Society

Pr. Maurice Aurélien Sosso victime d’une cabale non-fondée sur les Réseaux Sociaux!

 

Le Recteur de l’université de Yaoundé I, Professeur Maurice Aurélien Sosso est à la solde de certains commanditaires sans foi ni loi, qui ont décidé de ternir son image.

 

 

Professeur Maurice Aurélien Sosso, Recteur de l’Université de Yaoundé I, par ailleurs Président de la conférence des recteurs du Cameroun, Président du Comité consultatif général du CAMES, qui a autorité au Cameroun, en Afrique voire dans le monde sur les questions relatives à l’enseignement supérieur, est victime d’une cabale non-fondée. En effet, le Recteur de Yaoundé I est accusé de procéder aux recrutements dans son cabinet. Pourtant, celui dont on connait la probité morale, le sens de l’administration et de la responsabilité, ne saurait s’asseoir avec  ses pairs, dans la salle des actes du rectorat pour organiser une sélection « au faciès » des candidats Assistants à l’université de Yaoundé I et ceci pour ne retenir que ceux d’une certaine région et recaler d’autres.

Tel que voulu par les textes et les règles qui régissent l’université camerounaise voire, qui régulent le fonctionnement de l’Etat du Cameroun, le Recteur suit le processus mis sur pieds pour le recrutement au sein de l’université.

Pr. Maurice Aurélien Sosso propose le recrutement aux autorités hiérarchiques après l’avis des jurys, des conseils de département, des conseils d’établissement et, enfin, de la Commission consultative de recrutement des Assistants qui  est composée des présidents des jurys, des chefs de département concernés, des chefs d’établissement, du Secrétaire général de l’Université et des Vice-recteurs.  Le  Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur et le Ministre de la recherche scientifique et de l’innovation sont représentés.

Et contrairement à ce qui se dit ça et là, la Commission consultative de recrutement des Assistants n’est pas une instance qui se tient dans les catacombes. Elle est publique et respecte les textes.

Toute personne raisonnable et qui a le souci de s’informer à la source pourrait donc se poser des questions notamment celles de savoir : comment imaginer que le modeste recteur de l’université de Yaoundé I, grain de sable dans cet aréopage, se saisisse tout seul de son stylo pour écarter tel ou tel candidat ? Pourquoi le Professeur Maurice Aurélien Sosso qui est connu pour son sens du professionnalisme et de la rigueur va uniquement se pencher sur un recrutement au faciès pourtant il veut promouvoir l’excellence ?

Qui a quoi à se reprocher ? S’il fallait suivre la logique de ce type de post fétide, qui taxe le recteur de favoritisme, peut-être faudrait-il commencer par indexer les jurys, les Chefs de département et le Chef d’établissement (Faculté des sciences) d’où partent les premières sélections et où l’on retrouve une filière Biochimie avec des noms qui ont une certaine résonance. Le fait que les résultats du recrutement soient déjà à la disposition du diffamateur invétéré et ses commanditaires avant même la publication officielle, est surprenant !

« Si ce n’est du cinéma, c’est de l’affabulation ou simplement de la distraction comme seuls les médias sociaux et ceux qui les nourrissent de fariboles ont le secret. » affirme un responsable de l’université de Yaoundé I.

Ces pratiques avilissantes qui visent à détruire la société et à créer un État de non droit sont critiquées par certains enseignants de l’université qui sont tombés de nus sur ce post, qui selon eux est une cabale non-fondée et un coup de déstabilisation de la dynamique que le Recteur a su imposer depuis son arrivée à la tête de l’université mère du Cameroun.

Que le recteur de l’Université de Yaoundé I prenne la parole du haut de ses posture et stature de Président de la Conférence des chefs des  Institutions universitaires communément appelée « Conférences des recteurs », cela peut rebuter ou dégouter ceux dont le bagout épistolaire sur la Toile est fait pour ternir et avilir. Il ne se lassera point de faire des suggestions pour un Cameroun qui avance.

 

 

 

 

 

 

 

Elise Kenimbeni

 

 

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