ivoire en Afrique de l’Ouest. Un système dont la particularité est de produire en 5 minutes un extrait d’acte de naissance sans encombrer les bureaux d’état civil des piles d’imprimés. Eric Manoungui est de plus en plus réputé sur le continent Africain et au-delà de la méditerranée reste au Cameroun de profiter véritablement de cette exception.    Par Jean Patient Tsala

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 Cameroun : Des élections locales à forts enjeux en 2020

Cameroun : Des élections locales à forts enjeux en 2020

L’organe en charge des scrutins dans le pays a publié les listes des candidatures en vue des législatives et municipales du 9 février 2020.Une étape cruciale qui annonce de nouvelles orientations politiques pour les Etats-majors.   Elections Cameroon, le 8 Décembre 2019 a mobilisé la presse et les acteurs du processus électoral en vue de procéder à la publication des listes de candidatures. Une journée de suspense car le conseil électoral à tenue en haleine tout le pays pendant de longues heures. C’est finalement tard dans la nuit que les listes des partis politiques ont été rendu publiques et le lendemain celles des candidats dans une ambiance surchauffée par les observateurs de la scène politique nationale qui ont mal ingurgité les atermoiements d’Elecam. Mais, cette étape, qui ouvre la porte du contentieux pré-électoral au niveau du conseil constitutionnel, a livré une grille d’analyse sur la future géopolitique locale. Au RDPC, parti au pouvoir  par exemple, la redistribution des cartes internes reconfigure les profils, certains députés et maires de communes sont mis à la touche soit par la circulaire du président national de ce parti en la personne de Paul BIYA soit par des manœuvres des commissions communales, départementales ou régionales de ce parti qui rafle la mise dans le nombre de listes de candidatures. Ceci permet d’envisager un « relooking » des effectifs du RDPC  à l’Assemblée Nationale et dans les exécutifs communaux. Un parti dont la majorité « obèse » a toujours fait les choux gras de la presse camerounaise et suscité la frustration des opposants au régime. Du coté des partis de l’opposition, le désistement du MRC de Maurice Kamto passé, une formation politique historique comme l’UPC coule littéralement car ayant vu toutes ses listes rejetées est contrainte à ester en justice .L’UPC a déposé des listes concurrentes issues de deux factions. Le SDF présenté depuis les dernières décennies comme parti leader de l’opposition se frotte les mains malgré ses appréhensions par rapport à la tenue effective des élections dans les régions du Sud-Ouest et Nord-Ouest du Cameroun en proie à un conflit sociopolitique séparatiste âprement réprimé par le Gouvernement.  Le PCRN de Cabral LIBII pourrait profiter de toutes ces situations pour se positionner en véritable outsider sérieux de ce double scrutin. Ce qui devrait couronner l’entrée en scène en politique de son leader Cabral LIBII sorti troisième lors de la présidentielle d’octobre 2018 remportée par Paul BIYA. Les élections du 9 Février 2020 est ainsi une étape importante pour le landernau politique mais surtout pour le Pays qui charrie autant de passions, de l’intérieur comme de l’extérieur, à la faveur d’une communauté internationale sceptique quant à la crédibilité du double scrutin sensé légitimer le pouvoir de Yaoundé.   Par Jean Patient Tsala

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